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 Présentation de Nex Tensi

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2 participants
AuteurMessage
Nex Tensi

Nex Tensi


Pouvoir [Aucun Pouvoir]
Arcanite 1000
Niveau 4
Armure 100
AMU Bonus : 25
Vitalité 100
VIT Bonus : 25
Mana 100
MNA Bonus : 0
Attaque 100
ATT Bonus : 150
Agilité 100
AGL Bonus : 300
#[Golden Ashes Bow] +50 ATT + 25 AGL #[Arbalète légerte] +50ATT +25 AGL [Casque de Cuire] +50 AGL +25 AMU [Traveler's cape]  +75 AGL [Habit du Voleur] +50 AGL +25 ATT [Gants du Paysant] +25 ATT [Red Scarf Belt] +50 AGL [Farmer's trouser] +25 VIT [bottes du voleur] +25 AGL "Ne fait pas de son lorsqu'il marche"
[Pas de bague] [pas de collier] [Pas de Relique]

Messages : 18
Point du Destin : 142
Points de destin Dépensé : 0
Date d'inscription : 14/03/2016
Age : 29

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MessageSujet: Présentation de Nex Tensi   Présentation de Nex Tensi Icon_minitimeVen 18 Mar - 17:17

Nom : Nex Tensi

Âge : 19 ans

Histoire : Je suis de la race des Caïniss, des humanoïdes renards, comme les humains nous décrivent. Je suis un Navmes, un renard du Nord, dans la langue commune, Navmes veux dire Nomade de sang-froid. Non pas que nous avons le sang froid, mais nos ancêtres avaient du courage pour y vivre malgré notre nature sveltes, mais nous ne sommes pas frêles pour autant, alors nous y sommes accoutumés. Nous logeons dans les plaines enneigées d’Yggdraje, sois le Berceau des Larmes. Pour nous aider à y vivre, les hommes de notre tribu troquent avec certain voyageurs en quêtes d’aventures extrêmes qui veulent y venir et y survivre, avec quelques marchands et artisans. Nous troquons la peau, la viande et certains organes en trop de nos créatures d’ici, et certains cristaux pour du bois, un matériau que nous n’avons pas, du fer, de la pierre, des outils et des plantes pour la médication. Nous voyageons d’un bout à l’autre d’Yggdraje, jusqu’à Ombressia et Eldorium. Il nous est assez facile d’y vivre.

Du plus loin que je me souvienne, Papa me prenait souvent par les pieds et m’élevait, pour son plaisir et quelques fois parce que je n’arrêtais pas de picorer physiquement mes amis et plus tard, verbalement aussi. D’autres fois, il me prenait par un pied et me mettait la tête sous les épaisseurs de neiges pour ne plus m’entendre parler. Je trouvais cela amusant, de dire aux autres ce qui les titillaient ou les embarrassaient, quand j’en avais envie. J’aimais aussi grimper aux le corps des plus grands et m’y promener dans tous les sens et même me pendre par les jambes aux grands cristaux quand c’était possible, cette habitude, c’est à cause de Papa, je m’y sens bien. Lorsque Papa m’emmenais faire du troque avec lui et les hommes, lorsque nous ne bougions pas, je trouvais toujours quelques chose pour y monter et m’y pendre lorsque je n’avais rien à faire, Papa m’a dit que les humains qui me voyait m’appelaient le petit acrobate. Peut-être aussi, lorsque nous visitions des écoles de combat, ils m’y prenaient à ne pas cesser de les regarder bouger dans tous les sens et même essayer à mon tour et tomber à tous les coups vue mon âge.

À mes sept ans, peu après la nouvelle année, notre tribu s’était installée depuis quelques jours pour récolter de la nourriture  pour être prêt à fêter l’arrivée de la première de la première guirlande de lumière céleste de l’année. En début de soirée, Papa et grand-frère cuisinaient la récolte de gros poissons justement pêchés pour cet événement, Maman riait et souriais avec beaucoup de tendresse et de joie lorsqu’elle me voyait fixer et saliver en voyant les plus gros poissons, mais comme à chaque année, Maman regardaient les étoiles en me brossant avant de me préparer convenablement pour la soirée.

