Marché d'Eldoria

Le marché d'Eldoria, florissant et emplis de joie. Cet endroit est l'intersection même des trois chemins pour sortir, plusieurs stalle et boutique vendant des produits d'outre-mer et locaux, chacun démontrant sa spécialité en vendant des produit qui y sont lié.

** Possiblement ouverture des magasins NPC, reste à savoir avec le temps, si tel est le cas une update du sujet sera fait avec les description d'item à vendre et leur prix **

Rosabelle obligea ces épaules à se détendre à redressa le dos. Si elle avait l’aire d’une victime, elle serait prise comme telle. Et elle se le refusait. Marchant hâtivement, Rose suivit le chemin et, bientôt, elle arriva en vue d’un marché qu’elle était obligée de traverser pour se rendre à la bibliothèque. La petite fleur était terrifier et serrait son livre dans ces bras, comme s’il pouvait la protéger d’une attaque quel conque. Elle n’avait jamais beaucoup aimé les gens et, après son agression, cela n’avait fait que renforcer son idée et elle cherchait à éviter ceux qui la rendait mal à l’aise, alors elle se cachait derrière sa capuche rouge. Pourtant, elle avait deux cimeterres dans le dos et elle savait bien s’en servir, seulement, elle avait du mal à chasser la brume qui la paralysait et qui l’empêchait d’utiliser pleinement ces capacités. Soupirant, Rose chercha un autre chemin du regard, mais même contourner le marché prendrait des jours et elle devrait dormir au pied d’un arbre et, si on se fiait au nuage qui s’épanouissait maintenant dans le ciel, sous une pluie battante.

Prenant son courage à deux mains, Rose releva un peu la tête pour voir le chemin serpenter au milieu des stals et des boutiques… Puis elle se mit en marche. Au début, elle eut peur qu’on repère la petite chose cacher sous une cape rouge qui se promenait craintivement entre les curieux qui trainassait entre les boutiques, mais elle se fit bien vite à l’idée, personne ne prêtait attention à une nouvelle tête car personne ne se connaissait vraiment dans le marché. La cité était grande et c’était le point culminant de trois grandes places, donc pourquoi faire attention à quelque qui cheminait tranquillement sans faire d’état?

Prenant un peu plus de confiance, Rose redressa un peu plus les épaules et commença à se laisser aller à observer les objets vendu, elle commença même à y prendre un certain plaisir à regarder les étalages, mais elle ne s’approchait jamais suffisamment pour véritablement avoir un contact que ce soit avec le marchant où avec les acheteurs potentiels. Faisant son petit bout de chemin, quelque chose attira le regard de la petite curieuse. Sur un étalage de livre ancien, ce trouvait plusieurs bouquin joliment décoré et graver. Il y avait même des carnets de cartographie! Rose n’hésita pas bien longtemps avant de se faufilé au travers de la foule en évitant soigneusement tout contacte.

Lorsqu’elle fut tout près de l’étalage, Rose ouvrit de grands yeux curieux. Elle n’osait toucher quoi que cela fus, mais ces doigts la démangeait de telle sorte que la petite fleur croisa les mains derrière son dos et joua avec les longues mèches qui cascadait en épaisse boucle jusqu’au bas de ces fesses. Rose joua un petit moment ainsi en se mordillant la lèvre, regardant d’un œil d’experte ce qui se trouvait sur l’étalage. Bien entendu, il y avait une multitude de vieux bouquins qui ne valait pas grand-chose qui semblait si vieux et user que le libraire les vendaient à prix d’or simplement pour arnaquer les pauvres curieux qui n’y connaissait visiblement rien. Mais Rose ne se laissa pas berner par l’usure manifestes des livres et son regard franc et curieux croula aussitôt vers un bouquin en cuire ternie et écailleux qui semblait fait de peau de serpent. Celui-là était visiblement très précieux. Esquissant un sourire, Rose détourna le regard. Elle avait encore une longue route à faire et elle était déjà bien charger d’un petit trésor et ne pouvait s’encombrer d’un autre précieux et volumineux bouquin. Pourtant, le simple fait d’avoir vue l’ouvrage la rendait heureuse. Tous les petits plaisir étaient bons pour sourire, c’est ce qu’on lui avait appris au temple et elle aimait l’appliquer.

