Plaine d'EarthFire

Rosabelle avait quitté la bibliothèque il y avait de cela quelques heures. Bien qu’elle déteste toujours autant les cités et les villes, Rose avait pris sur elle pour passer outre ces peurs pour arriver plus rapidement. Elle aurait pu contourner aisément le marcher, mais faire le tour de son ancien village aurait pris une journée entière et, bien que la pluie avait cessé de battre, il faisait toujours froid et humide et la pauvre petite fleur avait bien peur que ces douleurs reviennes avant qu’elle ne soit rentré à la bibliothèque. Elle avait, bien sûr, une gourde du breuvage qui soulageait sa douleur, mais cela l’envoyait dans un profond sommeil comateux… C’était une bien mauvaise idée de s’en servir sur le bord d’une route… Qui savait sur qui elle aurait pu tomber… Ou sur quoi… Au souvenir pénible de son agression, la jeune fille frissonna et s’assura que sa capuche était très bien enfoncée sur sa tête pour lui éviter les regards curieux et elle accéléra le pas pour arriver le plus rapidement possible en vue de la plaine au si mauvais souvenir.

Pourtant, au souvenir des livres qu’elle y avait laissé, bien camoufler pour que personne ne les trouvât jamais, Rose se rasséréna. Bientôt, elle n’aurait plus à revenir en ce lieu si sinistre. Bientôt, sa vie prendrait un nouveau tournant. Enfin… Elle l’espérait.

Rose évita la place centrale pour s’enfoncer en direction du petit chemin qui menait à son ancien cottage, sa petite maison toute carbonisé dont les cendres froides semblaient avoir infecté les sols pour les rendre infertile. Mais la petite fleur savait très bien que ce n’était qu’illusion. Bientôt, les sols autours du cottage seraient si fertiles qu’il y pousserait facilement toute sorte de plante et de fleur. Que le lieu désolé deviendrait rapidement magique… Avec un peu d’aide. Et cela redonnait courage à Rose qui cherchait à se raccrocher à tout ce qui pouvait rendre sa vie moins pénible. En parlant de pénible, la petite fleur trébucha sur ces pieds et se rattrapa de justesse à un arbre. Elle souffla un bon coup et attendit que le tressautement musculaire de sa jambe cesse et qu’elle puisse à nouveau se tenir sur ces jambes avant de se remettre sur pied, sa bonne humeur un tantinet entamé. La douleur la reprenait par-à-coup et elle savait que cela empirerait… Pourtant, boire le remède ici et maintenant lui semblait une bien mauvaise idée… Elle n’était pas encore arrivée. Sans doute pourrait-elle se laisser aller au sommeil dans l’abri à livre que son père avait créé, mais pas maintenant.

Soupirant, Rose délaissa le sentier qui serpentait dans les bois pour piquer au travers les arbres, s’évitant ainsi plusieurs minutes de tracas. Et, sans le savoir, l’armée établie par sir Ironfang et son second, le baron. Habilement, La petite fleur se faufila entre les hommes de corvée de bois sans même s’apercevoir de leur présence et vice-versa. Sa jambe gardait tout de même une assez bonne mobilité pour qu’elle évite de se prendre les pieds dans les racines et pour éviter de faire craquer inutilement les feuilles mortes au sol, après tout, elle avait beau être blesser, elle avait presque vécu sa vie durant dans ces bois et en connaissait presque chaque branche, presque chaque pierre qui pouvait ce dresser sur son chemin. Rapidement détendu par le lieu familier et calme, Rose commença à marmonner une douce mélodie bien connue d’une voix cristalline et enchanteresse. Rapidement, sa voix se fit plus douce et plus audible, accompagnant à la perfection son pas dans les bois.

À la claire fontaine
M'en allant promener
J'ai trouvé l'eau si belle
Que je m'y suis baigné

Il y a longtemps que je t'aime
Jamais je ne t'oublierai

Sous les feuilles d'un chêne
Je me suis fait sécher
Sur la plus haute branche
Un rossignol chantait

Il y a longtemps que je t'aime
Jamais je ne t'oublierai

Chante rossignol chante
Toi qui as le cœur gai
Tu as le cœur à rire
Moi je l'ai à pleurer …

Ainsi, Rose chemina un certain… Puis elle entendit un murmure et arrêta net la douce mélodie de son enfance. Le cœur soudain battant, la jeune fille s’assura que sa cape se trouvait sur sa tête et elle se pencha. La position lui arracha une grimace de douleur à cause de ces blessures plus ou moins récente, mais elle tint bon, ce dirigeant prudemment en direction des bruits de voix étouffé. La jeune fille arriva bien vite près du campement de fortune et serra les dents.

Se faisant violence au vue des étendards, la jeune fille recula dans l’ombre de ce début d’après-midi. Elle voyait plusieurs hommes cheminer en divers endroit pour s’enfoncer dans les arbres et elle comprit alors qu’elle avait échappé belle de se faire coincer sur son propre territoire. Étouffant un grognement mécontent, la jeune fille recula et, au moment où elle allait repartir dans la forêt pour… Pour elle ne savait trop quo, en fait… Elle ne pouvait détaler comme un lapin à cause de ces blessures de plus en plus douloureuses… Et ne pouvait se laisser coincer par ces hommes dont elle ne savait rien. La peur la prit au ventre. Et si, eux aussi, tentait de… Non… Non, elle ne pouvait se faire prendre par ces hommes… mais elle devait d’abord se cacher… prendre du mieux, sans quoi, jamais elle ne serait capable de leur échapper… Si près de sa maison? Qu’y cherchaient ces hommes?