Après le repas tout le monde festoyaient en cœur et dansaient, puis se turent pour tous regarder la première guirlande ensemble et être émerveillés. Au même moment, une grande lumière près de nous s’était éclairée, ne tente avait pris feu. Croyant tous qu’un de nos voisins s’était installé trop près du feu nous rîmes en cœur aussi fort que le feu crépitait, puis une autre plus loin….. Et une autre. Ce n’était pas le feu. On nous attaquait. De ce moment je ne me souviens plus de beaucoup de choses, des cris et des pleurs de mères et des enfants, des coups, des sifflements, puis tout était noir, mais je les entendais encore. Des cris des hommes maintenant, de nos voisins, de nos amis….. De la famille. Les bruits s’estompèrent, Maman courait avec moi dans ces bras, contre sa poitrine. Courant à bout de souffle, elle s’est arrêtée subitement pour se mettre à genou, en me gardant la tête enfouie. Il y avait des sons… Des voix, mais tout jeune, je ne comprenais rien d’autre que notre langue, alors je ne puis dire à ce moment. Maman me cachait encore, mais elle se releva doucement et commença à marcher, elle marchait, et elle a marché pendant une éternité. Puis, un grincement, et je fus secoué. Maman ne marchait plus, mais nous bougions encore. Avec ce que je pouvais entendre, nous glissions et des créatures tiraient. Maman me parla tout bas : tiens-toi tranquille, tout se passera bien. Où étais-je? Qu’est-ce qu’il se passait? Après un moment, Maman me lâcha, elle s’était endormie. J’ai pu voir des amis et des mamans. En regardant autour de nous, il me semblait être dans une boîte de fer aérée et à nos côtés, d’autres boîtes de fer avec d’autres de nos voisins… mais aucun homme. Tous pleuraient et avaient peur, sans le savoir je pleurais aussi, mais je ne savais quoi trop penser puisque Maman n’avait pas l’air d’avoir pleuré.

Quatre jours et quatre nuits ont passés. Il faisait de plus en plus chaud et il pleuvait et tonnais de plus en plus aussi, il y en avait depuis ces deux derniers jours, je déteste la pluie, ma fourrure devient lourdes. Nous étions arrivés à une très, très grande maison. Ils nous ont fait sortir des boîtes pour ensuite nous faire marcher vers l’intérieur du bâtiment, puis nous emmener dans un endroit sombre où plusieurs boîtes, comme dehors mais à moitié dans le mur, étaient enlignées de chaque côté d’un long couloir avec quelques trous dans les murs extérieurs pour voir dehors, sans que la pluie entre, heureusement. Je ne savais pas à ce moment que ceci… allait désormais être notre bercail, à tous. Quelques minutes après nous avoir tous enfermé, un homme, bien vêtu en rouge, est venu nous voir, je comprendrais plus tard que cet homme est le maître des lieux.

Nos mamans et nos sœurs ont étés emportées le jour suivant, pour peu dire que le soleil était visible, et sont revenus après un très, très long moment, les rayons du soleil avaient changés de côté. Elles avaient de nouveaux habits étranges, et chacune avaient quelque chose au poignet avec la même chose d’écrit sur chacun, un nom, parait-il. Nos mamans, ayant apprises un peu du langage commun que nos pères avaient eux-mêmes appris lors des troques qu’ils faisaient, nous expliquèrent qu’elles étaient obligées de faire les sales besognes dans tout le bâtiment et qu’il fallait être sage, peu importe ce qu’il arrivait. Ces créatures de fers qui vaillent en avant de la porte du couloir nous nourrissaient, peu mais ce n’était pas toujours la même chose. Quelques jours passaient sans que nous, garçons puissent sortir et no pairs partaient le matin et revenaient le soir. Les quelques plus optimistes et plus vieux aidaient les plus petits à garder le moral. Aucune n’avaient de blessures, comme Maman avait dit, il faut être sage.