Rosabelle opta plutôt, à défaut de pouvoir cheminer avec l’énorme volume, pour un petit carnet marine au ruban de velours marin. C’était un joli petit ouvrage très bien travailler, mais à la facture très simple qui contenant tout un tas de page vierge au carrelage très pâle qui servait à cartographier à la main les différentes régions. C’était petit, pratique et il tenait facilement dans la pochette qui pendait à sa ceinture. Elle paya le marchant de bonne grâce avec un sublime sourire et en oublia sa nervosité pour terminer de parcourir le marché d’un pas dansant et triomphant, portant son discret petit trésor bien en sécurité.

Rose n’avait pas encore quitté le marché qu’elle grimaça. Sont pas dansant avait pris une allure plus difficile et elle dut prendre un pause car sa jambe blesser se rappelait douloureusement à elle, l’obligeant à terminer de parcourir les derniers mètres en claudiquant péniblement. Pourtant, Rose s’obligea à quitter le marché avant de laisser sa jambe trainasser étrangement derrière elle… Après tout, si on lui avait demandé si elle avait mal, elle n’aurait su que répondre. Son bas noir à dentelle blanche montait suffisamment haut et l’ourlet de sa robe suffisamment bas pour lui éviter toute question gênante sur sa peau brûler aux nombreuses cicatrices, mais claudiquer attirait toujours l’attention des gens… Et c’était ce que voulait éviter à tout prit la petite fleur.

Le ciel s’assombrissait horriblement et Rose commençait à devenir nerveuse, à avoir peur de ne pas atteindre la bibliothèque avant que la nuit tombe à cause de sa blessure qui la faisait souffrir sans même marcher et qui la mettait au supplice dès qu’elle osait bouger le moindrement.

Rose prit une très légère pause près d’un arbre, soufflant un bon coup, puis jeta un œil embrumé vers la carte de la région qu’elle avait prise au temple. Il ne lui restait plus beaucoup de chemin à parcourir, mais la douleur pouvait rapidement devenir un énorme problème. Au temple, elle pouvait rester aliter des jours durant sans pouvoir bouger… Mais là, elle ne pouvait se le permettre. Heureusement, ces crises étaient rares, mais là, elle tombait très mal.

Soupirant, la petite fleur se remit douloureusement sur pied et se remit à avancer péniblement au moment où quelque goute commençait à tomber du ciel nuageux qui avait fait tomber la nuit bien plus tôt qu’à l’accoutumer. Mais Rose n’avait pas le choix, elle devait faire les derniers kilomètre rapidement, coute que coute, pour se présenter à la bibliothèque de la citer d’Eldoria.

Shu ce déplacait rapidement a travers les ruelle sombre du marchée d’Eldoria, Beaucoup le connaissait et il le savait. Même s’il était rechercher, il avait souvent aider les guild de voleur, d’assassin et le marché noir. Il savait que ces gens ne le vendrait pas pour un petit profit, par contre pour un énorme somme c’était une autre histoire. Un homme du marchée noir lui devait encore une faveur et il avait besoin d’information sur la petite fille. Il allait donc soutiré l’information. Une fois rendue là où l’entrée au marché noir était un homme ce plaçait devant lui. D’un ton grave et alerte il parla le premier.

-Shu, des soldats ce sont établie dans les plaines d’Earthfire, bien armée. Tu devrait faire gaffe.

Shu le regardait un moments, Il repensait a la carte et la sortait. Sous son regard alors qu’il ouvrait la carte, il remarqua que l’emplacement où la petite fille pourrait ce trouver était bel et bien la plainedont ces soldats avait prit. Le jeune homme rangeait la carte.

-Mhm… sa rend les chose un peu plus compliquer… Où est Mizar?

Le colosse le regarda d’une aire confuse.

-Tu va pas vraiment allée voir Mizar? Tu sais très bien qui va vouloir quelque chose en échange.

Shu plongeait la main dans la pochette où la médecine des moines était placée, il sortait une fiole.

-J’ai ce qui me faut.

Le jeune homme entrait par ce qui semblait être un mur de pierre, mais en fait c’était une porte menant au marchée noire. Il déambulait jusqu’à la boutique qu’il cherchait. Mizar était un vieillard prêt à tout pour l’argent. Il entrait donc dans la cabane fait de tôles et de bois.