Rose massa vivement sa jambe pour faire cesser les tressaillements rapidement, mais alors qu’elle allait se fondre dans les ombres, elle entendit une voix tout près… Un homme en armure qui disait à son second qu’il partait… Mais il venait dans sa direction et il était horriblement près. Terrifier, Rose prit sur elle de chercher une solution. Elle s’assura que ces cimeterres étaient invisibles, mais accessible et elle tenta de se redresser, mais sa jambe choisie de moment pour se dérober sous elle et elle tomba avec un bruit de branche cassé sur un tapis d’aiguille de pin.

Grognant de douleur, Rose se tortilla péniblement et se glissa dans les ombres de la forêt, entre deux grosses pierres, là où elle pourrait, même au sol, dégainer ces cimeterres pour ce battre. Certes, cela la mettait dos aux pierres et la piégerait si jamais quelqu’un venait voir ce qui avait fait ce bruit, mais au moins, elle était assuré que personne ne la prenne par derrière. Son cœur cognait. Cette fois, ils ne l’auraient pas. Cette fois, ils ne la briseraient pas.

Le campement avancait a un bon rythme. Sir Ironfang se devait de donner a ses hommes un nouvel objectif, une chance de pouvoir tous se venger. En effet son propre cousin, l'ayant trahis, tua toutes les familles de ses soldats avant de venir le chercher sur le champ de bataille et de tenter de lui enlever ses frères. Il se sentait accablé d'un devoir, mais d'une aussi grande peine. D'ailleur cela n'était qu'une des raisons pourqoi il était ici aujourd'hui. Il se devait de redonner une maison, un lieux ou lui et ses hommes habiterais et de leur donner un objectif. Cet objectif, il l'avait en tête. Venger ses troupes, leurs femmes et leurs enfants, sa prorpe fille adoptive et nettoyer ces terres-ci de la menace qui les guettes. Il sera prêt a tout pour le faire... L'homme se retourna et poursuivi son chemin sans grande presse, sachant que personne ne l'attendait vraiment et qu'il avait besoin d'air.

Sa petite marche durait déja quelques minutes, que certains jeunes hommes bien constitué avait décider de s'enrôler auprès de son armée suite a un bon discour et de bon argument. La journée était rayonnante et accompagné d'une agréable température. Le long du chemin plusieurs jeunes femmes ayant eu vent d'une armée dirigée par un jeune roi ayant 23 ans s'était ébruité et plusieurs d'entre elles essataient d'impressionner Ironfang avec leurs atouts naturels ou quelques répliques banales. Sir Ironfang s'en foutait éperduemment, saluant les femme polimment, mais continuant son chemin sans y preté plus d'attention que cela.

Marchant toujours sur un petit sentier dans les bois, l'homme marchait, sans trop de but et s'approchait de ce que les personnes appelait la chaumière ardente. Étant surieux de nature le beau jeune homme n'hésita pas a se diriger vers la chaumière. juste avant, le bruit d'un petit ruisseau lui rapella qu'il avait soif et qu'il se devait de se rafraîchir le visage avec de l'eau pour l'aider a se tenir réveiller.

Agenouiller par dessus le ruisseau, l'homme fit sa petite besogne tranquille jusqu'au moment ou il croisa son propre reflet dans l'eau. De son gantelet en acier, il frappa de toute ses forces son reflet et se lanca vers larrière pour atterir sur les fesses. Ressemblant a quelqu'un qui parle touta bas au loin, le jeune roi se lancait des injures, se traitait d'incapable, de faiblards...

Malgré la trahison de son cousin, il remettait tout sur sa faute a lui. Malgré le fait que ses hommes le savent, le roi lui, se morfond et se torture... se détruisant de l'intérieur petit a petit...

Un petit bruit de branchage casser le sortit de sa torpeur. Il tourna sa tête aussitôt vers le bruit. Sachant pister des assansins, espions et soldat adverse depuis l'âge de 11 ans, Ironfang n'eut pas trop de difficulté a réduire et savoir approximativement l'endroit ou il fallait qu'il fasse ses recherches. En moins de deux, il enfila son casque, et couru vers le bruit. Arrivant aux branches cassées, Ironfang se pencha dessus et observa pendant quelques secondes prenant les branches et observant les points de fractures et autres... Ne sachant vraiment pas ou la personne aurait pu aller et dans quMelle direction, Le jeune roi joua de chance en entendant un petit grognement venant de sa gauche.

Avec précaution, il s'avancait, main sur sa garde. A sa stupéfation, il vit une femme acculée a un mur, deux cimeterres dans le dos. De suite, comme un réflèxe et en signe de non agressivité, Ironfang posa un genou au sol, main droite sur son coeur. main gauche tenant son casque et pronnca ces mots :

- Bon après midi mademoiselle, Je me nomme Sir Ironfang, roi venant de terre lointaine. je viens ici pour nettoyer les terrres de l'énorme fléau qui l'envahit... Je suis désoler si je vous ai fait peur. Vous sembler soufrir demoiselle. Si vous voulez bien, je peux vous emener dans mon campement voir notre chirurgien, il pourra evaluer ce que vous avez et peut-être le soulager.... Mille excuse... qu'elle est votre nom très chère ?

Avec un phrasé et un tont de vois doux et suave il attendot patienmment sa réponse, la tête baisser en signe de non agression et de salutation des plus polis qu'il puisse connaitre...

Rose tâchait de contrôler sa respiration. Si elle cédait à la peur, elle figerait et serait dès lors incapable de se défendre correctement. Elle avait la capacité de ce défendre, mais, lorsqu’elle paralysait, il lui était impossible de faire le moindre geste, ni même d’aligner la moindre penser cohérente. Une minute d’inattention et elle mourrait.

