Temple des Trois Lune

Temple des Trois Lune

Situé au nord-ouest de Forest Heaven, on y retrouve le temple des trois lune. Gardé par des moines combattants, ce temple prône la justice, l'équité, la protection et le bien-être. Plusieurs péllerins y affluent jour et nuit. Étant une des quatres religions principale de ce monde, il est tout a fait normal que la majorité des citoyens de Dreamland pratique cette religion et vénère ces dieux.

On y raconte qu'une dizaine de moines élites dans l'art de la guerre protège des reliques de grande valeur.

Rosabelle Desbois était assise devant une fenêtre du temple des trois lunes, le regard emplie d’une détermination plaine de tristesse. Elle fêtait ces 20 ans par ce beau matin et elle avait passé la nuit à regarder la lune accomplir son arc solitaire dans le ciel étoilé épargné par les nuages. Elle repensait sans cesse à sa vie d’avant, à sa famille, à son petit cottage brûlant dans le ciel qui s’éveillait de ces teintes pastel. Il lui semblait bien encore sentir l’odeur de brûler qui avait accompagné la tragédie, mais elle savait par habitude que ce n’était que le cuisiner du temple qui torturait encore la nourriture. Habituellement, la jeune fille prenait sur elle de cuisiner pour les moines combattant qui appréciaient tous l’attention, mais, en se matin de fête, Un jeune homme lui avait galamment proposé de la remplacer. Rose avait accepté, mais avec une certaine hésitation car toute les fois où il était venu l’aider en cuisine, le jeune homme ratait tout, mais elle n’avait pas eu le cœur de le renvoyer après une aussi gentille proposition.

Ainsi, dans tout le temple on pouvait entendre des plaintes et des estomacs gargouiller, mais avec une certaine bonne humeur festive, comme toujours. Comme toujours depuis un an. Après la mort de sa famille, Rose était parti faire des études supérieures dans une académie spécialisée dans l’art de la littérature et des bonnes manières dans laquelle sa famille l’avait inscrite avant de mourir. Rose en était ressortie en pleine maitrise de ces capacités, mais certaine chose la dérangeait un peu, même si elle cherchait à nier les évènements. Il y avait là, un vieil homme qui prétendait être devin et, pour rigoler, Rose avait suivi ces amies de l’académie jusque dans sa maison pour se faire lire l’avenir. C’était alors ensuivit l’annonce d’un destin incommensurable et funeste. Elle avait tout nié, avec rie jaune, puis était partie sans demander son reste.

Rosabelle se détourna le la fenêtre en soupirant. Depuis qu’elle était sortie de l’académie, il lui avait fallu trouver un endroit où dormir et les moines du temple avaient insisté pour la prendre sous leurs ailes. Elle avait d’abord été très réticente, ne voulant pas qu’ils voient en elle autre chose que ce qu’elle était vraiment… Mais avait fini par se résigner lorsqu’elle avait été affamé et sans argent après avoir été battu et voler par des mercenaires passant leur chemin. Ils avaient ensuite tenté de la violer, mais un moine guerrier du temps qui passait par là, par hasard supposément, c’était interposer pour lui sauver la vie.

Elle habitait dans le temps depuis ce temps, presque un an maintenant. Ils l’adoraient tous tout particulièrement, mais elle tenait à leur rendre chaque service et s’évertuait donc à cuisiner, ramasser et nettoyer derrière les moines. Elle était la seule fille du temple, aussi, essayait-elle de jouer les femmes de maison pour nettoyer et ranger l’endroit. Mais elle y était bien, avait un toit sur la tête, de la nourriture et des vêtements chaud, aussi ne se plaignait-elle pas et faisait son possible dans le temple malgré sa blessure à la jambe qui la maintenant aliter des journées durant lorsque la douleur était trop forte pour qu’elle se lève. Lorsque c’était le cas, on s’occupait d’elle volontiers, la dorlotant même plus que ne pouvait supporter son caractère fière.

C’était pour cela que Rose voulait partir. Elle connaissait tous les moines et les adoraient, chacun avec leur petit geste gentil et leur personnalité différente, mais elle se sentait étouffer et incapable de faire son deuil. Malgré son éducation et les coups dure de la vie, la jeune fille avait gardé son côté aventurier et elle voulait maintenant se trouver un chez soie bien à elle. Une jolie bibliothèque où elle pourrait chérir la mémoire de sa famille et les vieux livres de ces parents qui se trouvait toujours dans l’abri spécialement conçu par son père pour les préservés de l’usure.