-Mizar?

Le vieillard ce retournait, d’une facon surprise a son habituel.

-Vouis? Kesske ze peut faire pour twoi?

Shu sortait la petite fiole puis la tenait dans les aires, de sorte a ce qu’il puisse très bien la voir.

-Je veut savoir ce que tu sais sur la maison qui a bruler dans le village d’earthfire..

Le viellard regardait la potion avec contemplation.

-Z’est zimple, Un homme zientifique a fait dez truc zur des enfants, puis ze prozet a été canzeller a cauze de toi. Aprèz il fallait effazer toute les perzonne pouvant avoir des z’info.

Shu ce grattais le mentons. Il ce rappelait pas de ce qu’il avait fait lorsqu’il était sortie du laboratoire, mais a cause de lui, cette petite fille avait perdu sa famille.

-Je vois…

Shu laissait la potion glisser de sa main

-Oups?

La médication éclatais en morceau sur le sol alors que le vieillard devenait rouge, il c’était fait rouler, et personne l’aiderait dans ce terrier. Le jeune homme lui disparaissait parmi la foule.

Allant vers la Grande Bibliothèque, j'ai décidé de passer par le Marché d'Eldoria pour voir s'il y avait quelques-uns des marchands avec qui notre tribu troquait. Quelque chose avait capturé mon attention, un grand fruit bleu de la taille d'une pomme. Me dirigeant vers le stand, j'entendis des voix, une qui m'était familière. Je me suis retourné pour voir un vieillard qui argumentait avec un homme d'âge moyenne. C'était le vieillard le plus mécontent que je n'ai jamais connu, mais le je le connaissait, je lâchait un petit rire avant de m'y avancer.

- Hey Papi, qu'est ce qui se passe? encore mécontent de voir des plus jeunes que toi marchander?dis-je en levant la main pour le saluer.

Il se tourna. - Hein? Petit Matoki, mêle-toi de tes barbaux, tu sais bien que je suis dûr en affaire et ce jeunôs n'est pas content de comment je marchande! Il me fit une grimace et retourna la tête.

Un vieillard au teint bronzé, petit, maigre, de long cheveux mais rien sur le dessus avec un cigare et un oeil fermé, un corps qui pourrait en dire long sur son histoire.

- J'ai un nom tu sais, je n'ai pas le même que mon Papa, mais appelle moi Nex maintenant, c'est un nom plus humain. Passons.Alors qu'est-ce qu'il y a, il t'a demandé une arcanite de moins que tu demandais?

Il me regarda d'un agressif. - Deux pièce? Pouah tu exagère jeunôs. Il me demande 9 arcanites de moins pour ce petit objet!

Il me lance l'objet et je l'attrapa. Je constate que c'est un objet bien connu de chez moi. On l'appel Cristal de chaleur. C'est un cristal que nous trouvons dans notre plaine, un cristal léger mais assez résistant. C' est un cristal qu'on peux chauffer dans le feu et qui conserve la chaleur, plus la chaleur est élevé et stable, plus la chaleur dégagée est longue. Plus le cristal est grand, plus il conserve de grandes sources de chaleur. Pas comme les pierre de feu qu'on utilise pour nous réchauffer. Mais sa taille n'est pas plus grande mon pouce.

-Mmmhh, et combien en demande tu au juste?

Il croise les bras et prend une pause avant de répondre - 21 arcanites...

- 21 ? Je le regarde d'un air voulant dire qu'il exagère avec un petit sourire.. Je me tourne vers l'étranger.

-En effet, c'est rare, puisque cela ne grandit que dans mes plaines enneigés, mais pour un si petit cristal, voyons voir... Je peux vous poser une question Monsieur?

Il se retourna pour me faire face, l'air un peu agacé. -Oui, qui a-y-il ?

- J'aimerais savoir l'usage que vous allez lui donner.

- Oh, hmm, je suis boulanger, en faisant mes achats pour la farine de cette semaine, j'ai entendu ce vieux bouc parler de cette pierre chaleureuse,pour faire un peu plus de profit et économiser sur le bois, je me suis dit que cela irais bien mieux qu'utiliser du bois à la longueur de la journée.

Je me pris le menton,pensif. - Hmm... combien avez-vous de fours?