Rose entendit un bruit de pas qui lui fit retenir son souffle. Elle savait que quelqu’un tournait autour de sa cachette, mais elle espérait qu’il partirait sans demander son reste et sans la voir… Malheureusement pour la petite fleur, l’inconnu trouva la brèche entre les deux rochées, là où elle c’était glisser un peu plus tôt. Prise de panique, la jeune fille s’assura que sa capuche rouge était bien remontée sur sa tête avant de tendre le bras vers l’arrière prête au combat.

Pourtant, alors qu’elle allait balancer le premier coup, l’homme en armure s’abaissa et mit un genoux en terre devant elle. Farouche, Rose bloqua son geste et le regarda du fond de sa cachette, ce demandant ce que l’homme en armure pouvait bien lui vouloir pour ne pas l’attaquer dans l’immédiat. Elle le détailla de haut en bas et, bien qu’il ne fût pas désagréable à regarder pour ce qu’elle en voyait, elle ne dit mot, attendant de savoir ce qu’il lui voulait. S’il l’avait attaqué directement, elle aurait réagi… Mais là…

Tout le temps que dura son monologue, la petite fleur s’assurait qu’il ne bouge pas, juste au cas où ces paroles aurait été destiné à endormir sa méfiance. Suspicieuse, Rose garda un de ces cimeterres en main, mais libera la seconde. Visiblement, l’homme en armure n’en voulait pas à sa personne dans l’immédiat, mais on n’était jamais trop prudent. À la mention d’un chirurgien, Rose fit la moue. Elle ne laisserait pas un homme la toucher et encore moins l’inspecter de pied en cape en restant sagement assise à se laisser faire. Et pour ce qu’il trouverait…

Pour prouver qu’elle allait bien, Rose leva le bras, celui qui ne tenait pas le cimeterre, et se issa sur sa jambe valide. Le mouvement débalança la jeune fille qui se crocheta l’épaule sur la pierre coupante, s’entaillant du fait même l’épaule qui se mit à saigner. Rose se remit à équilibre, même si sa jambe semblait presque pendre sans vie derrière elle, puis elle regarda en serrant les dents le sang coulé le long de son bras.


Farouche, Rosabelle reporta son attention en direction de l’homme qui lui bloquait la sortie, son cimeterre levé dans sa direction malgré la certaine distance qui la séparait de l’homme. La jeune fille hésita en détaillant à nouveau l’homme, ce demandant ce qu’elle pouvait bien lui dire… Affirmer qu’elle allait bien aurait été quelque peu… Étrange… Même si elle faisait de son mieux, elle boitait atrocement… Et ça, c’était si l’homme n’avait pas remarqué ces cicatrices, bleu et brûlures… S’assurant à nouveau, dans un geste automatique, que la capuche de sa cape était belle et bien en place, la jeune fille débuta d’une voix hésitante et cristalline :

--je me nomme Rose. Vous ne m’avez pas fait peur, vous m’avez surprit. Ceci est une terre privé. Vous et votre armée de devriez pas être ici, peu importe de fléau qui vous y ai mené.

En fait, la terre avait cessé d’être privée lorsque le cottage avait pris subitement feu… Il y avait de cela plus de quatre ans… Mais la petite fleur garda ce détaille pour elle, ne voulant pas se l’avouer à elle-même.

Effaroucher, la jeune fille voulut contourner à bonne distance l’homme, mais une soudaine vague de douleur la fit grimacer et elle dû abaisser sa lame pour s’appuyer le dos contre la pierre. Si seulement elle pouvait se reposer et prendre la potion pour ce soulagé… Mais elle était entourée d’homme inconnu qui ne demandait peut-être que cela… Qu’elle accepte de le suivre hors de sa cachette…

Soupirant, le visage à l’aire sauvage de la petite fleur se mua en un masque de fatigue et elle poursuivit lentement :

--Il ne pourra rien pour moi, j’ai seulement besoin de repos…

Puis la jeune fille leva les yeux au ciel avec une touche d’exaspération avant de poursuivre :

--Et cessez de parler avec ce ton de voix, on dires que vous essayez d’attiré un animal sauvage dans vos filet. À moins que ce ne soit ce que vous tentez de faire…


La jeune fille tourna vers l’homme un regard sombre et étrangement troublant qui sembla le sonder jusqu’au plus profond de son âme. Pourtant, son regard ne soutenu pas longtemps celui de l’homme et, rapidement, sa tête sembla lui tourner. Malgré que son visage et son langage corporel semble trop épuiser pour être agressif, la petite fleur gardait en mains son cimeterre, ce qui démontrait qu’elle était encore nerveuse, alerte et imprévisible.

Shu était finalement arrivée dans la plaine d’earthfire, cela lui avait pas pris beaucoup de temps, mais il était finalement arrivée. Au loin il pouvait voir les déplacements des soldats qui avaient pris les lieux. Pour lui ce faufilé a travers des piètre homme tel qu’eux était un jeu d’enfants. Il ce faufilait a travers les forêts, marchant d’un pas rapide pour rejoindre le cottage qui avait brulé il y a de cela longtemps. Il passait à côté de plusieurs soldats sans que ceux-ci ne s’en rendre compte. Des soldat faisait leurs ronde sans même ce rendre compte qu’une personne passait a travers leur rang ce dirigeant vers la tente principale. S’il y avait une personne a qui il pouvait demander cette question c’était bien le commandant lui-même. Peut-être qu’aux prit d’une dague sous la gorge. Le jeune homme avait traversé le boisée très facilement. Il était presque rendue qu’il put entrevoir un homme en armure a travers la branchaille. Il voyait clairement la petite fille qui essayait de ce relevée avec misère, mais retombais dans son troue.