Rose se leva, le regard résolu. Oui, elle partirait à l’aventure ! Et pas plus tard que ce soir-là. Hochant la tête comme pour ce convaincre, la petite aventurière replaça le bas de sa robe noir à dentelle blanche et se leva dans un froufrou blanc et noir. Soudain toute souriante, la petite fille gambada joyeusement le long du couloir austère de pierre jusqu’à une porte de bois toute simple où se trouvait le dirigent du temple, celui qui l’avait si gentille accueillie. Soudain réticente, la jeune fille lissa sa robe, s’éclaircis la voix et plaça sa très longue chevelure joliment coiffé vers l’arrière. Elle souffla une fois… Puis deux fois… Puis trois fois avant de lever la main pour frapper le panneau de bois qui s’ouvrit avant même qu’elle ne cogna.

Sursautant, Rose eu le réflexe gênant de frapper, mais le moine de l’autre côté de la porte, avait l’habitude et attrapa vivement le poignet de sa protéger pour dévier le coup avec un calme plat et un regard peiner. Il était le seul dans le temple à savoir son histoire et il était peiner par ce qui était arrivé à Rosabelle et il ne pouvait cacher la tristesse de son regard alors qu’il se souvenait de la petite fille qui était devant son regard froid il y avait de cela moins d’un an, alors que Rose était couverte d’ecchymose violacer et de plais plus ou moins grave. Il savait que Rose c’était battu bec et ongle, mais cela n’avait rien donner, elle avait été presque violer…En fait, il était plus ou moins certain qu’elle l’avait été, mais la jeune fille devait avoir effacé ce moment pénible de sa mémoire car elle prétendait ne pas savoir de quoi il parlait chaque fois qu’il tentait d’aborder le sujet avec elle.

Cela avait pourtant prit plusieurs mois avant que la jeune fille cesse de se terrer dans sa chambre et de trembler chaque fois qu’un moine s’approchait. Il avait d’ailleurs remarqué que la jeune fille refusait toujours d’être touché, peu importe par qui, ce qui rendait un peu délicat le traitement de ces blessures.

Rose leva le regard vers son bienfaiteur qui lui lâcha le poignet aussitôt qu’il réalisa qu’il la touchait. Mal à l’aise, Rose tressai et rapprocha son poignet de sa poitrine comme s’il avait été brûlé et tourna les talons en marmonnant un petit « désoler » cristallin. Alors qu’elle allait disparaitre dans le couloir, le dirigeant la héla, sachant très bien que si elle disparaissait, elle ne réapparaîtrait pas avant le surlendemain, au minimum.

--Qu’avait tu à me dire, Rosabelle? Parle, je t’écoute.

Le souvenir de ce qu’elle s’apprêtait à faire s’imposa à sa mémoire et sembla trancher efficacement les brumes de malaise se dissiper pour lui permettre de réfléchir à nouveau de manière normal. Sachant que Matthew ne se formalisait jamais de ce type de comportement, habituel chez elle, la petite Rose ne prit pas la peine de s’encombrer d’excuse inutile et revint vers la porte en tortillant maladroitement une mèche de cheveux entre ces doigts fins avant de prendre la parole :

--Je venais simplement faire étale de mon départ. J’ai envie… je dois… je crois que…

Le dirigeant leva une main patiente pour faire taire la pauvre petite chose qui bafouait maintenant de manière inquiétante. Lorsqu’elle eut repris son souffle, Matthew sourie à Rose, la détaillant de haut en bas. Il était fier d’elle. Triste qu’elle parte, mais content qu’elle décide de sortir de son petit cocon de sécurité. Il leva la main pour la poser sur sa petite épaule toute frêle, mais retint son geste. Il connaissait les capacités guerrières de la petite malgré son apparence de petite fille. Elle était forte et il la savait capable de grande chose… Plus grande encore que ce qu’elle croyait. Il lui sourit et poursuivit donc avec la plus grande gentillesse.

--je me doutais bien que ce jour viendrait. Va et fait toi une belle vie. Et reviens nous voir si tu as besoin de quoi que cela fut. Nous serons toujours-là pour toi.

Ne s’embarrassant pas de veine paroles, le dirigeant regarda la petite fille toute heureuse repartir en gambadant dans les couloirs, toute peur à nouveau envolé, comme un gris nuage.