- Oh, qu'un seul mais c'est un grand four, alors si je pouvais le chauffer un peu plus, mais ce n'est pas avec ce bout de cristal que je vais faire ma journée et que je vais faire cuire mes pains !

-Je vois.... Dartan?

-Mh?

Il me regarde encore avec cette grimace.... Il ne changera jamais.

J'appuis mon sac sur son stand et en me baissant pour chercher dans mon sac je vois un chandail bleu foncé comme la pointe de mes oreilles, manches longues et collet relevé vers l'arrière en fourrure noire et un pantalon bleu comme mes yeux, je souris et j'en sort deux cristaux un peu plus gros de mon sac et les lui montre.

- Si je te les échanges contre ce cristal, ce chandail bleu et ce pantalon bleu, acceptera-tu ?

Il saute de sa chaise habilement. - Ah non, ca non, tu veux me ruiner?!

Je lui jette un regard dur puis souris. -Alors oublions ce cristal, tu pourra en refaire profil, je prendrai que ces habits.

Il fronça légèrement et grognant comme il le fait toujours quand il sais que nous savons que c'est inutile de nous piéger. - Bon.... d'accord. J'accepte.

- Bien!

Je donne les cristaux à l'étranger.

- Ils ne sont pas égaux, mais ensemble ils tiendront mutuellement votre four pour un peu plus qu'une demi journée, faites bien attention de les recharger une heure à l'avance dans un feu à son paroxysme. Ceux-ci ensemble feront au moins 27 arcanites. Je vous fais un petit prix de moins pour cet inconvénient, pardonnez mon ami. N'y faites pas attention et revenez le voir, je lui parlerai. Je lui souris tendrement.

Outrage! Mais qu'est ce que tu fais morveux !

Je ne lui porte aucune attention.

L'étranger reste un instant sans bouger puis met les mains dans sa bourse et mon tend les mains pour me donner les arcanites - Merci beaucoup, c'est assez cher, mais à long termes vous m'aidez beaucoup. Il arrêta un instant et regarda mes oreilles. Mais se reprit.
-Pardon je... je n'avais pas vue vos oreilles. Cela m'a un peu surpris.

Je tourne la tête. -Mh ? Oh ne vous inquiétez pas, je ne suis pas sauvage. Hahahaha

- Venez me voir demain pour vous remerciez je vous donnerez un pain frais du levé du jour. Il parti après que je lui ai tendu les cristaux.

Je me tourna vers Dartan encore en furie. Je ferme mon sac et m'approche de lui pour m’asseoir sur le banc.

- Ce que je fais ? je sauve ton commerce vieillard grincheux. Si tu continue, plus personne ne va venir prendre tes marchandise, tu es peut-être diversifié et peu commun, mais ce n'est pas une raison pour mettre des prix d'une journée de travail. Je mis les arcanites sur la table devant lui.
- En plus tu fais du profit, alors ne rechigne pas. 21 pour un cristal si petit qu'il en vaux 8. C'est beaucoup trop. Chauffé au maximum, il ne tient qu'un feu de soir et ne tien même pas le début de la nuit lorsqu'il est seul. Tu gagne quand même, ces habits sont beaux, mais ils sont léger et ne tiennent pas le froid pour la nuit. Je ne veux même pas savoir combien étaient ceux-ci pour toi. Mais sûrment moins que 21 pour ces deux cristaux.

- Toi et ta gentillesse.... Elle te perdra je peux te le dire! Il mit les arcanites directement dans sa poche au plus vite. Après un long moment de silence, il souris un peu de sa peau plissée.
- C'est bon de te voir, Nana sera contente. Mais qu'est ce que tu fais ici seul?

- Je commence un pèlerinage et j'y suis bien préparé. Puis il y a quelques chose que je dois vérifier à la bibliothèque.

- La jeunesse et leurs secrets, que de souvenir. Mais je ne regrette rien, j'ai fait mon temps, mes jambes ne peuvent plus passer d'une ville à l'autre comme avant. Et j'ai vécus de belles années avec Nana. Ca ne veux pas dire que je vais partir d'ici peu, la mort n'est pas aussi entêté que moi! Il ricane alors d'un rire soufflé et gras et je continua avec lui.

Je pris les nouveaux vêtements puis nous nous sommes parlés pendant un moment et fais des ventes ensembles jusqu'à midi.Midi tapant il me dit de rester ici et partis un moment. Puis revint.

