Plaine d'EarthFire

Messages : 81 Date d'inscription : 31/01/2016

Ironfang crispa légèrement son visage lorsque la petite se débatait avec hargne et conviction. * Haaaa.... j'aurais du faire réparer mes gantelets... bordel cette petite en a dedans ! haahahaha !* L'homme laissa la jeune se débattre dans ses bras étant habituer au coupure et autres lésions superficielle. Attendant sagement que la petite se calme. En effet après plusieurs longues minutes a se débattre avec la fougue d'une lionne, La petite femme-chat, épuiser lâcha prise et cessa de ce battre.

Ironfang, toujours debout et en pleine forme, les mains et les poingnets toutefois quelques peu endoloris, soupira d'un léger souffle de soulagement. Puis rapidement et doucement, malgré le fait qu''il soit plustot sur le coté de la jeune dame, le jeune roi s'assurant de tasser ses longs cheveux noir de son petit visage aux traits fin mais endurcis avec le temps. Observant la jeune dame vyant qu'elle était consciente, mais de peu. Il s'approcha de son oreille pour s'assurer qu'elle seule pourrait l'entende et lui dit :

- Petite... Il est temps de recoller tes morceaux... Avec le temps tu sera prête... Pour l'instant, continue a te battre et a croire en toi et tes rêves... Bats toi... Cherche a refaire confiance envers quelques personnes qui purront t'aider... Crois encore en ce monde et en bien qu'il peu y contenir...

La gardant toujours dans ses bras, Ironfang attendait que Shu prenne une décision. Une chose était clair dans sa tête il ne la quitterait pas pour tout de suite et resterait dans ses parages pour un bout le temps qu'elle lui fasse confiance. Autant de temps que cela lui prendrait...

Le jeune Shu la regardait ce débattre, elle tirait son bras vers elle, essayant tant bien que mal de ce déprendre de son emprise, mais Shu lui n’était pas prêt de lâcher. Elle ce débâtais avec férocité, essayant tout ce qu’elle pouvait, même qu’elle décida de lui mordre le poignet, les dents de la jeune dame chatte s’enfonçait dans sa chaire, ces yeux se posait rapidement sur la figure de la petite, alors que du sang giclait dans la bouche de celle-ci et que le jeune homme serre les dents face à la douleur. Elle n’était pas prête à abandonner, sa fureur ne s’arrêtais pas là, elle lui hissait une phrase, cette phrase qui venait le chercher. Au fond de lui quelque chose le faisait resserrée sa poigne sur le poignet de la petite fille ainsi que serrée les dents. Il pouvait voir une larme couler le long de la jolie joue de porcelaine de cette dame. Alors qu’elle finissait par laisser tomber le combat, Alors qu’ironfang poussait les cheveux de la dame qui laissant tomber sa tête vers l’avant, et lui chuchotais quelque mots.

-Si ta vie ne vaut rien, alors pourquoi ne pas en finir? Lançait le jeune homme.

Il relevait sa manche regardant la plaie qu’avait laissée le débat, du sang coulait encore le long de son avant-bras. Il laissait choir son bras sur le côté, ne portant pas plus d’attention à sa blessure. Il regardait encore la jeune fille un moment, puis de son index de la main gauche il passait son doigt sur la joue de la jeune femme chatte, essuyant la larme qui avait coulé.

-Tu en as pas fini car tu sais qu’il y a encore espoir n’es-ce pas? Hayato ne t’as pas donné son nom pour rien, le suivre maintenant ce n’est que du suicide.

Le jeune adulte la relâchait, tout comme Ironfang, Par contre, shu s’approchait d’elle l’enlaçait et ce laissait descendre vers le sol, la gardant blottie dans ces bras. Il savait pour la jambe de la petite fille et il savait qu’elle n’avait pas pris de médication depuis un moment. Il la gardait contre elle, chuchotant quelque mots.

-Hais-moi si tu désires, mais ne fait plus de chose aussi risquée…

Shu fit une courte pause.

-Ne deviens pas le monstre que je suis devenue… La vengeance n’as pas bon gout…

Shu sortait une petite fiole, il la glissait dans les petites mains de la femme chatte, elle pouvait entendre le cœur du jeune homme battre, fort et férocement. Alors qu’elle seul pouvait voir dans ces yeux, quelque chose de différent.. De la tristesse…

Le calme avait regagnée les plaines. Là où tout c’était passé si vite. Le passée de certain était quelque chose de fragile, alors que chez d’autre ont essayait de crée des liens. Aucun d’entre eux ne savait dans quoi ils s’étaient fait embarquer…. La roue du destin c’était mise en route et personne ne pouvait arrêter l’histoire a présent…

+5 Points de destin

Évent terminer!

Rose était, certes, entièrement éreinter, mais elle n’avait pas dit son dernier mot. Elle haletait vivement dans la poigne du jeune sir alors qu’elle cherchait à refaire son énergie pour poursuivre. Son agitation avait réveillé sa douleur à la jambe et les brûlures dans son dos, douleur qu’elle avait presque momentanément oublier lorsque la force de l’inconnu l’avait vivement effleuré. Mais, maintenant, son corps protestait sauvagement contre son combat contre les deux hommes et lui faisait payer sa rébellion.

Elle savait que la commissure de ces lèvres était maculer de sang, même si, dans son état vague et brumeux, elle n’aurait sût dire quand exactement elle avait mordu Shu. Alors qu’elle se laissait mollement aller dans la solide prise d’Ironfang, la petite fleur sentie la main du jeune sir se rapprocher pour vérifier son état. Toujours furieuse qu’ils l’aient empêché de poursuivre ces démons du passer, la jeune fille claqua vivement des mâchoires près de la main de l’homme. Si elle aurait été un petit peu moins vider de toute énergie, elle aurait sans doute réussit à y planter les dents, mais elle manquait de vivacité même si son cœur battait si fort à ces tempes que cela l’empêchait de réfléchir.

Lorsqu’il lui parla, la petite fleur briser reprit un peu de ces esprits. C’était qu’il était têtu, le militaire. Mais Rose ne se laisserait pas duper. Elle retourna mentalement chaque parole qu’Ironfang venait de lui soufflé à l’oreille, en recherchant un sens cacher. Pourtant il semblait sincère… Peut-être était-il sincère. Elle en venait presque qu’à le croire! Mais sans doute que, plus tard, il voudrait autre chose… désirerait quelque chose d’elle, qu’il tenterait de lui arracher ces secrets, qu’il tenterait de prendre toujours plus d’elle. Peut-être que viendra un temps où il voudra d’elle se qui faisait d’elle une femme.

Un nouveau début de panique comprima la gorge de la petite fleur et sa respiration se fit plus difficile alors qu’une crise de panique semblait tenter de prendre possession d’elle. Maladroitement presque mollement, mais tout de même avec une volonté farouche, Rose recommença à tenter de se déprendre de la poigne, même si cela semblait si désespéré qu’elle doutait presque qu’Ironfang se rende compte de ces efforts inutile pour partir.

Puis Shu se mit de la partir. Ces paroles firent leur chemin dans sa tête. Saisi par ces paroles, Rose cessa sa résistance inutile pour laisser Ironfang l’empêcher de tomber d’épuisement tête première sur le sol. Elle dû repasser ces paroles pour vraiment en comprendre le sens… Ce n’était quand même pas tous les jours que la petite fleur se faisait inciter à sauter la vie… Mais peut-être que Shu avait raison… C’était peut-être LA solution! Pourtant, la petite fleur sentie un certain sarcasme dans la voix de Shu et cela l’incita à redresser la tête un petit peu… juste suffisamment pour lui jeter un coup d’œil.

Lorsque le jeune homme avança le bras, Rose eu un mouvement de recul, comme si elle s’attendait à être frapper pour son comportement, jusqu’à ce que Shu touche délicatement sa joue pour y récolter avec douceur une de ces larmes qui lui brouillait la vue. Elle commençait à comprendre que les deux hommes ne lui feraient pas de mal…

Rose sentie sa jambe tressahire douloureusement alors que ces muscles se contractait. Elle devait faire vite… céder ou s’enfuir pour de bon… sinon elle allait simplement s’effondrer et plus elle attendait avant de ce traiter et plus la récupération serait difficile et douloureuse. Malheureusement, Rosabelle était têtu et elle n’arrivait pas à trancher.

Les paroles suivantes de Shu frustrèrent profondément la petite fleur car cela lui rappelait qu’elle avait perdu l’espoir d’avoir des réponses. Certes, elle pouvait tenter de le retrouver, mais les chances que cela se produisent lui semblait bien faible. De frustration et de douleur, des larmes se remirent à couler sur ces joues de porcelaine.

Elle devait s’avouer que, malgré tout, Shu et Ironfang avait raison.

Trop soudainement pour qu’elle puisse réagir, Shu s’approcha d’elle pour la serrer dans ces bras. Estomaquer par le geste, la petite fleur briser se crispa jusqu’à ce qu’elle se retrouve au sol, blottie dans les bras du jeune homme. Dût à sa procsimiter avec Rose, Shu pu sentir que la jambe de rose était parcourue de petit spasme incontrôlable.

Rosabelle voulut, par principe, repousser le jeune homme, son cœur battant douloureusement à ces tempes, mais ces paroles suivante du jeune homme l’en dissuadèrent. Malgré qu’elle sût qu’elle n’était pas en danger, l’instinct avait la vie dur et tout son corps lui criait de fuir, de fuir aussi loin et rapidement que possible, mais, au contraire, son esprit lui intimait de rester là où elle se sentait en sécurité, de croire Ironfang et Shu.

Dévaster par ce conflit interne, Rose serra les poings et se mit à trembler, gardant autant de distance que possible entre elle et Shu alors qu’il la gardait doucement blotti dans ces bras. Alors qu’elle s’obligeait au calme durant de longue minute de tremblement, la jeune fille s’obligea à respirer, se répétant qu’il ne lui voulait pas de mal. Tout son corps était tendu à craquer alors qu’elle fixait un point dans la terre, la tête baissé pour cacher son expression torturé à Shu.

Le combat interne de la petite fleur briser dura un certain temps sans qu’elle ne bouge, la mâchoire crispé de douleur, mais, finalement, l’attente porta ces fruits.

Abattu par l’épuisement, le découragement et la douleur de sa jambe et de son dos, Rose laissa Shu l’attiré complètement à lui, cessant de résister. Tout son corps se détendit si subitement qu’elle serait tombée si Shu ne la tenait pas comme il faut. Des larmes silencieuse coulèrent sur les joues de la petite fleur briser, mais, finalement, elle se calma, tranquilliser par les battements de cœur sauvage que captait son oreille coller contre la poitrine de Shu.

Elle ne renonçait pas. Pas vraiment. Elle prenait juste un petit moment.