Encore d’interminables jours, je ne sais combien de temps j’y suis passé avant qu’un premier de nos frères partirent avec une de ces créatures encore plus étrange…. Il revint un peu plus tard, mal en point, pleurant, personne ne savait pourquoi, jusqu’à ce qu’il se fit calmer par sa sœur, seulement le soir venu. À tour de rôle, un de nos frères, une fois par jour partait et revenait, pleurant, je pleurais aussi. D’autres jours plus interminables et plus durs les uns que les autres se poursuivi. À chaque session, nous nous faisions frapper. À chaque session, je leur en voulais de plus en plus de nous faire du mal. Une de nos mères à un jour comprise un mot nous concernant, les garçons : Apprendre…. Il fallait apprendre… apprendre. Maintenant je sais, quatre ans ont passés à apprendre les mots, apprendre la manière qu’il fallait les dire, puisque nous savions ce qu’ils essayaient de faire, bien que difficilement, nous nous faisions moins frapper, de plus en plus que nous comprenions, c’est ce que je pensais au début. Malheureusement, pour eux, ce n’était pas efficace. Nous répondions mieux, mais en quatre ans, le plus que nous progressions, le plus que les conséquences étaient sévères. De plus, ceux qui apprenaient moins avaient même leurs repas confisqués, même si nous partagions avec eux, c’était dur pour tous…Pendant ces quatre ans, Maman m’a conseillé de me souvenir des jours avec Papa et Grand-Frère lors de nos sortis en ville, me rappeler les spectacles et les acrobates que je racontais à Maman à chaque fois. C’est ce que je fis, pendant les jours moins durs et les matins avant de partir, je m’exerçais lentement et doucement pour ne pas toucher mes frères lors de mes pratiques. Lorsque je revenais des sessions, après avoir mangé, je grimpais aux murs et me pendais aux barreaux de fer des fenêtres ,par la queue et/ou par les pieds pour me mettre la tête sens dessus-dessous, me souvenir de mon Papa et m’y détendre jusqu’à ce que Maman revienne. Cela faisait sourire et même rire les autres quelques fois, lorsque je tombais ou lorsque je m‘assoupissais, la tête en bas. Après un moment, je devais le faire, je ne pouvais plus rester assis quand j’avais assez d’énergie.

Un jour… Un nouvel énergumène s’est présenté à nous et apparemment, il avait une nouvelle méthode pour nous d’apprendre. Le jour suivant, lorsque l’heure de la session commença, cette fois-ci il y avait trois hommes de fer pour les plus petits et quatre, même cinq pour les plus vieux d’entre nous. C’était à se questionner, mais ce qui fit peur à tous, était le court délai et l’état dans lequel les premiers revenaient, affaiblis, emportés par les hommes de fer, traînés par les bras pour certain…les yeux fermés pour d’autres. Aucun coup visible n’avais été porté pourtant, mais cette vision, était bien pire. Vint mon tour. Ils m’ont apporté au même endroit d’enseignement, mais en entrant il y avait une chaise, une machine au milieu de la pièce où ils m’attachèrent les bras, les jambes et la tête. Chaque fois que je ne comprenais pas, que nous ne comprenions pas, que nous répondions a pas à des questions dans leur langage ou bien même une seule erreur dans la façon de le dire, nous recevions un choc, plus grand à la tête qui traversais notre corps de haut en bas. Cela faisais mal, si mal que nous lâchions des petits cris de douleur et je commençais à pleurer, je voulais partir, je voulais être contre Maman….La session finis, j’étais exténué et le souffle lourd. Les jours passaient, les chocs se faisaient plus grands, tous étaient fatigués, fatigués de souffrir et de vivre les tourments de ces…. Humains. Les mois passèrent, les chocs se faisaient plus rares, puis vint les questions plus difficiles, donc des chocs plus grands…donc une rancune plus grandes en voyants mes frères, et surtout les plus jeunes, souffrir, pleurer, ne plus avoir autant d’appétit et de voir leurs regards vide.