Il sorti de son dos un poisson, avec l'odeur je savais qu'il était frais de ce matin....

Je le regardais avec un air et je me dit tout bas - Dartanian.... être aussi grincheux et pourtant ne pas avoir un coeur aussi aigre qu'il le montre, cela doit t'avoir coûté sa vente de ce matin...un poisson aussi frais.

- Malgré tout le chahut, je te dit merci. Je sais que tu adore le poisson , alors c'est une petite récompense pour toi.

Je lui souris et me leva pour aller vers lui. Je l'enlace fortement en me penchant et le remerciant pour ce cadeau, se sacrifice.

Nous mangions ensemble en riant de plus belles de ci et de cela. Pour ensuite en finir et me préparer à y retourner. Je l'enlace une autre fois et avant de partir, il m'ordonna presque en me disant de venir se soir prendre le thé avec lui et Nana. Avec un rire de sa façon de me le demander je lui fit signe de tête et un signe de main en repartant pour ma destination.

Sachant que le marché n'était pas totalement ouvert, puisque Dartan n'était pas encore préparé lorsque je suis partis, j'ai décidé d'aller un peu plus loin aller voir le chenil. À travers toutes les odeurs de la ville, ce fus un peu compliquer de trouver le chenil,bien beau avoir un bon odorat, mais je ne suis pas un animal, je n'ai pas autant leur sens développés. J'ai même dût demander au moins une direction avant de marcher quelques temps pour m'y rendre. Mais bon, la journée est encore jeune, il n'y as pas de quoi être pressé. Je voguait à travers les rues, regardant, visitant les lieux que je n'avais encore jamais vue pour finalement aboutir à une grande maison avec une pancarte écrit ''Refuge petits animaux'' Si quelqu'un aurait un doute là dessus, je ne vois pas à quoi il pense. Je poussa donc la porte, c'était ouvert, heureusement.

- Bonjour mon jeu-....bonjour mon jeune homme. Que puis-je faire pour toi. Une grande femme mince aux airs un peu durs et un ruban sur la tête, les manches retroussés.

- Bonjour, j'aimerais vous demander une brosse à canidés..

Elle fronça le sourcil. - Et pour quel race de chien?

- Je n'ai pas de chien, je n'habite pas ici, c'est pour ma fourrure. Je lui montre ma queue touffue.

Elle pris un moment et souffla. - Viens avec moi. Je la suivis jusqu'à un certain bac avec beaucoup de brosses. - Regarde ici tu en trouvera peut-être une à ton gout, reviens me voir si tu en trouve une.

- Pourrais-je les essayer?

- Ehhh... oui mais surtout enlève chaque poils que tu y met et surtout ne met pas de puces!

Elle partis en arrière boutique avec un air embêtée, puis j'entendis des aboiements et des miaulements. Il en faut pas s'étonner, c'est un refuge.

Je les essayas, une après l'autre en prenant le soin d'enlever les rares poils qui s'y prenaient. Quelques-unes ne brossaient pas assez rapprochés, d'autres pas assez loin, d'autres ne grattaient pas assez. Je n'en trouvait pas qui me donnait la même sensation que celle de Nana...J'attendis que la femme reviennent pour lui demander s'elle n'en avait pas d'autres. Maintenant elle avait l'air agacée.... qu'est-ce que je lui ai fait... Elle m'en a tout de même trouvé d'autres, plus chères, celle hautes gammes. Je ne sais pas pourquoi elle ne me les avaient pas montrées avant. Celles-ci avaient déjà l'air un peu plus utiles, poignées plus grosses, filaments plus rugueux. Après quelques essais' j'ai décidé d'en prendre une de ceux-ci, une qui brosserait bien autant les poils du dessus qu'en dessous, une brosse qui ne tirerait pas les poils sans ne rien lisser. Juste avant de faire la vente elle me demanda si je voulais aussi prendre une brosse non pour le besoin, mais pour les soins personnels. Un ''peigne'' comme elle m'expliquait, était fait pour aller en profondeur pour aller gratter la peau fermement,mais sans faire mal. Je ne comprenait pas vraiment mais j'accepta, après l'avoir essayé bien sur. Ces deux objets m'ont coûté 35 arcanites. Je ne sais pas leur valeurs, mais pour l'instant, j'avais hâte de les essayer! Je sortis après lui avoir souhaiter une bonne journée, malgré un tête à faire peur de sa part. Pour partir lentement vers le marché.