Rosabelle sentie quelque chose glisser dans sa petite main et elle pencha la tête pour regarder. Interloquer, elle remarqua la fiole. Elle savait que cela la sonnerait durant un moment… la soignerait, oui… mais après l’avoir enveloppé dans un étrange brouillard.

Alors que Rose avait décidé avec obstination de ne pas boire la fiole, Elle avisa le regard de Shu. Il était si emplis de tristesse qu’elle n’eut pas le cœur à le rejeter entièrement. Il lui semblait que quelque chose c’était créer en ce moment. Un petit lien, aussi mince qu’un cheveu… mais bel et bien présent. Peut-être, un jour, parleraient-ils tous deux de leur passer ouvertement… Ou pas. Seule l’avenir le leur dirait. D’un coup, Rose rejeta la tête vers l’arrière et avala le contenu de la fiole. Sans doute les deux hommes ne comprendraient-ils jamais tout l’effort qu’elle dû y mettre et la preuve de confiance, certes, réticente, mais bel et bien présente que cela représentait.

Presque aussi tôt, Rose soupira. Shu pu sentir le reste de tension quitter le petit corps qu’il tenait contre lui et la jambe de rose cesser de se contracter de manière incontrôlable. La petite fleur épuiser laissa retomber sa tête contre la poitrine de Shu et son regard se tourna vers Ironfang. Elle le détailla un instant, comme pour jauger de son niveau de dangerosité.

Ironfang laissa la jeune dame dans les mains de Shu, ne voulant pas plus la contrarier et lui faire peur que cela. Elle ne lui faisait point confiance et c'était un fait. Il se tourna pour montrer son profil aux deux autres personnes présentes sur les lieux, faisant face a la lune qui montait dans le ciel. Sans rien dire, il enleva son heaume et sorti de son armure un petite chaînette en or rose, couronne au bout d'une lettre G entrecroisée de deux roses. Il pris ce petit collier de femme entre son index et son pouce droit, puis le porta doucement a ses lèvres en regardant la lune.

* Geneviève.... Tu me manque mon amour... un jour je trouverais qui t'a fait cela et je te vengerais...*

Il serra son poing gauche et ferma les yeux quelques secondes, laissant s'échapper une seule larme de son oeil droit. Rprenant sur lui même, il rgardait furtivement si les deux autres étaient correctes et partit cherhcer un peut de branchage et rapidement il fit un petit feu en avant de lui et resta debout, aux agguets, attendant que la jeune femme et le jeune homme fassse un mouvement.

Toujours, debout face au ciel étoilée, l'homme regardait le ciel, se remémorant cette nuit fatidique ou il perdit sa flamme et sa meilleure amie. Poussant un léger soupir, l'homme resta encore debout, aux aguets gardant le trio, infatigable et inconsolable.

*Plus jamais... je ne me lierai d'amour.... je trouverai un moyen de te ramener mon amour....*

Il fit une courte prière, puis retourna a observer les alentours et se réchauffer les mains avec son petit feu.

HRP: genevieve est un nom fictif hahah ;)

Alors que la jeune dame laissait finalement reposée sa tête sur son torse, Shu soupira. Il était habituer d’accepter des missions de client qui n’était pas net, ainsi que des clients plutôt spéciaux, pourtant c’était la première fois qu’il ait dut soupirer après la première journée de boulots. La jeune fille ce reposait certes pour le moment, mais elle était loin de le faire à son gré à elle et le jeune Shu le savait très bien. Pourtant il la laissait là ce reposant contre son torse. Le bras du jeune lui faisait mal, il commençait a ressentir la démangeaison et l’inflammation qui s’installait dans la morsure infliger par la petite dame. La lune s’installait lentement sur la plaine alors que le jeune homme levait les yeux pour regarder le ciel de cette journée qui avait été bien remplie.

*Sans la mort dans notre pensée… Une personne ne peut se dire vraiment vivant..*

Le jeune homme baissait les yeux, regardant maintenant les cheveux sombre et soyeux de la jeune dame, ces oreilles de chat qui scrutais les alentour en alerte.

*L’être est une chose si fragile… Un destin de tourment éternel…*

Le jeune homme laissait son bras droit tomber sur le sol, la douleur le faisait serrée la mâchoire, Il avait vécue beaucoup de moment où il avait été blesser, encore une fois, ce n’était qu’une petite blessure rien de plus. Il restait assis, sur le sol gardant la jeune fille colée sur lui comme. La douleur le faisait perdre beaucoup d’énergie, il levait ces yeux de glace sur le guerrier qui avait l’air de vouloir quelque chose de la petite fleur. Ces yeux qui se posait sur Ironfang n’était pas ceux d’un homme qui ce foutais de tout, cette fois il pouvait voir une au fond du regard de shu, une bête qui n’.hésiterais pas a attaquer s’il touchait à sa protégé. Ce regard que lançait le jeune homme était fait totalement inconsciemment, car au fond il était vidé d’énergie et c’était simili endromie…

Rose observa le jeune Sir alors qu’il sortait de son armure l’étrange petite chaînette en or rose qui miroitait dans le soleil couchant. À semi assommer par le machin donné par Shu, Rose ne bougea pas, mais ces oreilles étaient toute droites sur sa tête. Elle trouvait vraiment le pendentif joli et elle serait allée l’observer de plus près si elle aurait connu un peu plus son propriétaire… Ou pas!

Rose gigota un peu dans les bras de Shu, mais, pour une fois, pas pour s’enfuir, mais simplement trouver une position d’où elle pourrait mieux voir l’objet tout brillant de rose qui reflétait joliment le soleil couchant. Au moment où elle allait se redresser, la petite fleur aperçut la larme qui coula sur la joue d’Ironfang. Cela la déstabilisa un peu, humanisant un peu l’homme à la grosse armure imposante.

Rose observa, avec un léger mécontentement, Ironfang tourner les talons pour faire elle ne savait trop quoi, emportant le jolie médaillons tout brillant avec lui. Rose regarda le vide s’assombrir un petit moment, le regard rendu flou par le contenu de la fiole qu’elle diluait habituellement avec du thé ou du lait pour le rendre moins fort, avant de bailler grandement. Il était vraiment évident pour Shu, qui c’était fait un peu malmener par la petite chatte, qu’elle avait bien meilleur caractère et qu’elle était plus facile à vivre dans les heurs qui suivait la prise de la fiole.

Rose observa un instant Shu, mais, voyant qu’il n’était pas près de bouger ou de la lâcher, Rose se laisser crouler mollement sur ces genoux, ce tortillant doucement, jusqu’à trouver LA bonne position. Toujours avachi sur les genoux de Shu, Rose s’endormie presque immédiatement. Alors que le soleil faisait place complètement à la lune, les oreilles de la petite chatte gigotèrent par à coup, comme si elle rêvait doucement, son jolie visage de porcelaine détendu, comme si, lorsqu’elle dormait, elle ne portait pas le lourd poids d’un passer violent.

Sonner, Rose dormie jusqu’à ce qu’Ironfang revienne avec le bois pour allumer le feu. Dans son sommeil, Rose se tortilla et changea de position pour, instinctivement, exposer son visage aux flammes pour chauffer doucement son visage, ne se rendant pas compte, encore, que c’était du feu. Elle avait vu sa maison brûler et, depuis, elle détestait tout ce qui brûlait… Mais, en gausser dans un demi-sommeil artificiel, la petite fleur agissait simplement par instinct.

Le mouvement que faisait Ironfang en remuant et en se promenant dans leur campement de fortune fini cependant par faire revenir Rose à elle, lentement, engluer dans un sommeil qui tentait de la retenir prisonnière. Elle roula vaguement sur le vendre, descendant des genoux du jeune homme, puis elle étira ces bras loin devant elle, s’étirant comme un chat, les yeux encore fermer, puis la petite chatte roula deux ou trois fois les hanches, comme pour remuer la queue… même si elle ne semblait pas en avoir. Ceci fait, Rose se remit à quatre pattes et revint vers Shu pour laisser glisser en ronronnant sa joue le long de son torse, son corps suivit le mouvement pour se retrouver à nouveau coucher sur ces genoux, ronronnant de manière détendu, seule bruit qui semblait percer au travers de la lourde nuit et des cœurs en peine, comme pour accompagner le vague crépitement du feu , seule autre bruit qui perçait les ténèbres.

Sans même vraiment avoir été vraiment consciente, la petite fleur se rendormie aussi sec, bien au chaud, pelotonner contre le torse de Shu, dormant de manière toute innocente, comme si plus aucune tristesse ne planait dans l’aire. Rose sentie vaguement Shu remuer sous lui et, vaguement, elle se demandait ce qui se passait. Toute endormie, la petite fleur se redressa en poussant sur ces bras pour s’assoir sur Shu. Elle se frotta les yeux de ces poings fermer, ces oreilles remuant doucement dans l’aire frais. Rose frissonna, puis ouvrit les yeux en sentant une forte chaleur provenant du feu. Soudain alerte, rose se crispa. Elle était toujours sous l’influence de la fiole que Shu lui avait donné, sinon elle aurait paniqué, aurait sans doute utilisé griffe et croc pour se faire un chemin jusqu’à la forêt pour y disparaitre.

Mais Rose resta sagement assise sur Shu, raide et tremblante, mais elle ne le griffa pas à nouveau, elle regardait simplement le feu comme s’il allait lui sauter dessus pour la bouffer.