*Je comprends la médication maintenant.*

L’homme décida de s’avancer. Il sortait de sa cachette, sans vraiment montré qu’il se cachait. Il marchait vers l’homme qui était en armure qui était devant le trou, Il ce plaçait entre la pierre et l’homme, sachant très bien que cela obligerais le guerrier a ce déplacé.

-Eh bien, Je croyais que cet endroit était normalement très calme. Lançait le jeune homme.

Shu ce dirigeait vers la jeune femme qui avait reculé pour s’adosser a la pierre. De sa main gauche il relevait sa veste, de la façon qu’il était placée, elle seul pouvait voir la lettre avec le sceau des moines qu’elle connaissait. Il marchait jusqu’à elle et ce penchait a ces coté murmurant quelque mots pour qu’elle seul puisse l’entendre.

(-Si quelque chose arrive, j’aurai besoin de ton aide.) Il la regardait, avec ces yeux qui paraissait sans vie ni émotion.

Il ce relevait finalement pour faire volte-face regardant l’homme un moment.

-Je crois que ce serait une très mauvaise idée de trainée ici plus longtemps. Après tout, certaine rumeur sont réelle.

Rosabelle grimaça et massa doucement sa jambe douloureuse en gardant un œil sur l’inconnu en armure au cas où il aurait tenté quoi que cela fusse. Elle se sentait prise en étau entre les rochers et Sir Ironfang et cela lui donnait, d’instinct, envie d’attaquer par réflexe et prévention.

Lorsqu’elle perçut un mouvement en direction de l’homme, Rose se redressa, alerte, mais, lorsqu’elle le vit reculer, elle se calma considérablement et de manière visible. Ses épaules se détendirent et elle souffla discrètement. Elle s’en voulait peut-être un peu d’avoir été aussi acerbe envers l’homme, mais c’était comme ça. La jeune fille grimaça légèrement à cause de sa jambe et elle se redressa. Ce n’était pas la première fois qu’elle avait mal et, après la surprise du moment, elle reprenait contenance. Lorsque Ironfang lui parla de paiement de dû, Rose hésita et ouvrit la bouche pour lui avouer que cela ne pourrait se… À moins qu’il ne veuille traiter avec elle en personne… Rose ne dit rien, mais son regard étrange se remplis de tristesse et de douleur contenu au souvenir de sa famille… De son père qui, normalement, aurait rencontré lui-même  le jeune Sir.

Alors que Rose allait sortir du tas de pierre pour éviter de se sentir prise au piège, un jeune homme sortie des bois pour venir à leur rencontre. Rose s’assura, par réflexe, que sa capuche cachait ce qui devait l’être, puis elle retourna à sa place, dos à la pierre. Si on l’attaquait, elle n’aurait personne pour la prendre à revers. Son regard se fit plus fauve alors qu’elle détaillait le nouveau venu, à nouveau farouchement accroché à son cimeterre. Si elle n’avait pas aussi mal, elle aurait sorti le second qui était toujours prisonnier de son dos, enchevêtré dans son harnachement de cuire. Lorsque Shu fit reculer le jeune Sir, Rose s’aplatie contre la pierre. Si elle avait pu s’y fondre, elle l’aurait fait… Mais que lui voulait-il? Finalement, elle préférait le jeune Sir qui lui semblait soudain moins menacent que l’autre…

Elle laissa échapper un vague feulement menacent, mais le changea rapidement en un toussotement étouffer dès qu’elle s’en aperçut. Ne pouvant aller plus loin, la jeune fille raffermi sa prise sur son arme en observant Shu et, lorsqu’il releva son chandail, les yeux de la jeune fille se firent plus rond, remplis de stupéfaction par ce qu’elle avait vue. Elle était si stupéfaite de voir le Seaux des moines entre les mains d’un inconnu, qu’elle le laissa se pencher à son oreille pour lui murmurer de bien curieuse paroles…

Elle releva la tête et vit qu’il l’observait de son regard terne et remplis de douleur et elle plongea son propre regard troublant et étrange dans ceux de l’homme, essayant de déterminer ce qu’il pouvait bien savoir… ce que le dirigeant du temple avait bien pu lui dire sur elle… Sur son passé, certes, mais, surtout sur ce qu’elle était… Ils se toisèrent un vague instant, puis Shu se détourna d’elle pour se tourner vers Ironfang.

Pendant que les deux hommes se faisaient face, Rose grommela vaguement quelques mots avant de se redresser. Elle prit sur elle de se décaler de la paroi de pierre pour reprendre contenance et elle rangea son arme dans le harnais prévu à cette effet et qui était camoufler dans sa cape… Après c’être assuré que les deux hommes était trop occuper à se faire face. Peu importe ce que Shu savait d’elle, elle était maintenant prise avec lui. Le chef qui l’avait recueilli après son agression était un homme particulièrement têtu et il ne pouvait avoir engagé que quelqu’un qui l’était autant que lui… Aussi, inonder Shu d’injure n’aurait sans doute servie à rien d’autre qu’à lui donner l’aire idiote, alors aussi bien sauter immédiatement d’étape du déni pour aller directement au moment où elle trouvait une solution pour s’en débarrasser. Elle était partie exploré la vie et elle n’avait pas besoin d’un garde du corps.