Un moment passa, sans me rendre compte que j'était déjà à l'entré du grand marché. Je crois avoir trop été heureux de mon achat. En regardant le soleil, j'ai vue qu'il avait bouger d'un peu. Il faut vraiment que j'arrête d'être dans mes pensées.J'hausse les épaules pour commencer à regarder les provisions des marchands déjà placés en attendant les autres. Quelque chose pris mon attention. Encore ce fruit bleu. Ce fruit bleu qui m’interpelle autant. Une pomme de la Région de Dreamland, région des elfes me dit le vendeur. Hmmm je pourras en prendre quelques une pour eux aussi. J'acheta quatre de ces pommes deux pommes rouges, deux oranges et un groupe de bananes pour 41 arcanites. Les pommes bleues doivent être chères. Je continu avec les légumes. Huit carrottes, quatre pommes de terre, un oignon, deux grand champignons,trois tomates et deux laitues. Pour 55 arcanites.
- Au suivant, du poisson......ou de la viande.... les deux, je crois que ça leur fera plaisir pour tout les goûts.

Au tour de la viande. Un grand saucisson. Une volaille et des côtes de porcs. 29 arcanites. Pour le poisson, un grand poisson pour moi, 2 moyens pour eux et quelque chose qui sent bon, des tranches de poissons fumées. 33 arcanites.

Tout ça commence à être lourd par contre. Je me demande comment je vais faire pour remonter. Je crois que je vais demander à quelqu'un de m'aider.

- Nex, mais qu'est-ce que tu fais avec toutes ces choses. Tu ne pourra jamais apporter tout ça et le manger seul. C'est Dartan qui s'était enfin placé et qui faisais une marche autour en avant de rester assis pendant la journée, pour qu'il y soit je dois avoir perdu beaucoup de temps. En effet, en levant la tête je m'aperçus que le soleil avait bougé d'une position complète qu'elle était avant, il doit être 9 heure passés.

- Non Dartan, ce n'est pas seulement pour moi, ce sont pour les bibliothécaires qui m'ont aidé hier. Le seul problème c'est que je m'y suis emporté, je suis habitué de faire du troc correctement et pour toute la tribu, mais seul et avec des arcanites, j'essai de faire attention mais je ne sais pas comment bien dépenser. Et puis maintenant, c'est beaucoup trop lourd pour faire le voyages làbas seul.

- Hmmm... je crois que je peux t'être redevable tout de suite. Va à mon stand et attend moi là-bas je dois aller voir quelqu'un. Il partit sans me laisser le temps de dire quelque chose, alors je l'ai attendu à son stand. Il arrive un moment avec un grand gaillards très gros et bien bâtit, un peu plus jeune que lui, avec un sac sur le dos. un étrange sac à dos.

- Je te présente Trugues, le fils d'un vieil ami marchand, il va pouvoir t'aider. Ça famille se perfectionne en ferraillerie. Je te laisse avec lui. Bonne journée jeunôs, amusez-vous bien sur la route.

Il avait un sac rectangulaire, avec des lanières de cuire dans son dos pour n pas que cela lui fasse mal, d'autre lanières lui passait et s'attachaient sur le torse et le ventre en plus des épaules pour bien stabiliser le sac et le dos.

Il mit sa main devant moi pour que je la serre.- Bonjour Nex, Je m’appelle Trugues, je rend un petit service à l'ami de l'ami de mon père, alors ne t'inquiète pas. Et pour le sac tu dois déjà te l'avoir demander, c'est un sac conçus pour garder tout au frais, j'ai mit un compartiment avec de l'eau en dessous pour mettre un peu de fraîcheur de plus aux aliments.C'est testé contre les fuites alors ne t'inquiète pas non plus pour ça. Met la viande et le poisson. Je te laisse t'occuper des fruits et des légumes.

Je lui serre la main et me présenta pour ensuite mettre ce qu'il voulait dans le sac. Je gardais les fruits, le pain et les légumes dans le panier du boulanger. Nous nous mirent ensuite en voyage en faisant signe à Dartan.

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