La gigantesque bête légendaire se déplaçait doucement par dessus chacun des villages, on pouvait entendre des cris apeurés des villageois qui sentais un vent frais se déposer sur le sol au même moment où une ombre d'une grandeur jamais vu survolait leur petit village. Tous pouvait reconnaître l'être de légende qui survolait si habillement le ciel sans pouvoir discerné la Guerrière qui se trouvais confortablement assise dans le creux de son dos. Elle lisait paisiblement le livre que la vieille Dame lui avait tendu mais plusieurs mots ne trouvais pas le chemin vers son esprit car jamais elle n'avait lu un dialecte si différent mais en même temps si semblable dans un même livre. Pourtant un sourire presque trop moqueur s'affichait sur son doux visage quand elle attendais les cris affolé des foule qui devait informer les villages voisin d'une menace en provenance du ciel, il ne savait guère la chance qu'ils avaient tous que ce gigantesque Dragon n'obéissait qu'au ordre directe de sa maîtresse. Elle est un sourire quelques peu diabolique en pensant à cela car c'est elle qui empêchait cet être mythique de saccager des villages entiers pour satisfaire sa faim, seul les divinité autrefois avait réussi à contrôle c'est être indomptable qu'était les dragons. Elle avait pourtant une fois oublier d'être d'une clarté nette et son Cher Dragon avait failli tuer les troupes d'une prince pour se faire un bon barbecue. Par chance Alya avait intervenu à temps pour reprimenderais se dernier.Rios avait afficher son mécontentement en dormant pendant près de deux jours entier mais par la suite plus jamais elle n'oubliait de lui donner des ordre clairs et précise pour éviter tout saccage inutile. Elle aimait repenser à cela car cela lui rappelais combien la peur peu faire blanchir et reculer une troupe, cela la fit sourire puis elle ramena son attention à tout ses cris qui provenait des villages qu'ils survolaient tous deux en direction de ce lieu expliquer si gentiment par le marchant de la citadelle. Elle se gorgeait des cris de peur, de laffollement des villageois car elle savait que bientôt une battu serait organiser pour aller attaquer l'être mythique qui survolait le ciel mais comme à chaque fois que cela savait produit, il découvrait tous avec étonnement qu'il était nettement plus imposant que ce que le ciel leur laissait voir et elle leur montrerais leur acrobaties pour calmer le tout. Ce qui les rassurait de voir un être vivant encore en vie avec comme seul compagnie un Dragon d'une beauté hors du commun. Elle se penchait pour voir à combien de distance du sol ils pouvaient bien se trouver c'est avec stupéfaction qu'elle s'aperçut que le sol était à une centaine de mettre devant elle car tous avait l'air de petite fourmi. Alya remarqua aussi que les écailles doré de son Cher Rios avait prit une teinte plus belle encore grâce au reflet du soleil, elle adore voire celle-ci reluire au contact du soleil. Tout d'un coup Rios se mit ralentir car la nuit allait tomber pourtant lorsque celle-ci fut complètement arriver dans le ciel, Alya ferma le livre et le cacha dans son armure puis sa magnifique fleur se ferma en réponse de la photosynthèse normal chez les plantes. Elle aimait voir la lune prendre la place du soleil et illuminé tout en tendresse le voile de la nuit, elle alla se poser au sommet de la tête de son Dragon cherchant à l'horizon de la vie humaine. C'est seulement grâce à la limpidité et à la clarté de la lune et de la nuit qu'elle remarqua une faible.lumiere au loin.Elle tapota la tête de son Cher Rios afin que celui-ci prenne connaissance de la clairière illuminé faiblement par le feu d'un campement appriori, il leva la tête en signe d'approbation et il se dirigeait tout doucement vers se feu. Arriver à leur hauteur, le Dragon mythique cachait de sa présence la fave de la Lune d'une tel façon qu'au sol on pouvait facilement distinguer l'ombre de se dernier puis un vent froid se déposait au sol sans que personne ne puisse vraiment comprendre pourquoi. Puis ses dans un tremblement de terre et d'une énorme bruit sourd que Rios se posa pourtant en toute douceur sur le sol, il pencha sa tête si pas du sol que Alya n'eût cas faire un petit bond avant de toucher à même le sol. Les arbres se tasserent du chemin de ce dernier suivi par la Guerrière, tout deux s'arrêtèrent à loré de la clairière pour pendant un moment regarde le spectacle des deux jeunes gens qui avait l'air de se réchauffer devent se feu si habillement mit en oeuvre. Alya se disait que se feu devait avoir été allumé par l'homme qui tenait la femme sur ses. Genou. Rios tentait d'avancer vers eux mais elle lui bloquait le chemin d'un regard meurtrier.Elle ouvrait maintenant la arche et regardait encore le spectacle lorsque avec la plus grande civilité elle demanda:

-Desoler de vous interrompre misir et madame de façon si impromptu mais nous cherchons quelqu'un apte à nous aider à déchiffrer un certain puzzle. Puis j..( elle s'interrompit quand elle remarqua les oreilles de la jeune femme)

Elle posa son oeil sur la jeune fille puis sa fleur s'ouvrit comme par magie tout en fixant la petit d'un air de stupéfaction. Elle se tournait alors vers son Dragon et elle l'invita à prendre son envolé et à tournoyer autour d'eux et de seulement redescendre quand elle.lui demanderais, il avait comprit tout cela seulement dans le regard de la Guerrière comme si leur penser ne faisait qu'un. Puis sa main se déposait machinalement sur le pomeaunde de son arme puis sa voix remplit d'assurance elle demanda:

-Misir ou avez vous trouvez une tel créature, cette race devait être en voix de disparition et même encore selon les rumeur elle aurait été anéanti.... Je vous demande humblement de me dire où vous l'avez trouver une tel femme avec des oreilles si spécifique ne peux venir de ce monde vous comprendrez que je ne cherche que des réponse Misir et ne prenez cela pour un affront car je n'ai point l'intention de vous mettre dans une position difficile.

Elle marqua une pause puis posant un pied derrière elle regardant suspicieusement les deux êtres qui se trouvait devant elle. Elle ne pouvait pas croire que après tant d'année de recherche elle pourrait un jours trouver une race dite exterminé par ceux qui la croyait trop dangereuse. Le danger de c'est créature résidait dans leur rôle jouer autrefois dans le groupe qu'on avait nommer les fallens. Pour elle, qui cherchait sa famille dans les temples rencontré une créature capable de déchiffré l'ancien dialecte qui était inscrit dans son livres. Les légendes raconter par son peuple était donc vrai, les hommes avaient belle et bien châtier des être afin que ceux-ci puisse se défendre et cette femme en faisait partit. Le visage de la Guerrière affichait maintenant une mine emprunt de joie, de malice et d'envie. Pourtant elle sentait que quelque chose clochait, l'air devenait de plus en plus froide son Dragon donnait des coups d'elle de plus en plus fort comme si pour la millionième fois il ressentait les émotions véhiculer par Alya. Elle se calmait tant de joie ne pouvait se contenir mais elle réussi savour que toute les légende raconter autour des feux de ses ailleuils était vrai elle qui croyait que seulement les mythes avait une racines propre et un fondement, elle venait de découvrir que même les légende qu'elle croyait inexistante avait leur point de vérité. À l'aide de la.main qui lui étais libéré elle essayait de peine et de misère de toucher les oreilles de la petite femme coucher sir les genou de cette homme.

Le jeune sir restait dans le noir, regardant le feux. Les yeux perdus, rivés sur les flammes dansantes, le jeune roi restait tout de même aux aguets. Son ouie scrutait le bois et le ciel pour un seul bruit louche et suspicieux. Lacha la beauté des flammes, le jeune roi sortit son épée doucement, laissant les deux jeunes se reposer, il ponca son épée, l'aiguisant avec sa pierre a aiguiser d'un long mouvement clame et précis.

La rigueur qu'il mettait pour aiguiser son arme lui permettait de trancher dans presque tout. il maîtrisait cela a la perfection. Toujours assis pres du feux, gardant les deux jeunes personnes qui était avec lui depuis un bon moment, Ironfang enleva son casque et le deposa près de lui. Il continua a vaquer a ses taches de manutension d'armure et d'épée pour le temps que ses compagnons aurait besoins de sommeil. Cependant, un bruit vint briser le silence de la nuit. Une silhouette et un bruit. Ne sachant pas trop ce qui se passait, Ironfang se leva brusquement et se dirigea vers Shu et Rosabelle. De sa bottine il tappa assez fort sur l'épaule de Shu, puis se retourna pour faire face a... a une dame une guerrière vraisemblablement.

Il laissa la dame discuter avec les deux autre malgré le fait qu'il soi juste a cotés d'euc DEPUIS le début et écoutait la conversasion.

HRP: attention Alya a bien ecrire et lire. jetait n face d'eux autour du feux et eux etait un peu plus loin accoter sur un arbre et si je me suis tromper bien je doi avouer que ce netait pas clair :).... bref.... on continue la poste !! aa et dsl petite poste un dernier exam avant la ligne droite !! demain !!

Le jeune homme avait les paupières lourdes, la douleur qu’il avait à l’avant-bras droit était immesurable. Ces yeux fermait lentement, la journée avait été très longue et très ardue pour le jeune Shu. Le vent de cette nuit s’installait parmi les crépitements du feu qu’avait fait le guerrier. Lejeune homme l’avait laissée faire le feu, comme il n’en utilisait que très rarement lors de ces aventures, ou encore son travail. La jeune dame sur ces genoux remuait, s’étirait comme un chat puis remuait encore, trouvant finalement une façon confortable de s’installée. Shu lui posait ces yeux sur la petite dame.

*Ai-je l’aire d’un coussin?*

La jolie petite femme chatte s’était endormie, celons lui en tout cas, elle avait l’aire d’un ange lorsqu’elle dormait, blottie en petite boule sur elle-même. Sans trop y penser, le jeune adulte laissait glisser son jacket le long de ces bras pour finalement le laisser tomber sur le sol. Il bougeait un peu, ramassant le jacket pour le placer sur la petite dame. Il relevait son bras droit, des rougeurs c’était installée sur son bras, le sang avait séché depuis déjà un bon moment. Il ouvrait la main, la regardant puis la fermait, comme pour s’assurer que sa main fonctionnait encore. Toute les fois que ces doigt ce refermait sa plaie lui faisait horriblement mal. Il n’aurait pas le choix de ce pansé plus tard.

Alors que Shu allait succomber à la fatigue accumulé dans les derniers jours, et surtout dans la dernière journée. Un bruit, comme un murmure à travers le vent, Un cri peut-être. Il ne savait pas exactement ce que c’était, mais le bruit était étouffé par le vent qui sillait à travers les arbres. Alors qu’il allait fermer les yeux a nouveau, pour sombré dans un sommeil, Il put distinguer rapidement des bruit de battement d’aile, Il relevait les yeux au moment où une énorme bourrasque s’écrasait sur la clairière, une bête, mythique, sortie tout droit des contes pour enfants.

En effet Un dragon s’écrasait sur la plaine, la réaction normale aurait été de fuir, mais Shu lui restait là, la dame sur ces genoux. Il avait toujours agis ainsi face au danger. Pour lui ce n’était pas grave s’il mourrait. Une dame ce glissait en bas du dos de la bête des légendes. Elle marchait vers eux, avant de s’arrêter. Le jeune homme relevait ces yeux, elle pouvait voir ce regard de glace, sans vie, ni émotion. Alors que la dame prenait la parole, shu lui la regardait un instant, vêtiez comme une guerrière, arme à la ceinture, elle devait être une femme avec beaucoup d’assurance. Quelque chose d’étrange était cette fleur qu’elle avait sur son œil. Alors qu’il pensait a une certaine culture de ce monde, il remarqua que la fleur s’ouvrit. Il écoutait la jeune femme la scrutant des yeux. Lorsqu’elle eut fini, elle put remarquer que le jeune homme n’avait toujours pas changé d’expression. Comme une bête qui protège son trésors, il ne l’avait pas quitté des yeux.

-Créature? Sauf tout mon respect, ne trouvez-vous pas que c’est raciste et déplacer? Elle a peut-être des oreilles de chats, mais c’est une personne comme vous et moi.