Rose releva soudain la tête en s’apercevant que le jeune Sir tournait les talons pour partir… En fait, la petite fleur n’avait pas vraiment écouté leurs échange, trop occuper à trouver une solution au nouveau problème qui se prénommait Shu. Elle avait rangé son arme simplement parce qu’elle savait que s’il avait été engagé par le dirigent du temple, elle pouvait lui faire confiance… Mais le savoir ne rendait pas la chose plus facile à accepter pour la farouche petite fleur qui avait un secret à cacher.

Comme l’homme partait, Rose eu un sourire vaguement féroce. Et un de moins. Ne restait plus qu’une personne à semer avant de pouvoir aller récupérer les livres qui se trouvaient bien caché sous sa petite chaumière brûler. Si elle aurait pensé que cela suffirait à le démonter, Rose se serait faite désagréable au possible… Mais elle doutait qu’il laisse tomber aussi facilement. La jeune fille détailla vaguement Shu et croisa les bras sur sa poitrine, le dos non chalamment appuyer sur la paroi de pierre pour ménager sa jambe, se demandant bien qu’es que pouvait avoir de spécial un si jeune homme pour avoir été engagé par le chef du temple qui était si difficilement impressionnable.

Lorsque Rose remarqua la direction prise par Ironfang, elle jura à voix très base. Il se dirigeait vers sa petite chaumière brûlé… Se demandant ce qu’il lui voulait, Rose soupira et se redressa, une main sur sa jambe douloureuse, pour se mettre en marche à sa suite. Pour retenir Ironfang, Rose le héla vivement :

--Messire! Attendez! (elle chercha rapidement quoi dire pour le retenir puis soupira) Attendez je vous prie, je tien à m’excuser pour mon comportement pour le moins inacceptable!

Ne pouvant courir pour le rattraper, Rose espérait que cela le retienne. Bien qu’une simple manière de retenir le Sir, Rose était tout de même sincèrement désoler d’avoir réagi vivement alors qu’il semblait… Gentil et cela paraissait sans ces paroles et son ton de voix.  Rose allait poursuivre Ironfang pour le dissuader de poursuivre son chemin, lorsqu’elle arrêta net. Son épiderme semblait être parcouru d’une drôle d’énergie… Stupéfaite, elle arrêta et baissa la tête en direction de ces mains, ne comprenant pas le phénomène. Pourtant, l’énergie de répercuta le long de ces os et se précisa… Son regard sa fit flou. Sa chaumière… Sa maison… Quelque chose arrivait…

La petite fleur ferma les yeux pour tenter de calmer les tremblements de son corps qui se faisait de plus en plus inquiétant. Vivement, gracieusement, la jeune fille leva les bras pour dégainer ces cimeterres. De ce fait, la capuche de sa cape retomba vers l’arrière, dévoilant à qui y prêtait attention, deux petites oreilles de chat qui pointait joliment vers l’avant. Bien qu’elle ait pu la replacer immédiatement en espérant que personne n’avait remarqué, la jeune fille détala comme un lapin dans les bois en direction de sa chaumière brûlé, ces armes bien en main malgré ces tremblements incessant. Elle se souvint vaguement que Shu se trouvait près d’elle, mais ne lui demanda pas s’il avait ressentie cela ni même si ce dernier savait ce que c’était… et ne fit pas plus de cas lorsqu’elle dépassa Ironfang, Courant tête première en direction de ce qui avait osé profaner la mémoire de sa famille sans savoir a quoi elle allait avoir affaire et tremblant de tout ces membres.

L'homme s'en retourna, lasse de cet homme qui avait osé s'interposé et qui n'était même pas capable de lever son propre corps, lasse de la situation qui n'alait que tomber et aller au plus mal instant après instant alors qu'encore ce con de gamin ne comprenait rien et le traitait d'ennemis alors qu'il était polis et super diplomate... Qu'a cela ne tienne, un jour, il verront que je ne suis point une menace... Je veux uniquement vengée me frères d'armes et moi même, et du même fait débarasser ces terres d'un mal innommable.

Lorsque la petite fille l'interpella, il tourna a peine le regard et lui fit signe de le suivre si elle voulait lui parler. * J'ai tout de même quelquechose a aller voir au plus vite ici...* Il continua sa marche peinard, lorsque du moment ou il vit la petite fille au moment juste avant de la perdre de vue il vit les deux petites oreilles de chats de la dame. L'homme sourit, puis, vite sortit de ssa tête la jeune dame le dépassait comme une balle. Stupéfait il la suivi, ne sentant pas trop de chose étrange autre que le fait que c'était sur que quelquechose d'étrange se passait.

De son corps athletique et écouper au couteau, l'homme se mit a sprinter pour suivre la dame qui l'avait dépasser et ainsi rattrapper celle-ci. Dégainant son arme par précaution, l'homme ne dit que quelques mot a la jeune dame.

- Je viens vous aider, en gage de gentillesse. Je ne suis pas un ennemie, mais bien quelqu'un qui cherche des rensignem,ent de l'aide et qui cherche a aider...

HRP: poster, javais que 15 minutes dsl ^^

Rose avait de bien étrange image en tête. Elle était terrifiée par tout ce qui pouvait toucher, de près ou de loin, le lieu où toute sa vie avait subitement basculé. C’était le berceau de ces souvenirs et le témoin de sa courte vie… Mais aussi la rivière de ces tourments et de son côté le plus sombre. Ici, elle avait reçu la douceur de la vie, mais également le tranchant de la mort, de la culpabilité et l’horreur de la souffrance. Elle revenait régulièrement sur les lieux, mais c’était une sorte de punition qu’elle s’infligeait elle-même, comme une autoflagellation pour ne jamais oublier ce qui était arrivé par sa faute. Alors qu’elle courrait dans les bois, elle ne savait pas sur quoi elle allait tomber, mais l’électricité qui lui parcourrait la peau lui faisait craindre le pire.