Au bout de six ans, nous parlions entre nous dans leur langue ou ce que nous pouvions parler puisque maintenant, si nous, les garçons, parlaient notre langue, nos mères et nos sœurs souffraient aussi, dépendamment de quel garçon venait de quelle famille. Un soir, après la dernière session de la journée, nous entendîmes le maître des lieux parler très fort à l’énergumène, comme quoi, malheureusement pour nous après avoir entendu cela, ça ne ‘’leur’’ plaisaient pas de nous avoir appris, parce que c’était encore ‘’trop long’’. La semaine d’après, nous entendions des hurlements de loin, mais clairement, nos frères qui passaient leur session hurlaient. Ils revenaient beaucoup plus vite, et tous, endormis par la douleur. Je craignais le pire pour nous…. Vint mon tour…. encore une fois. Cette fois-ci, nous avons passé la salle que nous allions toujours, nous avons monté au grand grenier. Une salle avec beaucoup de boîtes de fer avec beaucoup de lumières, avec la même chaise au milieu. Ils m’y attachèrent, l’énergumène qu’ont appelaient depuis peu ‘’professeur’’, mit un petit cristal dans ma bouche et me dit de l’avaler, ce que je fis avec difficulté. Il disait que cela allait sûrement aider à ‘’assimiler la chose’’. Cette fois, mal répondre nous donnait un choc long et fort, qui me fît crier, hurler de douleur sans que je ne puisse m’arrêter, au premier choc, j’ai senti le cristal se briser de plus en plus en petits morceaux dans mon estomac, j’ai ensuite senti quelque chose d’étrange parcourir mon corps, quelque chose de léger comme sensation, et pourtant lourd sur le corps. Quand ça arrêta, il recommença avec l’apprentissage sur la même question, jusqu’à ce que nous comprenions, pour ensuite passer à une autre question ou d’autre matière de théorie. Encore pire, après quelques sessions, sin nous ne répondions pas assez vite, un choc, encore plus fort, si fort que nous pouvions voir , ce qu’ils appellent électricité, passer par les choses longues et ronde qui étaient reliés de dehors à la chaise. Ce temps, cette tempête de lumière, lui donnait la puissance de nous faire souffrir, il l’avait domestiqué, comme nous….bientôt. Étrangement, je commençais à m’y faire, très peu, mais les chocs de même intensité que le précédent, me fatiguaient de moins en moins, et même parfois, pour un bref moment, je sentais mon cœur battre la chamade et j’avais l’impression de vouloir sourire, de vouloir rire, si la douleur n’étais pas aussi grande pour m’y détourner.

Un an est passé, de mon côté, dans ma cage, mes exercices étaient rendus fluides et même que je les enchaînais sans aucun problèmes, même que je m’étais mis à me perfectionner depuis quelques années, mon corps, mes mouvements mes acrobaties et ma méprise. Voyant que cela m’aidais à garder un peu plus le moral, quelques autres me suivaient. Quelques-uns avaient l’air enragés, le maître des lieux en soit, du temps que cela nous prenait. Très tôt un matin, le professeur était de bonne humeur en parlant aux gardes et au maître des lieux, le soir même nous apprenions par nos mères que ce dernier avait fait une découverte et que tout allaient se terminer demain soir. Ce soir vint, il pleuvait extrêmement fort et tonnais beaucoup depuis l’année passée et le professeur en était affolé, si affolé qu’il choisit nos frères, au hasard cette fois-ci, en ajoutant que cela ne pouvait tomber mieux. Le moment venu, le premier suivi, après un moment, les lumières clignotèrent, mais seulement que de petits cris. Cela n’avait pas l’air si terrible, mais j’avais pensé trop vite. Vint le deuxième…… mais le premier ne revint pas, nous nous questionnèrent tous et chacun, sans réponse, ni de nous, ni des gardes. Un silence détruit par le tonnerre, ces éclats jadis effrayants, maintenant presque inaudible et si commun. Vint le troisième sans le deuxième et le quatrième sans le troisième et vint le mien, sans le quatrième avec un professeur déprimé…..Étrange.