Dans le ton de voix que Shu avait utilisée, on pouvait très bien voir qu’il était irrité par ce que la dame venait de dire. Après tout Il n’avait pas trouvé une créature, mais une personne. Avec ce que le jeune homme avait vécu, il savait que ce n’était pas la seule avec des oreilles de chats, ou d’animaux de toute sorte. Il savait aussi comment ils avaient été traités, Par le gouvernement. Le jeune homme gardait son dos droits, ces bras était allonger de chaque coter, mais on pouvait sentir qu’il était prêt à bondir sans crier garde, comme un lion prêt à défendre son territoire. Après tout Shu avait vécue dans les pire troue de la citée, là où tu vie ou tu meurs, seul les prédateur s’en sorte, les autres, finisse manger par la société. Le jeune homme gardait ces yeux sur la guerrière même si elle reculait d’un pas, peut-être pour prendre de la distance entre eux. Son bras brulait, très fort, il avait mal, très mal, Mais il ne se laisserait pas avoir, peu importe ce qui se passait, sa priorité était la petite dame qu’il protégeait, pour le moment en tout cas.

Rose avait regardé le vide durant un petit moment avant de se rendormir aussi sec, Si rapidement qu’elle ne se rendit pas vraiment compte du moment où sa tête avait retrouvé les genoux de Shu. En fait, elle ne sentie pas non plus le vent jouer dans ces cheveux à cause du manteau que Shu lui avait mis par-dessus. Elle manqua toute l’arrivée de la femme-guerrière et le nouveau départ du gros dragon mythique. Elle en aurait même manqué les paroles blessantes de la femme si Shu n’avait pas gigoté sous elle pour ce redressé. Comme il était à nouveau éveiller, le cœur du jeune homme se remit à battre plus vite et plus fort, ce qui était totalement normal car il n’était plus en phase de sommeil léger, mais qui la dérangeait au plus haut point.

Se demandant ce qui se passait, la petite fleur releva la tête de sous le chandail pour lever son jolie minois tout embrumer de sommeil vers la nouvelle venu. Un puzzle? Pourquoi chercher quelqu’un pour déchiffré un puzzle, c’était facile des puzzles… Alors qu’elle était partie dans sa soliloque personnel, la petite fleur pencha légèrement la tête sur un côté, puis de l’autre, clignant une ou deux fois des yeux. Encore engluer dans le sommeil artificiel de la fiole, rose se demandait si, vraiment la femme la regardait ou si c’était juste une impression.

Puis la femme fit demi-tour pour aller vers un dragon. Rose le regarda sans vraiment réagir, presque docile. Elle avait presque l’impression d’être dans un rêve et elle n’avait qu’une envie, bailler et se recoucher, envoyant balader ceux et celle qui aurait le malheur de la réveiller à nouveau. Finalement, la femme se rapprocha d’elle et la chatte recula légèrement sur les genoux de Shu, sur ces gardes. Lorsque la main Alya se tendit dans sa direction, Rose grogna et sentie le pelage de ces oreilles s’hérisser. Elle avait un mauvais pressentiment. Elle n’aimait pas cette femme étrange. Lorsque Shu se tendit comme une bête prête à combattre, rose se redressa sur les genoux de Shu avant de se relever d’un même mouvement rapide et fluide. Rose du pourtant prendre un instant pour reprendre ces sens car le mouvement rapide lui avait fait voir des tâches noires. Pour peu, elle aurait geins, mais elle se retint, de mauvais poile. Il fallait bien qu’elle accepte de prendre la fiole pour que quelque chose d’aussi insensé survienne! Elle avait fait confiance aux deux hommes et voilà qu’elle se retrouvait devant cette femme, la tête pas tout à fait claire!

Rose tira ces cimeterres, l’un après l’autre dans un mouvement plus lent et moins précis qu’à l’habitude. Sa mine était neutre et déterminer. Même si elle gardait les yeux river sur la femme, Rose gardait toujours une partie de son attention porté sur le dragon qui volait dans le ciel, prête à lui décrocher un coup d’épée et à esquiver s’il fendait sur elle ou sur l’un des autres. Les paroles de la femme exaspérèrent vivement Rose qui faisait parler d’elle comme si elle n’était pas là et la blessèrent un peu malgré qu’elle ne laisse rien paraître. Oui, elle était une aberration, une race éteinte ou presque, une erreur de la nature… Mais ce n’était pas une raison pour la traiter comme une bête!
Les oreilles de Rose se couchèrent sur sa tête. Malgré qu’elle se sache incapable de combattre intelligemment avant plusieurs heures encore, la petite fleur allait sauter sur la femme pour lui faire payer ces paroles… Mais la voix de Shu la retint. En fait, elle était si saisi par ces paroles, par le fait qu’il prenne sa défense que rose abaissa légèrement ces armes pour toiser vaguement le jeune homme. Elle allait répliquer, mais elle se mordit la langue. Parfois, mieux valait faire mine base… Elle n’était pas encore en état de combattre, elle devait se l’avouer malgré toute la frustration que cela engendrait en elle. Sans compter qu’elle était surprise que l’homme la défende, après tout… ils ne se connaissaient pas. Bon, il lui avait donné la fiole à boire, mais Rose commençait à voir qu’il était sincère lorsqu’il disait vouloir la protéger. Même sous les ordres de quelqu’un d’autre.

Finalement, Rose regarda Ironfang, son arme sorti, et prit la décision de leur faire confiance un peu… Juste un petit peu.

La jeune roi était debout au coter du feu, de Shu et de Rosabelle. Regardant la nouvelle venue, Ironfang bougea sa tête lentement de gauche a droite lorsqu'il entendit cette dame insulter la petite femme chat. *..... Aucun sens de la diplomatie.....* Il balanca son épée sur son épaule gauche, puis avec ses pieds couvra le petit feux avec du sable et de la terre. Une fois fini, seul un petit tas de braise s'éteignaient peu a peu. Avancant de quelques pas, l'homme en armure usa de sa force quasi surnaturelle pour planter son bouclier au sol pour capter l'attention. Puis pris la parole.

- Ne trouvez-vous pas que cela est une facon plutot déplacer et non diplomatique pour ouvrir une conversation ? Je m'apelle Ironfang.. votre nom chère guerrière ?

Il resta sur ses paroles et toujours avc l'épée dégainer il attendit la suite épiant bien les moindres mouvement de Rosabelle et de Alya pour empoêcher une quelquonque confrontation inutile pour l'instant.

Le jeune homme avait laissé la petite fleur qu’était Rose ce relever. Le jacket de cuir qu’il avait enlevé glissait sur le sol devant lui. Shu ce relevait l’attrapant d’une main, il était torse nue, et on pouvait voir des multitudes de cicatrice de plusieurs grandeur. L’Étrange femme c’était présentée, juste par la façon il savait qu’elle était étrangère à ces terres. On pouvait encore voir la morsure sur son bras droit, alors qu’il glissait son bras dans sa manche, pour finalement remettre son jacket de cuire sur ces épaules. Il voyait bien que la jeune dame n’avait pas voulu faire de mal, mais d’un certain coté elle était allée chercher la petite fleur là où il ne fallait pas. Le jeune homme voyait ensuite Ironfang qui lui ce relevait, plantant son bouclier dans le sol. Le jeune homme déplaçait son bras gauche devant la petite rose. Il lui indiquait qu’il allait s’occuper de la situation. Il avançait vers la femme, perdant son regard froid dans l’œil de la guerrière. Peut-être qu’il n’avait pas peur, où encore il avait perdu la tête. Un dragon était une bête des légendes après tout. Shu était maintenant à quelque pas de la guerrière, juste assez pour qu’elle soit capable de le voir lui clairement.

-Je ne sais pas pour vous, mais débarquer en plein milieux de la nuit, là ou certaine personnes ce sont campée, ce n’est pas exactement une façon gentille de les réveiller.

Il faisait une petite pause.

-De plus, il y a des façons de parler aux autres. Je crois bien que vous avez grandement manquer de respect à cette jeune dame.

Son teint était pale, la fièvre commençait à s’installer, vue la morsure qu’il n’avait pas soigner. Par contre, on ne pouvait pas lire la douleur dans ces yeux.

Ironfang toujours debout, une posture totalement non agressive l'habitait, ne voulant pas vraiment chercher la bataille. Regardant le jeune homme se relever finalement, il décida ne plus s'en mêler sauf il en serait concerner. Il devait otujours protéger la jolie petite femme chat, pour ses potentiels informations qu'elle pouvait détenir. Il salua toutefois poliemment a la nouvelle venue, attendant toujours son nom. Puis, il s'étira quelque peu et ecouta ce que le jeune avait a dire. Il état d'accord avec lui et sa facon de penser. Toutefois, la bête qui leur tournait autour l'intriguait. Lui qui n'avait que vraiment vu ses bête légendaire dans des livres et qui avait entendu de l'étendue de leur pouvoir. Il aurait aimer le voir de plus près. Les toutes dernières cendres du feux venait tout juste de s'éteindre et l'ambiancd avir l'air plutot tendu. Le grand guerrier aimait cette tention qui pouvait être palpable, lui rapellant que tout peux se passer dans la vie et que tout ne tient qu'a un fil.

s'accotant quelque peu sur son bouclier, l'homme continua a regarder la scène, attendant simplement que la situation se désamorce et qu'elle se présente. regardant la jeune femme chat, lui faisant comprendre qu'il était la en cas d'ultime besoin de défense ou de riposte...

Rose se tenait toujours prête à l’attaque, mais elle garda sa langue. Elle ne disait jamais vraiment non à un combat dans son état normal, mais là, en l’occurrence, elle n’avait pas l’impression que la femme avait vraiment voulu l’insulter volontairement. C’est paroles étaient crus, certes, mais certaine personne parlait sans réfléchir. C’était idiot, mais pas totalement désespéré non plus, du moins, pas de quoi en faire un combat au beau milieu de la nuit alors que la moitié du monde était fatiguer et qu’un campement de soldat du jeune Sir ce tenait assez près pour arriver en moins de quelques minutes si les hostilités était déclencher… Du moins, s’ils n’avaient pas encore vue la grosse bête légendaire si sillonnait le ciel autour de leur position…

M’enfin, pour Rose, c’était plutôt l’heur de la sieste et pas celle de combattre, pas dans son état et pas si elle pouvait l’éviter. Pourtant, elle se tenait prête, les cimeterres en main et position de combat. Du coin de l’œil, elle remarqua que Sir Ironfang en faisait autant, son épée non-chalament jeté sur son épaule armurer. La petite fleur soupira en entendant Ironfang prendre sa défense. Elle était touchée, effectivement… elle n’aurait pas pensé qu’il parle ainsi… Elle avait été plus ou moins habitué à devoir se défendre seule, alors…
Comme Rose allait s’en mêler, trop fière pour se laisser défendre, la petite fleur remarqua que Shu c’était relever et avait rattrapé le chandail pour le renfiler. Éperdu de sommeil, Rose ne c’était même pas rendu compte qu’il avait glissé de ces épaules. C’était donc cela, l’odeur qu’il y avait sur elle! Comme elle comprenait tout cela, le jeune homme tendit le bras pour la retenir et lui signifier qu’il s’occupait de tout. Trop fière pour cela, Rose ouvrit la bouche pour parler, puis elle regarda la main tendu dans sa direction et elle eut une petite grimasse.