Comme sa jambe ne la faisait étrangement plus souffrir, la petite fleur serra les dents et raffermie sa prise sur ces armes. La vague de magie étrange lui faisait l’effet d’une surdose  d’adrénaline et son petit corps mis au supplice tremblait de la tête au pied. Bien qu’à cause de son agression violente la petite fleur eue avait dû mal avec les hommes, elle était une petite chose bien fière et aimait avoir le dernier mot. Elle n’avait jamais su ce qui c’était réellement passer cette nuit-là, mais elle l’apprendrait un jour, elle se l’était jurée.

Concentré pour tenter de cerné la magie qui faisait trembler ces os, Rose ne réalisa pas qu’elle était suivit par Ironfang avant d’arriver à la plaine. À la lisière des premiers arbres, la petite fleur figea son geste pour se tenir droite devant la plaine où ne se situait plus qu’un vieux tas de cendre froid et éparpiller par le vent et les années… Et un homme fumant allègrement son cigare.

La mignonne petite chatte leva ces cimeterres en signe d’hostilités évidente et un léger grognement ténu faisait trembler ces cordes vocale, premier vrais signe qu’elle n’était pas entièrement humaine mise à part ces petites oreilles au pelage maintenant hérisser qui pondait joliment de sous sa longue chevelure sombre.  Comme son premier réflexe fut d’attaquer, Rose fit un pas vers l’avant… Puis Ironfang lui parla. Cela la fit sursauter et la déconcentra assez longtemps pour son bouclier mental et inconscient s’abaisse abruptement. À ce moment-là, elle cessa de repousser en totalité la magie qui tentait de la parcourir en longue vague qui ce répercutait jusqu’à ces os, jusqu’à la faire trembler de la tête au pied.

Dès lors, sa prise sur ces cimeterres ce fit moins ferme, plus hésitante. La petite fleur cessa de grogner pour se concentré sur la sensation. Il lui était rare de se laisser envahir par la magie car c’était assez rare… Et mal vue, dans le coin, du moins, alors, depuis toute petite, elle ressentait cela et elle le cachait… le repoussait d’instinct, sachant qu’il fallait taire ce fait. Mais, maintenant qu’elle se laissait aller à ces sensations, quelque chose la chicotait profondément.  Elle connaissait cet homme.

Alors que son regard sombre et troublant ce posa sur l’individu qui fumait, la petite fleur le détailla de pied en cape, cherchant à savoir pourquoi son instinct lui criait qu’elle le connaissait… Un bon souvenir… Ou pas? Elle ne quittait pas l’homme du regard, mais elle avait abaissé quelque peu ces armes durant sa réflexion. D’un geste, elle chassa les paroles du jeune Sir et lui marmonna vaguement :  

--Il n’est pas le temps de déterminer de quel côté de la politesse vous êtes. Vous cherchez des renseignements, et j’ai des secrets. Vous comprendrez aisément mon hésitation. Nous reparlerons de cela plus tard, devant une bonne tasse de thé.

En aillant terminer avec le jeune Sir, Rose reporta son attention sur l’inconnu et, du coin de l’œil, remarqua l’inconnu étrange envoyer par le chef des moines guerrier monter à un arbre. Haussent vaguement les épaules, la petite chatte  allait se rapprocher de l’homme qui sortait quelque chose de sa poche, lorsqu’elle remarqua que le jeune Sir se positionnait devant elle avec son bouclier. Certes, c’était sans doute logique pour un militaire, mais pas pour Rose qui avait un style de combat passablement solitaire. Avisant l’épée qui pendait près de l’homme, rose haussa les épaules. Peut-être saurait-elle si l’homme au corps bien sculpter savait user de son arme aussi bien que de son charme.

La présence de Ironfang avait un peu déstabilisé Rose, suffisamment pour lui enlever l’impulsion du moment de trancher la tête de l’inconnu pour repartir d’où elle venait comme si de rien était. Elle n’avait jamais tué, mais ce n’était certainement pas quelque chose qui lui fasse peur. Mais attaquer de front n’était peut-être pas la meilleure manière d’agir… Quoi que…

Avisant le jeune Sir qui se retirait soudainement du combat qui n’avait même pas commencé, la jeune fille le détailla d’un air septique. Elle ne comprenait pas la manœuvre… du moins jusqu’à ce qu’il sorte une fiole d’alcool. Levant les yeux au ciel, la jeune fille comprit immédiatement le message. C’était son combat et, une fois encore, on la laissait seul. Ils étaient comme tous les hommes, incapable de la moindre action concrète. De belle parole et rien pour les suivre.

Une soudaine bouffée de tristesse incongru et de douleur emplie les yeux de la petite fleur qui se retrouvait à nouveau seul. Mais elle ne cèderait pas. Elle n’avait besoin de personne. Elle était farouche et fière de l’être. Indépendante. Maintenant, la petite fleur se foutait bien de savoir où elle avait senti ces vague d’énergie. Elle ne connaissait pas le propriétaire et elle s’en fichait. Son regard prit deux teintes plus foncé alors qu’elle détaillait toujours Ironfang, puis elle releva ces armes. Elle tremblait toujours des pieds à la tête et cela lui donnait plus encore envie de frapper.