De son côté, remplie de joie après la bénédiction de son bienfaiteur, alla faire ces bagages en chantonnant. Elle glissa rapidement ces deux immenses cimeterres dans les étuis croisés dans son dos et détacha ces cheveux pour en cacher les mancherons gris et noir. Bouclant sa cape de voyage rouge et sa ceinture, Rose tourna les talons et alla chercher en cuisine un peu de nourriture et de l’eau, empocha une carte de la région et dit au revoir à ces amis avant de disparaitre dans le soleil de midi qui miroitait dans ces cheveux bruns pour les rendre couleur miel chaud.

Shu Kageshi avait déjà marché depuis un bon moment, il savait où qu’il devait aller, marchant de jour, comme de nuit, ne dormant que quand il en avait vraiment besoin. Il s’était amené un peu de nourriture dans un sac de voyage et une gourde sachant que la région de Dreamland n’avait que de l’eau potable. Il avait marché à travers des prairies et des chemins ce dirigeant vers le temple des trois lunes. Le chemin fut court, ou c’était ce qu’il croyait ne se rendent pas compte du temps qui passait. Il était finalement arrivé au temple, les portes était ouvertes et des moines gardait la portes. Le jeune homme marchait vers eux, qui le regardait passée à leur coté sans dire un mot. Finalement les deux moines ce rendre compte de ce qu’il se passait.

-HEY! Attend un peu!

Shu s’arrêtais sans tournée la tête. En fait il fixait une statue de pierre, si intensément qu’il ne se rendait plus compte de ce qui se trouvait autour de lui. Cette statue il ce rappelais l’avoir vue a quelque part, mais plus loin il cherchait dans ces mémoire, plus il se donnait mal à la tête. La statue montrait une femme, tenant trois lune en lévitation au-dessus de ces mains. Shu portait rapidement une main a son visage ce tenant le front a cause de la douleur. Les deux moines accouraient le dévisageant un moment. Le jeune homme ce redressa, les deux moines commençait a insisté pour qu’il se repose. Le jeune homme sortait la lettre que leur tête dirigeante avait envoyée à la capitale a peine quelque temps plutôt. Il montrait la lettre au deux moines.

-Je suis seulement ici pour parler avec la personne en charge.

Les deux moines le regardait puis hochait la tête, lui faisant signe les suivre, il déambulait dans les couloirs jusqu’à la salle où leur chef était. Un des deux moine cognait, la porte s’ouvrait et un vieillard l’accueillait d’un beau sourire. Le jeune homme entrait dans la sale sans être suivit pas les deux garde. Le vieillard le regardait puis lui faisait signe de prendre place sur un tapis, où deux petit verre a thée était disposée. Shu s’y prit une place, sans dire un mots.

-Il est rare pour moi d’avoir des visiteurs. Lanca le moine.

Shu levait les yeux, l’homme n’était pas si vieux et pourtant il n’avait pas l’aire d’être en super bonne état.

-Je suis ici pour cette lettre. Lancait Shu en tendant la lettre au moine.

Le moine regardait Shu un moment.

-Je me fais vieux, et je suis atteint d’une certaine maladie. Il y a une femme qui résidait parmi nous. Elle a vécue plusieurs chose horrible, pourtant sa curiosité la pousse a voir le monde. Tout ce que je demande c’est de la protégé, retrouve la et si quelque chose arrive, protège là.

Shu regardait le vieillard, Il savait que le vieux tiendrait une hivers ou deux de plus. ces yeux cerner montrait la fatigue et son corps avait l’aire de vouloir ce rompre a tout moments. Il prenait tout de même la parole, regardant le moine avec ces yeux sans émotion.

-Je ne prends pas de requête, sans paiement

Le moine rigola un moment.

-Toi aussi tu as vécue beaucoup a ce que je peut voir. Bien sur il y aura un paiement, Si tu la protège, je cèdera mon style du dragon a toi. Par contre si tu en es incapable, alors je m’assurerai de revenir te hanter après ma morts.

Le jeune regardait le moine puis accepta le boulots, il se relevait et marchait vers la porte. Le moine lancait :

-Tu pars déjà? Ah oui, cette fille, elle s’appelle Rosabelle.

Shu ne tournait même pas la tête, surtout qu’il avait cette impression d’avoir entendue ce nom quelque part, mais encore une fois plus il y pensait, plus il avait mal a la tête.

-Un travail s’accomplie pas tout seul.

Il ouvrait la porte et comme il allait sortir il lança.

-Ne perd pas contre une maladie le moine. C’est pire que de perdre au un jeu..

Un moine lui donnait une carte, sur celle-ci était marquée un petit village où elle pourrait bien se trouver en ce moments.

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