Non, elle ne s’en voulait pas d’avoir mordu Shu. Vraiment pas, en fait, c’était ce qui se passait lorsqu’on s’attaquait a un animal. Rose tiqua. Un animal. Étais-ce vraiment ce qu’elle était? Malgré que le mot soit à connotation, ici, présentement, la jeune fille devait s’avouer, avec un pincement au cœur, que, effectivement, c’était ce qu’elle était… elle aimait le lait, ronronnait, grognait, griffait, mordait… Toute des caractéristiques pour le moins animal… même si personne n’était vraiment à l’aise de le spécifier à haute voix…

Même s’il ne semblait pas avoir mal, Rose soupira. Ce n’était pas le moment, mais elle n’était pas très à l’aise avec tout ce qui était réconfort et machin du genre. De toute façon, la lutte n’aurait pas lieu dans un présent immédiat, et, à ce moment-là, sans doute serait-elle inutile, alors aussi bien faire ce qui lui était possible.

Rose laissa Shu se mettre entre elle et la femme, puis se pencha sans explication vers l’avant. Elle ne rangea qu’un cimeterre, ce gardant toujours prête au combat malgré sa diminution physique momentané et l’aide visible que lui procuraient des deux hommes, et elle utilisa sa seconde lame pour entailler le bas de sa robe qu’elle déchira ensuite en une longue bande de tissus noir border joliment de broderie doré. Sans pour autant quitter du regard la femme qui lui vouait une étrange fascination, elle tira une gourde de sous sa cape rouge. Détournant un instant son regard de la femme, elle le pausa sur Shu, puis s’avança vers ce dernier. Visiblement, elle n’était pas très douer avec les démonstrations envers les inconnus, surtout lorsqu’il s’agissait d’homme.

Arriver tout près derrière, Rose hésita, puis fini par planter son cimeterre dans le sol à porter de main, puis elle prit avec une immense délicatesse la main blesser du Shu de ces deux petites mains. Pour seule explication, sachant et comprenant que Shu n’était pas du genre à aimer être touché pour rien et sans explication, elle ajouta :

--Ne bouge pas. Ça va piquer un peu.

La petite chatte ne démontrait pas vraiment de compassions. À quoi bon mentir, cela ferait mal. Et surprendre un homme sachant se battre n’était pas la meilleur idée, pas dans son état actuel. Pourtant, ce fut avec une immense douceur qui démentait ces paroles plutôt froide, qu’elle entreprit de jeter un œil à la morsure qu’elle avait causé dans sa panique. Comme elle était plutôt vilaine et enflammer, Rose ouvrit la gourde de solution antiseptique spécialement conçu et elle en humecta une partie du tissus. Elle aurait, certes, pu le verser directement sur la plais, mais cela aurait été beaucoup plus douloureux. Elle se demanda un instant pourquoi elle se souciait du sort d’un homme après ce qui lui avait été fait, mais une petite voix dans sa tête lui disait que peut-être… que peut-être les deux hommes devant elle était différent des autres… peut-être qu’elle avait juger trop vite… enfin… le moment était mal choisi pour réfléchir à tout cela et elle mit un point d’honneur de ce concentré sur ces gestes.

Bien que cela piquait légèrement au contacte, le doigter particulièrement doux et assuré de Rose minimisait incroyablement la douleur. Bien qu’elle n’aima pas les art de la guérison, elle avait toujours eu un don pour préparer des recettes de soin qu’elle avait apprise dans ces nombreux bouquins lu dans ces temps perdu. Après que la plaie eu suinter d’un liquide étrange, Rose, son joli minois concentré, entoura la main du jeune homme dans la bande noir broder d’or pour terminer par une jolie petite boucle bien solide. Cela ne vaudrait sans doute pas un soin complet, mais, cela atténuerait la douleur et empêcherait l’infection.

C’était tout ce qu’elle pouvait faire pour ce faire pardonner. Ce n’était pas grand-chose, et elle n’avouerait jamais qu’elle se sentait un peu coupable, mais c’était tout ce qu’elle pouvait lui offrir en guise de compensation… Car, si c’était à recommencer, qu’il la retenait à nouveau contre son gré, elle replanterait ces dents volontiers dans sa chair. Lorsqu’elle eut terminé, ce qui eut pris pas plus de quelque instant de manipulation rapide, délicate et efficace, Rose se frotta les yeux de ces poing fermé pour tenter de chasser le brouillard de ces sens, se redressa et reprit son arme bien en main pour reprendre sa position de défense, face à Alya.

Alya n'écoutait guère ce que c'est homme lui disait trop accaparé pour les écouter face à une créature qu'elle n'avait vue que dans les livres, que seul les légendes avait oser décrire avec une perfection si parfait mais où était donc la queu de l'animal. Elle ne remarqua point l'homme qui se trouvais dans son angle mort car seulement un des ses yeux étais pourvu de vision, c'est alors que l'être mythique qui sillonnant le ciel émis un grognement si assourdissant que cela venait glacer les veines de la Guerrière qui pourtant était habituer à se genre de son. Dans un boucan qui pouvait surprendre le Dragon du nom de Rios se posa au côté de la Dame qui se retourna pour lui lance un regard lourd de sens. Elle se retourna vers la Chatte qui semblait avoir été offusquer par ses manière peu civilisé c'est alors qu'elle affichait un air presque moqueur, c'est gens n'avait point compris qu'elle n'était pas l'ennemi à redouter mais plutôt l'immense Dragon qui dépassait de plusieurs tête la sime des plus grand arbres. Elle se tourna de tout son être pour fairw volte face à l'homme qui savait tapis dans l'ombre :

- Vous semblez bien tendu Misir mon nom vous semblera de point d'importance si vous offusquer mon cher Rios que voici( tout en pointant son Cher Dragon) je ne suis pas venu combattre mais juste retrouver mon chemin et vous ne semblez point la personne toute indiquer pour m'éclairer

Elle eu un sourire des plus moqueur en regardant se dernier puis sans crier garde son Dragon se mit à bouillir littéralement de colère car ses narines laissaient sortir une fumée digne de la plus belle boucane qui aurait pu se dégager d'un feu qui venait de s'éteindre. Elle se retourna vers l'homme sur lequel la femme chat était allongé peux de temps avant puis avec un sourire qui feignait presque la moquerie :

- Je ne crois pas avoir manquer de respect à cette Dame, vous devriez savoir que lorsque l'on dit qu'on ne tien pad nos propres pour un affront c'est que nous ne cherchons pas à blesser qui que se sois. Alors que vous n'avez répondu à aucune de les précédente questions je me vois dans l'obligation de bous donnez un petit cours de mythologies bien placer bien que selon plusieurs mythe conne celui qui englobe mon cher Dragon nous croyons sa race éteinte car il semble être le dernier représentant de son espèce après que je l'aille sauvé des griffe des sien avant de les tuer froidement et cela m'a coûté l'oeil que vous voyez maintenant sous la forme d'une jolie fleur qui suis les caprice la du soleils. Je crois que la femme chat. La créature que vous tenter si fermement de protéger (elle.sortirle une jolie balle de laine qui laissait sortir un claquement de clochette qu'elle faisait rouler entre ses main) vous devez donc savoir que selon les.legendes de se monde les homme chat ou femme chat descendait d'une noble race qui faisait partie autrefois des fallens, sa race était respecter et aussi vénère mais il y a de cela plusieurs décennies lorsque les dieux partageais encore notre monde. Vous devriez selon moi ne pas connaître les légendes qui sont transmis de bouche à oreilles dans des tribu aussi ancienne que celle d'où j'ai vu le jour sachez Misir que en aucun cas j'ai voulu manquer de respect à une descendante directe de ceux qui on protéger notre monde.

Alya posa un genou au sol et levant son unique oeil vers la Chatte. Elle lui lança la balle de laine puis empoignant son pomeau de son arme, puis elle se releva et dans un signe de révérence elle sauta sur la tête que son Dragon avait mit à sa hauteur. Puis juché sur sa tête, elle se mit à rire d'un son cristallin presque trop parfait pour elle, puis dans un élan de joie elle lança à la Femme:

-Ne renier par vos origine cher Damoiselle car cela risquerai de vous coûter gros, elle prit le livre qu'elle avait reçu en cadeau et l'ouvrir pour chercher le passage qu'elle avait lu quelque moment auparavant. Tous pouvait voir la reliure parfaitement travailler et d'une beauté hors du commun. Elle attendait sagement que quelqu'un daigné répondre à ses question sinon d'un coup d'ailes, il partirait pour ne jamais revenir sauf peut-être pour cette Dame chat qui avait attire toute son attention.

Alors que le jeune adulte allait s’avancer, une petite main lui attrapait le bras avec une grande délicatesse. Il pouvait entendre la voix cristalline de Rosabelle. Le Jeune homme eut le temps de descendre les yeux sur son bras qu’il put ressentir la morsure, comme une brulure, ce que la petite dame avait appliqué réagissait rapidement. Le jeune homme tournait la tête, de façon à ce que l’on ne puisse pas voir qu’il serrait les dents. On pouvait tout de même entendre un grognement mécontent étouffé. Surprenaient, la petite rose était douer, alors qu’elle appliquait la solution sur sa plaie, elle était capable d’atténuer la douleur en quelque sorte. Après elle pansait sa plaie, agilement et de la bonne façon. Lorsqu’elle eut fini, il relevait son bras droit, regardant le tissu noir brodée d’or qu’elle avait utilisé. Le jeune homme relevait la tête, puis regarda la petite fleur un moment, tout ce qu’il était capable de dire n’était qu’une léger murmure.

(-Merci)

Alors qu’il se retournait vers la guerrière à la fleur cachant son œil. Il remarqua que celle-ci n’allait pas comprendre leur façon d’agir. Le sourire moqueur qu’elle avait voulait en dire beaucoup. Pourtant ces yeux de glace et sans émotion ce reposait sur elle. Il l’écoutais, mais les mots qu’elle utilisait a nouveau lui fit couper la phrase de la guerre.

-Ce n’est pas une créature, c’est comme si je vous appelais Natives, ou encore tribale…

Il la laissait terminer, avant de la regarder puis de reprendre la parole.