Bien que le chef des moines lui aurait dit de discuter d’abord, Rosabelle sembla disparaitre un vague instant de là où elle se tenait un instant au paravent. Elle était rapide et agile, elle savait faire ce qu’elle allait faire. Attaquer de dos une cible. Elle était tout entier concentré sur sa tâche, évaluant rapidement la meilleure option. Très rapidement, la jeune fille se retrouva près de l’inconnu qu’elle détaillait un peu plus tôt. Elle leva son cimeterre, mais pas pour frapper, plutôt pour le glisser avec agilité et rapidité  sous le cou de son opposant. La tête relever en signe de défit, elle demanda d’une petite voix claire et cristalline :

--Qui êtes-vous! Que venez-vous faire (elle allait dire «chez moi» mais se ravisa rapidement pour poursuivre) que faites- vous dans cette plaine!

Puis la petite fleur remarqua que l’homme tenait quelque chose dans sa main… une petite montre … Avec une photo. Une photo qu’elle connaissait. Une photo que n’importe qui aurait pu prendre pour elle, un peu plus vieille. Les mêmes yeux sombre et troublant qui semblaient transpercer de couteau ce qui la mettait en colère. Mais qui pouvait se gorger d’un amour, d’une tendresse et d’une patience infinie… Comme sur la photo en possession de l’homme.

Rose resta un moment figer, la bouche à semi-ouverte, le souffle soudain aussi court que si l’homme lui avait balancé son poing dans l’estomac. Oubliant soudainement pourquoi elle avait appuyé sa lame sur le cou de l’homme, la petite fleur recula d’un pas. Son bras, déjà tremblant, tressaillait un peu plus et elle baissa inconsciemment son arme, le regard soudain empli de questionnement et de terreur, mais, surtout, de méfiance.  Prête à fuir, la lame du cimeterre glissa jusqu’au sol et Rose recula en direction de la lisière de la forêt, prête à prendre la fuite au moment voulut, mais incertaine de vouloir partir alors que, peut-être quelqu’un aurait des réponses…

Toute tremblante, le regard maintenant emplie de méfiance, les oreilles coucher vers l’arrière, Rose plongea son regard intense sur l’homme, comme si elle tentait de sonder son âme même. Finalement, elle dit, d’une voix plus ou moins incertaine, mais toujours à la si douce tonalité :

--Qui…Qui êtes-vous!? Pourquoi venir chez moi!? Pourquoi avoir une photo de ma mère!? Êtes-vous un voleur? Un pilleur? Vous arrivez trop tard, il n’y a plus rien de valeur ici…

Rose était furieuse. Elle voulait revoir l’inconnu et l’obliger à lui révéler ce qu’il savait d’elle, de sa famille et de son passée. Elle était en droit de savoir, en droit de comprendre et elle ne laisserait rien ni personne se mettre au travers de son chemin. Elle avait t’en souffert de tout ce qui c’était produit… t’en physiquement que mentalement et jamais elle n’oublierait son passer… Et cet homme débarquait et lui offrait la possibilité de, non pas d’oublier, mais de faire la paix avec les tragédies passé. Oh non, elle ne le laisserait pas disparaitre dans la brise sans lever le petit doigt.

Alors qu’elle s’élançait avec la rapidité et la grâce d’un félin, Rose entendit des bruits de pas derrière elle. L’armure de Ironfang n’avait vraiment pas que des avantages et la petite fleur sût qu’il ne la rattraperait pas et qu’elle n’avait rien à craindre de lui, elle pourrait le semer dans les bois et elle l’entendrait se rapprocher, pouvant de ce fait même, l’éviter à la perfection. C’était le problème avec les militaires et les armures. Toujours trop bruyant. Elle, elle optait pour la vitesse et l’agilité, la discrétion et le fait qu’elle pouvait aisément passé inaperçu  avec une capuche sur la tête. Sans compter qu’il lui était fort aisé de simplement disparaitre dans les bois pour ne plus revenir à la surface, elle survivrait en dehors de la civilisation facilement durant plusieurs mois, si ce n’est plus.

Pourtant, la petite fleur avait oublié un petit détaille. Jamais elle n’entendit Shu passer près du jeune Sir pour se faufiler derrière elle. Le bruit qu’elle aurait pu faire en courant avait facilement été enterré sous le bruit de l’armure d’Ironfang. Cela sans compter qu’elle n’aurait pas cru qu’il aille la motivation et la vitesse de la rattraper… Lorsque son poignet se retrouva pris dans la poigne solide et ferme de Shu, Rose eu un recule qui ce répercuta jusque dans son épaule. Interloquer, la petite fleur dérapa légèrement dans la terre humide de la petite clairière, puis tourna son joli minois surprit vers Shu, puis elle le reconnu et une expression légèrement paniquer se peignie sur ces traits fin. L’expression ne dura pas plus d’une fraction de seconde, si rapidement que Shu aurait pu croire qu’il avait rêvé. Puis le visage de la farouche petite chatte se changea en un masque de fureur. Il osait tenter de la retenir! Il osait, lui, un inconnu, lui dire d’abandonner le seul chemin qui pourrait lui amener des réponses!

Furieuse, Rose se débâtit, fit un pas de côté et tenta de ramener son bras contre sa poitrine avec des gestes précis et rapide, mais, si elle avait environs la même force que Shu, il semblait toujours arriver à trouver le moyen de garder son poignet en otage. Vaguement, la petite chatte eue l’idée de se couper le poignet avec la lame qu’elle gardait toujours solidement dans sa main. Elle avait pensé l’utiliser contre son adversaire, mais, concrètement, c’était le chef des moines du temple des trois lunes qui l’avait envoyé et une petite voix dans sa tête lui dictait qu’elle ne voulait pas faire de mal à un envoyer de l’homme qui l’avait sauvé de ces agresseurs, puis qui l’avait soigné.