Au grenier encore une fois, ils m’attachèrent et je vis mieux le professeur, il était déprimé, il avait perdu toute énergie de quelques moments. Il me pointa du doigt un nouvel objet au-dessus de ma tête, c’était un orbe de savoir, trouvé dans d’anciennes ruines, puis volé sous ses ordres et ceux du maître, me raconta-t-il. Il avait pris une poignée de cristaux de mana, ce que nous avons ingurgité à chaque session. Il m’en fit avaler plusieurs, puis me piqua avec de grosses et longues aiguilles dans mes bras, mes jambes et mon torse. Il ne posa aucune question, qu’il se tourna vers la machine qu’il utilisait toujours, puis l‘actionna en me regardant. Le tonnerre fit rage et la machine commença à prendre l’énergie. L’électricité concentrée se forma en rayon pour passer à travers l’orbe et directement à la tête et aux aiguilles. J’hurlai de douleur au même moment. Avec un soupir il actionna un autre levier de plus en plus pour augmenter l’intensité, en augmentais mes cris, en augmentant mes convulsions, telles que le bout de mon corps qui n’était pas attaché se souleva de la chaise. J’hurlai et je cris comme je n’ai jamais crié, la douleur était insoutenable, c’était la pire. Il commença à ouvrir grand les yeux et sourire et maintenant, à hurler de joie. En y repensant… je sais maintenant que j’ai été plus loin que les autres….  Il dansa en avant de moi et tapait dans ses mains, son plan fonctionnait, je criais, je survivais, j’apprenais. J’apprenais à travers des lettres, des images, des sons dans ma tête. Et pourtant, erreur que tout vieux sénile ferait, pousser et continuer. Il augmenta la charge et elle se cumula et cumula au point que l’électricité se faisait un chemin à travers mes poils, puis virevolta en dehors de moi pour rejoindre le fer autour de la chaise. Mes mains se resserraient au vue des chocs, mes griffes, dans ma peau. La charge continuait et ça l’amusait, ça l’amusait tellement qu’il me regarda, ricana et dit finalement à travers mes cris :
«Renais, renais et sois fier mon petit! Oh ? Tu sens cette tension? Laisse-moi te faire un bon massage électrique! Oui, oui c’est bien! Je trouve que tu reçois parfaitement l’information, petit Nexus!»
Furent ces dernières paroles. Le globe éclata  et le rayon se divisa me pénétra directement à chaque aiguilles, me tirant de ma chaise, brisant mes attaches et la chaise de même, s’en suivis de courants électriques sur toutes les parois, qui se brisèrent par l’intensité des éclairs affectant le vieux sénile en même temps, bien fait pour lui, il ne put voir sa création avant même qu’elle soit accomplis, et tonnerre qui frappa l’intérieur du bâtiment, du manoir, en ayant comme conducteur….. Moi….. Les machines se brisèrent par court-circuit, dont la machines qui servait à alimenter le rayon. À ce moment, un bruit sourd et grave se fit entendre pour suivre d’une propulsion électrique qui me projeta à travers trois étages du manoir.