-Ne la rappeler plus jamais créature, La prochaine fois, même votre dragon ne m’arrêteras pas de vous faire regretter votre offense. Je n’ai rien à siré de votre puzzle, de votre dragon, ni même de vous. Cette femme que vous avez tant l’aire de respecter a la nommer créature, Elle n’ira nulle part sans moi. Et j’espère que je me fais claire.

Il posait son regard sur Rosabelle, Pour lui faire comprendre que s’il le devait, il prendrait une autre morsure, ou même y perdrait son bras, pour la protégé.

-Je n’ai pas besoin d’histoire aussi ridicule, je connais les comptes, les légende, Comparé à vous je n’ai pas grandi dans un trou perdue.

Ce que les autre ne savait pas, malgré sa façon amer de parlée a la guerrière, Il n’avait pas encore commencé à se fâcher, pas d’une miette.

Ironfang était la, debout, en train de regarder l'immense bête en se disant que cela lui ferait un beau trophée si jamais toute cette situation tournait au vinaigre. L'osque la femme parlait a Shu, Le jeune adulte se leva de son bouvclier et l'attrappa lourdement. Puis, voyant la femme chat soigner Shu avec une espèce de concoction, il ouvrit un peu les yeux pour essayer d'y voir plus clair. * Hmh je vais devoir lui demander de montrer cette lotion a moi et mon toubib....* Il se retourna rapidement et continua d'écouter les deux parler. Lorsque la femme a l'oeil floral pri la parole et expliqua ses intentions, il alla rjoindre Shu de plus près. Désormait a ses cotés, il pu bien entendre ce qu'il dit a cette guerrière et acquièsca.

- Hahahahaaha !!! Shu a raison ! Je vous ai dit... ce n'est pas diplomatique ni polis d'appeler quelqu'un ainsi... Arrêter de vous jouer de nous.. Shu a raison elle ne partira point sans nous que tu le veuilles ou non!

* je ne sait pas ce qu'elle veut a cette petite, mais cela est clair qu'elle ne doit rien lui arriver. Elle me dira ce que j'ai besoin de savoir et entre temps, je ferais tout en mon pouvoir pour la protégé...*

Le roi rangea le bouclier sur son dos, puis sétira quelque peu les bras, l'épée toujours prête a servir.

Rose balaya doucement les remerciements de Shu. C’était le moins qu’elle ait pu faire vue que c’était elle-même qui lui avait infligé la blessure. Alors qu’elle reculait, Rose étouffa un bâillement derrière sa main levé et suivit l’échange de la femme et des deux autres hommes qui semblait bien déterminer, tous les trois, à avoir le dernier mot. Comme elle trouvait l’échange inutile, La petite fleur entreprit de détailler le gros dragon de la femme. Même si c’était impressionnant de la voir voler, puis cracher de la fumée, la femme-chat osa les épaules. Elle savait pour avoir lue sur le sujet que le dragon avait deux faiblesses malgré leurs écailles. L’une des faiblesses se trouvait au niveau de la collerette, juste devant les pattes avant de gros lézard, et se constituait en une série d’écaille plus pâle d’un ton qui passait tout juste entre les deux pattes avant. La seconde faiblesse se situait au niveau de la queue, à la base la plus large de l’appendice.

Alors que les hommes discutaient et se disputait avec la femme pour sauver son honneur bafouer, la petite fleur confirmait visuellement ces informations. Rose ne revint vraiment à la conversation présente que lorsque la femme sortie une balle de laine au son de clochette. Rose suivit la balle rouge qui roulait entre les mains de la femme avec un intérêt soudain plus soutenu, la suivant un moment du regard, jusqu’à ce qu’Ironfang prenne la décision de venir se joindre à Shu pour se disputer avec la femme. Comme les deux hommes planter entre elle et Alya était plus grand qu’elle, la femme-chat se trouva toute entière cacher de la vue de la femme et vise-versa. Interloquer, la petite fleur pencha la tête de côté, puis de l’autre avant de sauter pour tenter de voir par-dessus les deux hommes.

Comme tous ces efforts étaient vint, Rose contourna Shu et Ironfang pour venir se poster au côté de ce dernier pour pouvoir avoir son mot à dire. Cela ne servait à rien de se chicaner pour un terme ou un autre, c’était triste, mais elle était ce qu’elle était. Dès que la petite fleur eu réaparut dans le champ de vision d’Alya, Rose remarqua un éclaire rouge passer près d’elle. Instinctivement, elle lâcha son cimeterre et, par réflexe attrapa la grosse balle de laine à deux mains. Les paroles suivantes de la femme la laissèrent pourtant sceptique. Ne pas renier ces origines? Mais de quoi parlait-elle? Interloquer, elle vit la femme faire une révérence avant de retourner sur son dragon, un grand livre ouvert sur les genoux.

Rose ne reprit pas toute suite son arme, roulant la balle de laine entre ces doigts en réfléchissant au problème et aux solutions. Elle savait qu’elle n’en aurait pas fini immédiatement avec la femme. Si Rose avait des réponses et d’autre question, elle savait qu’Alya aussi avec des réponses et des questions. Elle avait beau être un peu déstabiliser par la femme et ne pas aimer sa manière d’agir, la femme avait des réponses pour elle, des réponses qu’elle n’était sans doute pas prête à entendre dans l’immédiat. Le milieu de la nuit n’était pas le bon endroit où discuter de tout cela.

Rose regarda les hommes lorsqu’ils commencèrent à dire qu’elle n’irait nulle part sans eux, interloquer. Elle irait où bon lui semblait et avec qui elle désirait… Mais pas ce soir, à moins que l’option comprenne un joli lit bien confortable où elle pourrait sommeiller ou un bon bol de lait chaud. Au moment où la petite fleur se faisait cette réflexion bien sentis, Son regard croisa celui de Shu qui semblait lire dans ces penser pour lui faire comprendre qu’il ne la quitterait pas d’une semelle. Rose leva les yeux au ciel, exaspéré, puis recommença à faire tourner la balle de laine entre ces doigts délicat et agile. Puis, au milieu d’un joli «gregre» que faisait la balle de laine, rose arrêta de jouer avec la balle de laine pour la regarder plus attentivement. En fait, la balle n’était pas fait, en laine, pas tout à fait, du moins pas la même laine qu’il était commun dans le coin. Curieuse, la petite fleur chercha à savoir d’où la matière venait… Puis, Rose leva les yeux sur le livre que tenait la femme. Elle ne voyait pas très bien d’aussi loin tous les petits symboles gravier dans le cuir, mais cela lui disait quelque chose… Elle avait déjà vue cette langue dans un des nombreux livres qu’elle avait étudié… Une langue éteinte qu’il lui semblait… Mais Rose ne dit mot, incertaine de son information. Il lui faudrait d’abord ouvrir la cache de livre sous la maison bruler avant d’être certaine de tout cela et, pour le moment, elle n’était pas vraiment certaine de pouvoir le faire devant les deux qui homme qui ne semblait plus vouloir la quitter pour elle ne savait trop qu’elle raison… Elle devrait attendre un peu avant de savoir si elle pouvait leur faire confiance. Pour la première fois depuis l’arrivée d’Alya, Rose prit la parole. D’un pas ferme, elle fit un pas devant les deux hommes pour qu’ils comprennent bien qu’elle ne désirait pas poursuivre le débat avec la femme :

--Peu importe ce que je suis, le seul passer qui m’intéresse est celui qui se rattache aux questions que je me pose. Le reste, pour mes origines, je nierais bien ce que je veux nier.

En fait, Rose commençait à voir de quoi la femme voulait parler et cela ne lui plaisait pas du tout. Là encore, elle avait quelque recherche à faire pour en être certaine. Mais elle ne parlerait pas de cela avant de le vouloir, qu’elle se le tienne pour dit. Et surtout pas devant les deux hommes qui c’était mis en tête de la suivre. Elle ne savait pas ce que la femme cherchait, mais elle savait où, peut-être, elle pourrait trouver des réponses, car, visiblement, la femme ne savait pas lire le livre qu’elle avait à la main… Les symboles lui avait d’abord semblé étrange, mais c’était parce qu’Alya le tenait à l’envers. Rose trésahi de fatigue et elle dû prendre quelque seconde, le visage tourner vers le sol, avant de pouvoir poursuivre, lorsqu’elle fut assurée que sa voix serait à nouveau ferme :

--je ne vous accompagnerez pas et, pour le moment, je n’ai pas de réponse à vos questions. Mais, si vous le désiré, allez faire un tour du côté de la citadelle d’ombra… Si vous savez bien chercher, peut-être trouverez-vous un indice pour déchiffré votre livre… Que vous tenez à l’envers soit dit en passant.

Rose tourna ensuite le dos à la femme, reput d’épuisement. Elle n’aurait pas dû lui dire qu’elle le tenait à l’envers, et elle n’avait pas voulu donner trop d’information car elle ne voulait pas que la femme, qui lui vouait déjà une étrange obsession, comprenne qu’elle en savait peut-être un peu plus qu’elle ne voulait bien le dire présentement. Rose contourna Shu pour retourner derrière les hommes, mais elle trébucha sur ces propres pieds et l’accrocha au passage, en échappant presque sa balle de laine. Marmonant mollement un petit «désoler» ensommeiller, Rose termina, à voix plus forte pour que la femme l’entende :

--Maintenant, laissez-nous. Je ne puis vous aidez plus que cela.

Sa phrase se termina alors qu’elle étouffait un petit bâillement. Malgré ces paroles, au fond d’elle, Rose savait que leur route se recroiserait un jour. Fatiguer, Rose se laissa tomber rudement sur le sol, un peu en retrait, mais tenta de combattre le sommeil jusqu’à être certaine que la femme soit partie.

Alya lisait paisiblement son livre lorsqu'elle se mit à se perdre dans sa lecture, ne comprenant que quelque mots écrit en Langue courante puis d'autre oublier depuis des siècles se disait telle. Son Dragon soulevais la tête et la laissa glisser le long de son dos elle était lasse de tout ses gens qui protégeait la créature qui se pensait plus brillant ou encore mieix renseigner mais il ne se doutait pas que la Guerrière devant eux descendait des dieux ce qui pour elle était un manque de connaissance qui prévalait dans le petit peuple car peu de mortel aurai pu remplacer un oeil par une fleur si magnifique. Elle donna quelque coup sûr le dos qui se mit à virvolter autour d'eux avant de prendre son envolé et toujours en gardant une distance raisonnable pour entendre leur paroles peu agréable, elle souriait d'un air moqueur regardant de haut ses hommes qui protégeait une femme qui n'avait à la première vu aucunement besoin d'aide pour se protéger elle même il l'a sous estimait comme le fond si bien les hommes.Elle écoutais le jeune homme qui parlais et qui semblait avoir de la.mIsère à appeller un chat un chat:

- Je m'excuse que mon langue vous est offenser mais dans le.monde il ne faut pas s'empêche d'appeler les chose comme elle.pe son et ouii je suis une tribale si cela peu vous réconforter Misir votre langue me semble plus familier que respectable mais n'ayez crainte je ne dirai plus se mots qui semble vous offusqué... Si vous connaissez si bien les légende Misir vous devez alors savoir se qui se trouve sous vos yeux ou est-ce que vous avez oublier les adage du temps passer et non je ne viens pas d'un endroit isoler ou perdu comme vous semblez vous hevertuer à penser il semblerais que vous ferez fausse route mais je dois vous quitter sous peu ma quête se continuer à un autre endroit.