Légèrement haletante, Rose se détendit légèrement dans la poigne de Shu. Elle détestait le contacte des hommes, mais étrangement, le fait que ce soit le moine en qui elle avait le plus confiance qui l’ai envoyé, lui valait déjà quelque peu de sa propre confiance, pourtant fort difficile à gagner.

Au parole qui lui servie, la farouche petite chatte furieuse lui grogne vivement au visage et, le souffle court d’avoir bagarré avec l’homme et d’avoir couru, mais loin de s’avouer vaincu Rose lui jeta sauvagement au visage:

--Ma vie n’a aucune importance si je ne puis comprendre ce qui ces passer. Regarde-moi! Je ne suis plus que l’ombre de moi-même! Une pauvre chose brisée…

Les oreilles couchées sur la tête, les pupilles dilatés, Rose était prête à attaquer, mais, pour le moment du moins, elle laissait Shu la retenir. Elle n’était pas aussi agile que l’homme, mais elle aurait pu y mettre les dents et les griffes pour se défaire de sa poigne, si elle c’était sentie en danger avec Shu, elle n’aurait même pas hésité à se couper le poignet dans l’optique de s’en défaire. Mais pour le moment, elle préférait le défier farouchement du regard en tirant sur son poignet pour l’inciter à la lâcher pour qu’elle reparte chercher l’inconnu. De toute façon, il devait faire cela pour l’argent. Il n’avait rien à faire d’elle. Elle n’était qu’un contrait parmi t’en d’autre.

Puis, Ironfang passa dans son dos et l’attrapa par les bras pour l’immobiliser. Le simple fait qu’il passe ainsi dans son dos pour la toucher fit sursauter la jeune fille déjà nerveuse par le contacte de Shu et cela eu l’effet d’une bombe sur les nerfs de Rose. En un instant, elle se revit dans la ruelle ou elle avait été profanée, cette manière de la saisir… certes, Ironfang ne désirait pas lui faire du mal, mais, dans la tête paniquer de la farouche petite chatte, cela ne comptait pas. Dans un premier temps, elle était déjà furieuse qu’on l’empêche de toucher au but qui se pointait devant son nez, mais en plus, il utilisait la force physique pour la retenir!

Alors qu’Ironfang l’attrapait, il put sentir le léger frisson qui parcourut l’échine de la petite fleur, puis il put la sentir se raidir dans sa poigne. Shu, lui étant face à elle, pu voir son regard changer, passer de la triste colère presque résigner, à un regard farouche, un regard terrifié, un regard de bête prise au piège.

Comme ces bras étaient immobilisés près de son corps, Rose lâcha son cimeterre qui alla se planter dans la terre meuble. Avant même que la pointe ne se plante dans le sol, Rose tirait sur le poignet que Shu tenait, suffisamment pour le déstabiliser, en se servant du corps et du poids de Ironfang en armure pour rester stable sur ces deux pieds et pour ne pas être tiré vers Shu au lieu du contraire.  Lorsqu’elle put relever suffisamment le coude (comme il as pas dit où exactement il m’empoignait, on peut facilement ce dire que, vue la différence de taille, il empoigne mes bras en haut du coude et donc que, malgré que je ne puisse partir, comme l’attaque combiner le prévoyait, je garde une petite mobilier au niveau de mes avant-bras ) elle approcha son poignet, et celui de Shu, de sa bouche pour mordre vivement dans la chair tendre du poignet.

Feulant distinctement, la petite fleur se débattit vivement dans la poigne d’Ironfang et de Shu à grand renfort de coup de griffe lorsqu’un peu de chair passait à son niveau. Bien qu’à deux, elle ne puisse s’enfuir, Rose se débattis avec toute l’énergie qu’elle pouvait, toute l’énergie du désespoir. Ils étaient deux contre elle. Elle ne pouvait s’enfuir, mais elle n’abandonnerait pas… Comme elle n’avait pas abandonner lorsque les hommes l’avaient attaqué, l’avait réduite à peu de chose. Les images de cette ultime nuit ce déroulait devant son regard terrifier alors qu’elle sentie traitreusement des larmes commencer à maculer ces joues.

Malheureusement, son trajet de la bibliothèque jusqu’à sa chaumière brûler, sa rencontre avec Ironfang, Shu, puis avec l’inconnu t’en rechercher, sans compter qu’elle se débattait de toute son énergie et même un peu plus… tout cela l’avait considérablement épuisé et elle savait qu’elle ne durerait pas longtemps. À eux deux, ils étaient plus fort qu’elle. Essouffler, Rose fini par s’affaisser dans la poigne des deux hommes. Elle avait donné tout ce qu’elle pouvait et c’était débattu autant que faire ce pouvait. Affaisser dans la poigne des deux hommes, ces jambes ne la portant plus, la tête pencher vers l’avant, haletant fortement, ces cheveux lui était tombé devant les yeux et personne n’aurait su dire, à moins de vérifier, si elle était consciente ou non.


Hrpg : je sais, Ironfang, tu m’avais empoigné de face et non de dos, mais cela ne fonctionnait pas vraiment avec le fait que Shu m’avait empoigné et que je m’étais retourné.

Seconde chose, Je sais que tu es en armure, Ironfang, mais il est possible que je tes griffer les mains par mégarde. Étant donné que tu «as les mains chaude» j’imagine que tu ne porte pas de gantelet ^^

Pour le reste, je suis désoler si d’autre erreur ce sont glisser dans ma poste, j’avais un temps limiter pour l’écrire et je ne voulais pas vous faire attendre pour cela, donc simplement m’en faire part et je modifierai au besoin ^^