Sans broncher je me suis relevé, pour constater que je m’étais écrasé sur une table, maintenant en morceaux. J’étais dans la salle à manger, une salle où tous se retrouvent pour manger convenablement et confortablement. En me tournant je me vis dans un des miroirs. Fourrure grésillante et entourée de lumières jaunes et blanches qui passèrent entre mes poils, de longues oreilles auxquels un courant visible qui passait entre eux, un grand sourire et des yeux grands ouverts. C’était… Moi. Je sentais mon cœur battre aussi vite que possible et je me sentais bien, extrêmement bien, tellement bien que je me mis à rire, je ne ressentais aucune douleur puis que j’étais tombé. Jusqu’à ce que des gardes et le maître viennent voir ce raffut, pour voir quelque chose sur la table détruite. Je les regardai avec de grands yeux perçants de couleurs maintenant vives et un rictus de crocs ressortis d’une personne qui n’était plus saine d’esprit. Tous ne bougèrent guère et peu ont laissés leur arme tomber. Ils virent un visage de folie, changer en un visage de colère, de haine et de mauvais augure. Je courbai mon dos et lâcha un cri strident. Ni humain… ni bestial….. le cris d’un monstre….. Un cri qui assomma les moins avisés qui portèrent un casque fermé, où le son résonna contre toutes parois intérieures. Le peu qui restait reculèrent y compris le maître, à qui je devais toute cette expérience. Je bondi de la table pour être contre le mur, en une milliseconde et m’y tenir sans apesanteur et rebondir aussi vite pour y mettre le maître à terre, mes aiguilles dans son corps, les gardes ne digne même pas de ce retourner, en criant et partant. En en entendant hurler cette moitié d’homme, un frisson me passa, une satisfaction. Je me relevant en restant sur lui, pris mes aiguilles de mon corps et de mes bras à même la main, avec douleur, mais facilité, et lui planta lentement dans les mains, les bras et les épaules. Je me relevai en le retournant, le laissant tomber pour que les aiguilles le transpercent d’un bout à l’autre. Encore plus de cris, encore plus de frissons, encore plus de satisfaction…. Et pris alors les aiguilles de mes jambes pour me remettre sur lui, le regarder dans les yeux, prendre les aiguilles de son corps et le replanter lentement, sur le reste de son corps, puis dans son cœur. J’ai ris lorsqu’il me suppliait, lorsqu’il pleurait, lorsqu’il hurlait, alors que plus aucun son ne sortis de lui, j’éclata de rire en pensant que nous avions enduré plus que ça et que nous étions encore vivant…. Quelle humiliation. Nous….. Maman…. J’arrêtai de rire pour vite me relever en pensant à eux et chercher, chercher où elle était, où ma tribu restante était. Je courus et cherchai pour trouver un point de repère que je connaissais. J’ai passé par des couloirs qui m’ont fait tourner en rond et passé devant les servantes encore au travail de nuit… ils allèrent vite savoir que leur travail n’était plus nécessaire. Trouvé. Je vins pour rejoindre la salle, d’autres gardes, ceux-ci ne lâchèrent guère leur arme, mais ne me laissait guère passer non plus. Si près et pourtant on m’empêchait, je grognai, ma fourrure s’hérissait, mes oreilles levées. Je senti quelque chose monter dans mon estomac. Un petit grésillement pouvait s’entendre, je le sentais, le courant entre mes oreilles. Ma colère montait et je vins pour crier, mais ce qui en sorti est un grondement, sourd mais aigüe, pour suivre d’une grande propulsion et d’une grande lumière qui me projeta en dehors de la salle et eux, de l’autre côté du long couloir, en apportant avec eux la porte de fer qui laissait entré dans le couloir des cages.

En me relevant et me secouant, je vis à travers la poussière que j’avais atterris de l’autre côté d’un mur et que mon corps n’avais plus de décharge sur lui, je ne le sentais pas non plus en moi. Je courus dans la salle, pour ainsi y voir les gardes sur le sol et ma tribu, tous confus de la situation. Il fallait les clés pour ouvrir les portes et heureusement un des gardes les avaient. Je les délivrai et nous prîmes les armes sur le chemin du retour avec mes frères. Ayant fait fuir les gardes, s’enfuir à notre tour n’étais pas compliqué... Prendre les chevaux restant et les calèches allient nous aider à rentrer. Ayant pris quelques vivres, nous partîmes pour notre plaine. Maman me tint dans ses bras aussi fort que possible pendant tout le voyage, prenant soin de panser mes blessures. Dur fut le voyage de retour. Chagrin, colère de toutes les années à souffrir, des membres de notre tribu perdus. Nos frères prit comme cobayes de reviendront pas non plus.