Elle resta la regardant celui qui semblait plus menaçant mais aussi peu divertissant,elle l'écoutait parler et regardait comment il agissait envers la jeune femme. Alya sourit cette petite aurait bientôt la surprise de sa vie car cette homme la regardait d'une façon qui laissait presque penser qui la convoitait mais cela n'étais que l'impression qu'il avait laisser à cette Guerrière pauvre femme se dit tel.

- Ah j'oublie messire je n'ai point l'intention de partir avec cette femme je ne voulais que de l'aide vous vous êtes fourvoyé dans mes intentions desoler du mal attendu mais je ne peu me permettre dans ma quête d'avoir une courte autre que ce merveilleux Dragon.

Alya regardait maintenant en direction se la si jolie créature avant de sourire frénétiquement comme pour faire comprendre à la Jeune femme dans quelle pétrin elle avait mit les pieds avec ses hommes qui avait décider de son sort sans même lui demander un avis. Elle sourit malicieusement en attendant la jeune femme parler c'était vrai que la couverture du livre était dans le.sens contraire mais le contenu était dans le.sens approprier, elle sourit en regardant la jeune femme qui parlais en concordance avec se que ses hommes disait.

- Mademoiselle sachez que je ne veux en aucun cas que vous me suivez mais.je vous remercie grondent de cette information et pour votre information seulement la couverture est dans le.sens opposer à l'écriture qui si trouve mais je crois que vous le sachiez déjà n'est ce pas et cela et vrai que vous pouvez nier ce que vous désirer mais ce qu'on nie nous rattraper toujours plus rapidement.

On entendit un bruit semblable au tonnerre quand comme une fuser le.dragon se propulsa dans le ciel puis dans un immense vaisseau de lumière il cracha un feu immense autour des arbres qui les entourait leur laissant pour seul issu un petit passage dans le bois qui après quelque heures aurait disparu décimer par les flammes. On me pouvait que distinguer une ombre dans le ciel lorsque celui ci cracha le feu qui brûlait puis le temps que tous comprennent ce qui setais passer il avait disparu du ciel en direction de la citadelle qui avec l'aide du prochain village trouverais surment quelqu'un qui leur fournirai une carte digne de se nom.

Le jeune homme en avait déjà assez, il savait que c’était perdue depuis un bon moment, cette femme avait cette aire hautaine, comme si elle était la meilleur. Le jeune homme avait connue beaucoup de gens qui avait la même attitude, pourtant c’était la première fois qui ressentais cette flamme a l’intérieure de lui, cette chaleur dans son estomac. Alors que la guerrière prenait la parole, Shu rétorqua gardant difficilement son calme froid qu’il avait d’habitude.

-Une relique du passée devrait restée enterrée, moi je vie dans le présent. C’est tout ce qui compte, de survivre…

En effet, elle n’avait pas faux, Shu savait ce que cette femme était, depuis son arrivée en fait, mais son instinct n’était pas celui d’un prête, mais celui d’une bête. Il ne faisait pas de différence entre un dieu ou un mortel, a ces yeux, c’était prédateur ou proie et malheureusement pour la jeune guerrière, elle était en ce moment sa proie. Le jeune homme remontait ces manches, laissant voir le bandage de fortune brodée d’or sur son bras droit et une grande cicatrice longeant son avant-bras gauche. La guerrière enchérissait, sur le cas de la petite fleur, le jeune homme baissait les yeux vers le sol.

-Elle est ce qu’elle est, Elle n’as pas besoin de changer pour le passée de sa race. Tout ce qui compte, c’est comment elle va changer pour son future.

Alors que la guerrière s’envolait à dos de dragon, le jeune sifflait quelque mots entre ces dents.

(-Pffft..Demi-Dieux…)

Il ce retournait, puis faisait quelque pas, croisait brièvement le regard d’Ironfang. Puis il marcha jusqu’au feux, soufflant la braise pour le rallumer, avant de finalement ce trouver un endroit pour s’écrasée et s’endormir.

Agacer et pousser a bout, Ironfang pris une posture plus offensive, prêt a bondir sur la nouvelle jeune femme. Il asséna un coup de poing dans un arbre, puis se retourna en face de la femme a la fleur.

- Tu sais, que se sont les gens et leur croyance qui élèvent les personnes aux rangs de dieux... ils peuvent très bien finir la vie de leur propre dieu si on ne s'occupe pas d'eux et si on se prend pour plus que l'on est vraiment...

Ironfang se doutait de son rang du a sa prestance et a sa vantardise, mais lorsqu'il eu la confirmation de cela, il n'eut pas peur du tout. Il eut même un sourire défiant. Il n'avait pas peur. Il avait plustot hâte de s'y frotter et de vaincre ses bêtes. Elle et les dragons. Car effectivement, ce fut a cause de ses êtres que les peuples furent sauver, mais a cause d'eux aussi que les peuples se séparèrent en catégories et se firent la guerre aux noms de ses pseudos divinités. Ironfang le savait et en était conscient. Il voulait libérer les peuples et leur redonner la confiance, la force et l'assurance de revivre comme autrefois...

- Pour ma part, elle peut bien faire ce qu'elle veut, ce n'est pas race, sa couleur ou son coter animal qui me fait peur... ...moi même je descends du lion... je n'est juste pas encore déployer ma vrai force n'ayant pas eu le besoins de le faire ressortir...

Il se tourna vers la femme chatte et lui donna un regard pour qu'elle comprenne que lui aussi n'était pa humain malgré son apparence. Il lui sourit et lui laissa comprendre qu'il attendait ses ordres.

Rose poussa un profond soupire fatiguer. Elle somnolait, les jambes remontées contre sa poitrine, elle appuya sa tête contre ces genoux en les enserrant de ces bras. Elle n’aimait pas tellement cette femme hautaine, peu importe sa descendance… Car, comme elle pouvait bien le prouver, on n’était pas notre passé, mais on pouvait devenir notre futur et elle ne laisserait pas ces origines venir brouiller ces convictions.

La petite fleur soupira, en oubliant presque l’échange qui avait toujours lieu pas loin d’elle et qui opposait les hommes et la femme. Elle ne se sentait pas en danger, si le dragon aurait voulu les tuées, cela aurait été fait depuis un moment. Il était sous la coupe de cette femme et elle savait d’instinct qu’elles se reverraient dans un futur beaucoup trop près. Mais, pour le moment, Rose avait besoin d’un peu de familiarité. Si elle aurait été seule, elle aurait sans doute rebroussé chemin pour se rendre jusqu’au temple des trois lunes, simplement pour se sentir à nouveau en sécurité, ou elle se serait diriger vers la bibliothèque pour prendre un peu de repos… Mais là… Elle ne savait pas trop vers qui se tourner pour rencontrer un peu de familiarité et de réconfort… Le plus près du temple qu’il y avait dans les environs, c’était Shu… Et il ne lui semblait pas du genre à très câlin… Et de toute façon, même malgré elle, elle se sentait prise d’effrois lorsqu’elle se retrouvait trop près d’un homme… elle tentait t’en bien que mal de se dominer, mais c’était si profondément ancré en elle qu’elle avait du mal à empêcher son corps de réagir de lui-même.

Ces pourquoi la petite fleur restèrent fermer sur elle-même, ces jambes entourés de ces bras en signe de réconfort, sa joue appuyer sur ces genoux et le regard tourner vers le vide près du gros dragon. Elle sentit quelqu’un passer près d’elle et elle regarda Shu jouer avec le feu un moment, espérant que ce dernier ne s’allume jamais. Finalement, il s’écrasa pas loin d’elle et Rose poussa un soupir de soulagement lorsque le feu s’éteignit de lui-même. Lorsque Shu ferma les yeux, Rose huma discrètement l’aire en direction du jeune homme pour y sentir un mélange de contrariété. Visiblement, lui non plus n’aimait pas cette femme arrogante.

Le regard de la petite fleur rencontra ensuite celui de l’homme en armure et elle hésita un instant alors que la femme partait d’un coup d’aile dans les aires. Les paroles du jeune homme la rendaient perplexe. Lui aussi avait du sang animal? Mais comment… Rose planta son regard félin et troublant dans celui du jeune homme, comme si elle tentait de le sonder jusqu’au plus profond de son âme. Elle n’avait pas fait attention jusqu’alors, mais… Pendant qu’elle observait Ironfang, ce dernier pu sentir une douce petite énergie chaude venir lui caresser la peau sous son armure. Dès que rose se rendit compte de ce qu’elle faisait, elle se referma comme une huitre, rappelant à elle tous les résidus d’énergie qu’elle aurait pu laisser échapper accidentellement du côté de Shu et d’Ironfang.

Rose allait reporter son attention sur le rond brûler en faisant comme si de rien était lorsque le dragon d’Alya mit le feu près de leur campement. Rose sursauta, se redressa et son regard apeuré se perdit dans les flammes toute proche. Pourtant, aucune ne trouva de quoi brûler bien longtemps et la boule de feu s’éteignit d’elle-même au bout de quelque seconde qui lui sembla durée une éternité. Le souffle lui manqua brièvement, mais elle finit par se calmer d’elle-même après que le feu est terminé de rougeoyer. Lorsque son attention revint vers Shu qui dormait, Rose tergiversa un petit moment, mais elle finit par soupirer. Elle ne pouvait partir ce soir, même si elle l’aurait voulu… Le coin était risquer même si elle connaissait chaque recoin de la forêt, aussi, serait-elle prise avec les deux hommes jusqu’au matin au moins.

Rose détacha sa cape de son cou et se tourna vers Shu avant de se hisser sur les genoux. Comme le feu était éteint, la jeune fille recouvrit Shu, endormit, de sa cape avant de se redresser pour se diriger vers Ironfang. Elle le toisa quelque seconde et fit un geste peu humain : elle huma l’aire près du jeune Sir. Il lui sembla que, effectivement, il dégageait une étrange odeur de fauve. Sans se poser plus de question, Rose se détourna et alla chercher une branche d’arbre tomber un peu plus loin avant de se rassoir près du rond de feu noircie, jouant dans les cendres tièdes. Les genoux à nouveau remonté sur sa poitrine, la petite fleur étouffa un bâillement de sa main libre. Malgré la fatigue, Rose était trop en alerte pour se rendormir immédiatement. Se tournant vers Ironfang, la jeune fille l’invita d’un geste à venir la rejoindre… Mais pas trop près, elle était encore nerveuse.

Ce faisant, la petite fleur chercha à se changer les idées en engageant la conversation :

--Alors, messire, que venez-vous faire en ces terres?

Elle n’était pas certaine d’avoir déjà poser la question, mais elle cherchait simplement à se distraire et à… elle ne savait pas quoi en fait… elle aurait sans doute dit «créer un lien» mais, cela lui sembla une idée incongru et étrange aussi, décidat-elle de simplement prendre les choses comme elle venait et de ne pas chercher un sens, ce disant que c’était juste pour se distraire un peu des derniers évènement pour le moins… intriguant.

L'homme regardait la bête s'envoler au loin. Perdu dans ses pensée... L'homme regardait encore et encore le ciel malgré le fait qu'ellle était depuis un bon bout partit. Ce ne fut qu'une chose qui le ramena sur terre. une étrange sensation sous son armure. Une petite sensation qui ressemble a lorsqu'on se rechauffe auprès d'un feu après une longue journee dehors. Une sensation chaude et réconfortante. Quelque chose de semblable qu'il n'avait jamais eu a obtenir depuis la mort de sa femme Geneviève. Il regardait tout autour de lui, et pour la première fois, il sentait la femme chat moins stressé.

* Cette gamine a du vivre beaucoup de chose, je devrais faire atention a mes actions. Il ne faut pas que je la stresse d'avantage...*

Enlevant son casque. Dévoilant sa chevelure brun-clair, rappelant le pelage d'un lion, ses yeux vert émeraudes et un sourire garni de crocs tel un lion, Ironfang vint doucement et délicatement s'asseoir autour du petit feux mourant a l'autre bout de Rosabelle. En se penchant, sa petite chaîne d'or rose s'échappant de son armure et pendouillait a son cou. se raclant doucement la gorge, tout souriant, il répondit a la femme chat de toutes ses crocs asséré :

- Fort simple Rosabelle. Je vais te raconter l'histoire brève et t'pargner ma capture et la torture intense que j'ai subis ainsi que les tests don j'ai fait l'objet pour avoir été différent des humains. Je vien venger mes hommes et moi, de la corruption qui rôde sur ses terres. Mon pays, mon chateau et tous ceux a qui j'avais le devoir de protégé son mort trahi par un de ma famille... Bruler, anéanti et fatigué nous nous sommes dirigés ici pour recommencer une nouvelle vie. Nouvelle vie que j'utiliserai pour ruiner ceux et celles qui ont tuer mon espèce et pendu ma femme a moité nu au pied des portes mon chateau...

Il trembla de tout son corps, emplis de rage, il laissa s'échappere un petit rugissement guttural ressemblant a celui d'un lion puis se ravisant se calman un peu puis, pris son pendentif entre ses doigt et se calma instantanément.. Regardant la jeune chatte :

-.. Désoler... je n'aurais pas du... Et vous ? quel est votre histoire jeune femme. j'aimerais vous connaître d'avantage ainsi que cet homme quelque peu silencieux... il regarda la jeune femme d'un regard de lion, un regard d'animal... quelle seule pouvait savoir et reconnaitre en tant que femme-chat.

Le jeune homme c’était écrasée sur le côté d’un arbre, déjà il sentait la douleur à son bras qui s’apaisait. La petite fleur était très douer, plus qu’il aimait l’admettre. Il sombrait peu à peu dans le sommeil, sous le drap étoilé du ciel. Alors qu’il était en train de s’endormir, il sentie quelque chose ce déposée sur ces genoux, lentement il pouvait sentir la chaleur réconfortante d’un drap ou quelque chose du genre qui avait été déposé sur lui. Finalement, il sombrait dans le sommeil…

= = = = = =

-Shu? … Shu?... Allez Shu Debout!

Il tournait son corps de sorte a ce qu’il ce retrouve sur le ventre, prenant un oreiller et le plaçant sur sa tête. Alors qu’il allait retrouver le sommeil, quelque chose lui sautais dessus.

-Allez Shu! Tu m’as promis de jouer avec moi le matin!

Battue par une mine de sommeil, sortie de ces rêve pas une petite fille, il poussait les draps laissant échappée un grognement mécontent tout en se redressant.

-Erg… déjà le matin?

De sa main droite shu poussait ces cheveux vers l’arrière, puis souriait a la jeune fille qui le regardait d’une mine enjouer.

-Oui oui, déjà.

Le jeune homme ricanait.

-Alors c’est quoi le jeu ce mat…

Une sirène venait brisée le silence qui régnait dans la cellule.

-Erf.. Qu’elle merde es-ce qu’ils vont mettre dans nos assiette cette fois? Lançait Shu tout en ce grattant le ventre.

-SHUUuuuu…. Ton langage!

Shu ricanait a nouveau.

-Je sais, je sais..

Alors qu’il sortait de la cellule il se faisait conduire à une chambre, là deux chaise était placée l’une en face de l’autre. Deux chaises qu’il avait déjà vue des centaines de fois, voire des milliers depuis cette journée. La petite fille si faisait asseoir, sous le regard de Shu, ces yeux rivée sur la chaise, il savait exactement ce qui allait ce passée. Son corps tremblait alors qu’il se faisait pousser vers la chaise. Il s’y faisait asseoir, comme un cobaye, non exactement en tant que cobaye. Des figures difformes sortaient différente seringue regardant la petite fille.

-Shu! SHU! Ne les laisse pas me faire du mal ! SHU! SHU!

Son rêve ce transformait en une mare de sang, où il ce revoyait, tuer encore et encore, sans relâche, tout ce qui passait devant, derrière, ou près de lui. Il portait dans ces bras, le corps d’une petite fille. Marchant à travers les couloirs, tuant encore et encore. Jusqu’à ce que… plus rien…

= = = = = = =

Pour la petite fleur et le guerrier, tout ce qu’il pouvait voir était un jeune homme, avec un sommeil très agité, de la sueur parsemait son front alors que ce cauchemar rejouait encore une fois. Une autre nuit où le jeune homme ne fit que rêver à la douleur de son passée, a ce qui a fait de lui ce monstre.

Rose remarqua que Ironfang prenait place sur sa demande près d’elle. La petite fleur jaugea sa procsimiter, soudain un peu raide, même si c’était elle qui l’avait fait s’approcher. Elle hésita un instant, immobile, attendant que ce dernier s‘installe. Elle voulut laisser plus d’espace et se glissa un peu plus loin, à environs un mètre de l’homme en armure, puis tergiversa. Mais elle se trouva satisfaite de la distance et, dès comme l’homme sut assis près d’elle, elle recommença a respiré normalement, reprenant une attitude à nouveau détendu. Dès que le jeune Sir eu commencé à parler de son passer, la petite fleur lâcha sa branche et se détourna du feu pour regarder le jeune homme parler, sa joue appuyer sur ces genoux entouré de ces bras.

Son regard se fit un peu plus triste en entendant les grandes lignes du passé du jeune homme. Du fait même, son joli regard dévia doucement vers Shu, endormie au pied d’un arbre et entouré de sa cape rouge et chaude. Tout trois avait effectivement un destin peu enviable et la petite fleur se demandait si, vraiment, c’était un pur hasard s’ils c’étaient rencontré… Mais comme la petite fleur avait déjà pas mal prise sa décision de retourner dans sa bibliothèque, elle repoussa cette penser dans sa tête. D’abord, elle devait être seule ou être avec des gens de confiance pour sortir les travaux et les livres de son père de la cache dans laquelle ils étaient cachés. Ensuite… Elle ne savait pas trop. Elle avait toujours rêvé de cartographier les environs, d’exploré les terres inconnus… de lire des livres des quatre coins du monde. Elle verrait bien où cela la mènerait.

Le regard de la petite fleur se posa sur le médaillon d’or rose que le jeune Sir portait au cou. Elle le trouvait toujours aussi joli, à miroiter dans la lune haute dans le ciel et c’était toujours un plaisir de le regarder, mais c’était aussi un fort triste souvenir. Le rugissement de lion ne fit pas peur à la petite fleur, plus habituer à l’oblitération de la nature animale qu’au comportement violent humain. De plus, le rugissement était teinté de tristesse plus que de brutalité, ce que Rose pouvait comprendre. Lorsque la question fusa, la petite fleur hésita. Mais elle finit par répondre car, simplement, elle avait posé la question en premier, alors c’était sans doute inévitable que cela lui revienne sur le nez. Pourtant, le regard de la petite fleur se voilà, triant rapidement ce qui pouvait être dit à haute voix et ce qui devait être mis de côté. Déjà, parler de viole était malaisant… alors Rose décida de ne pas trop se tremper et commença doucement, le regard perdu dans le vide, le menton sur ces genoux enlacer :

--j’ai toujours vécu dans la chaumière brûler du centre de la clairière. Enfin, jusqu’à ce qu’elle brûle, emportant avec elle toute ma famille… Par ma faute. Si je n’étais pas partie furieuse après mes parents, j’aurais fait partie des cendres moi aussi…Puis, j’ai été dans un institu, comme le voulait mes défunt parent… Et puis j’ai erré durant un certain temps avant d’être prise en charge par les moines du temple des trois lunes.

Malgré ces paroles neutres, C’était un tout autre spectacle qui se déroulait sous le regard de la petite fleur. Elle avait volontairement chassé de son récit la cause des nombreuses cicatrices qui striait ces jambes et son dos, certaine c’étendait même à quelque endroit sur la peau délicate de ces bras. Elle avait omni le viol, les douleurs, les blessures, le moment où elle était battue… Tout ce qui touchait le pourquoi elle ne supportait plus le contacte masculin et assez peu le contacte féminin. C’était ainsi et elle n’avait pas envie d’être pleind par qui conque.

Alors qu’elle allait ponctuer son récit d’autre quel conque banalité pour l’alléger un peu, la jeune fille remarqua, du coin de l’œil, le corps de Shu, près d’eux, appuyer sur un arbre. Même sous la couverture, il semblait… agiter. Inquiète, la petite fleur pencha la tête sur le côté, l’oreille droite tombante, puis elle laissa son récit en plan pour se lever et se rapprocher de Shu. Plus elle se rapprochait et plus il lui semblait qu’il n’allait pas très bien. Levant son joli regard remplis d’inquiétude en direction d’Ironfang, la petite fleur reporta son attention sur Shu. Elle le laissa glisser sur le sol près du jeune homme et posa les mains sur ces épaules, son visage près du jeune endormie. D’une voix cristalline de petite fille inquiète, rose agita en douceur l’endormie pour le réveiller, reprenant involontairement les paroles dans le rêve du jeune homme :

- messir? … messir?... Allez, Debout! ...Réveille-toi…

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