Cela fait seulement un an depuis notre fuite. J’ai maintenant 19 ans et j'ai encore des cicatrices psychologique de mon expérience, lorsque j'y pense trop, ma folie ressort et je ris seul d'une façon qui effraient les autres, cette soif de quelque chose que je ne peux pas encore exprimer. Maman me ressert contre sa poitrine lorsque cela m'arrive et je revient à la réalité....Ce monstre qui m'habite m’effraie quelque peu aussi. Malgré tout, notre tribu se reconstruit et s’entraîne à se défendre. Nous apprenons de nos voyages de trocs et les mettons en pratique ensemble à la maison. Mais moi, maintenant, je décide de repartir. Maman va terriblement me manquer, je vais lui manquer aussi, mais je dois partir, je dois savoir ce que le professeur m’a fait,  je veux aussi arrêter ce genre de torture inutile, personne ne mérite cela et personne ne devrait se faire assouvir si pauvrement, on ne devrait pas se perdre. Je leur ai expliqué et ils comprennent, ils m’encouragent, même dans un sentiment d’inquiétude et ils me rassurent que la tribu sera en sécurité. Je pars…. Je pars et je vais où je pourrai me raffiner et aider ceux qui ne le peuvent eux-mêmes. Je pars pour exterminer la vermine sans-cœur qui détruit des vies. Je commence mon voyage vers la cité d’Eldoria, dans la région d’Eldorium, où je pourrai échanger mes biens contre un équipement plus approprié à la vie là-bas et peut-être des informations utiles sur mon état second. J’apporte avec moi un arc de chasse et des flèches et une lance de fer rafistolée. Je porte aussi un collier que Maman m’a fait. Je garde avec moi, en cicatrice de souvenir, les grandes aiguilles que j’ai reprises du corps de l’ancien maître en mémoire de mon expérience vécue, nos pertes et cette haine. Pour cette nouvelle vie, je changerai de nom, un nom qui me rappellera ce que ce vieux fou à fait de moi et de celui qui nous as tous infligé ce malheur à chaque jour.

-Nexus Tension-

But : Se raffiner dans ses techniques, raffiner son corps. Délivrer du malheur les esclaves malheureux et réduire le plus possible le nombre de personnes qui assouvisse les autres. Ne pense pas à d’autre avenir pour l’instant.

A propos de moi : J’ai 21 ans, j’adore le fantastique et la fantaisie, j’adore écrire quand le cœur y est, dessiner aussi. Japonisation et jeux vidéo sont les clés de mes passions. J’aime les animaux, comme vous pouvez le voir. J’aimerais aussi voyager beaucoup plus tard. J’AIME TELLEMENT ANIMA OuO!!!

Préférence d’armes : Lance, arc, des gants, son corps ( en incluant ses griffes) et ses grandes aiguilles. Armure légère, de peau ou de cuir.
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Shu Kageshi
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Shu Kageshi


Pouvoir [Wrath Of The Awakened]
Arcanite 1000
Niveau 8
Armure 200
AMU Bonus : 0
Vitalité 200
VIT Bonus : 25
Mana 200
MNA Bonus : 0
Attaque 200
ATT Bonus : 500
Agilité 200
AGL Bonus : 475
#[Cimtarex] +75 ATT +25 AGL "Certain raconte que cette arme cache une vieille légende." #[Orb of fire] +75 MNA [Traveler's Hood] +50 AGL +50 ATT [Traveler's cape]  +75 AGL [Habit du Voleur] +50 AGL +25 ATT [Gant de cuire] +50 AGL [Red Scarf Belt] +50 AGL [Ronin's Leggings] +200 AGL +100 ATT -75 MNA [Guard boots] + 75 AGL+ 75ATT
[Silver Siphire Ring] + 50 ATT [Red Sun Necklace] +75ATT [Pas de Relique]

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Point du Destin : 194
Points de destin Dépensé : 0
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Présentation de Nex Tensi Empty
MessageSujet: Re: Présentation de Nex Tensi   Présentation de Nex Tensi Icon_minitimeVen 18 Mar - 20:24

Wow, on vois tout de suite l'effort mit dans la story, j'adore. Presentation accepter et topique verouillée!

Cordialement Shu Kageshi
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