Plaine d'EarthFire

Messages : 81 Date d'inscription : 31/01/2016

Le jeune roi ouvra les yeux. Sa vue étant brouille, il il les referma quelques secondes, prenant de grandes respirations avant de tenté de se relever. D'un mouvement lent et désordonnée, il finit par se tenir sur ses deux jambes. S'adossant a la roche, le jeune roi releva sa tête et fixa le ciel. Tenant dans ses mains le livre de son père.

*Père, qu'est-il arrivée a mère et pourquoi je n'ai aucun souvenir clair d'elle et de moi ?.....*

Toujours autant tourmenter par ses interrogations et ses questions, il restait la adosser a cette pierre rêvassant a son continent natale et a ses parents. Ses pensées se promenait a travers de ses bons souvenirs, des fêtes qu'organisait son père le roi, des joutes, des bon bon grand banquets et de son histoire d'amour. Assitot, il pensa a sa défunte femme, puis, comme un éclair le visage de son putride cousin, ravagée par la haine et la jalousie surgit dans sa tête. S'en suivit d'un série d'images épouvantable, sa femme pendu au pied des portes de la cité, des ses homme massacrées envoyer en pature, de toute les atrocité que son cousin avait faite a la cité...

Il revint a lui même quittant du meme fait ses pensées et se surpris a trembler quelque peu. Refermant le livre, le jeune roi passant sa main dans ses cheveux avant de prendre de grandes inspirations et de retourner s'asseoir sur les petites marches quasi intacte du cottage bruler. une fois rendu, il s'y assis et se concentra pour retrouver son calme.

Alya se dirigeait vers des plaines verdoyantes qui laissait deviner une petite cage doré, livre la ou elle l'avait tant désire.Son rire résonnait dans l'écho du vent telle une Guerrière qui avait entre ses mains le destin d'une chose si fragile qu'elle pouvait craquer sous la pression des griffes de se fulgurant Dragon doré. L'étau se reserais sur le prisonnier, les griffes de se majestueux Dragon se référmait juste assez pour laisser couler quelque goûté de ans qui tombèrent telle la pluie sur les villageois qu'ils survolaient dans un silemant assourdissant. Après plusieurs coup d'ailes, le rire de la Guerrière se mêlait bientôt à l'écho du vent pour se transporter comme une plume dans les oreilles de ceux qui vivait dans cette étendu sauvage.Alya se fit basculer pour regarder son prisonnier droit dans les yeux pour répondre à l'appelle de ses complainte.
- Ne t'en fait pas bientôt tu serai aussi chaud, aussi compatissant pour le.sort que je te réserve, toi le représentant de ta douce espèce.. (un rire diabolique résonnait dans son torse pour ressortir dans un son si effrayant qui pourrait glace le sang de quiconque se donnait de l'entendre.)Aller n'ai pas peur (disait-elle en touchant fébrilement le mange de son arme si précieuse.
On pouvait voir les silhouettes se perdre dans le ciel d'un bleu azur.

]center]Rose était fort curieuse de sa trouvaille. Une sorte d’anneau argenté qui reflétait la lumière de la lune. C’était curieux et étrange qu’il soit à cet endroit car elle n’avait aucun souvenir ultérieur qu’il y eu un anneau ou une pièce secrète qui donnait directement dans la maison. Rose repoussa vivement les cendres qui salissait le sol avec ces mains, les cendres se mélangeant douloureusement à ces blessures de ces paumes blesser. Alors qu’elle découvrait deux portes encastré dans le sol, la petite fleur entendit un bruit au dessus sa tête, comme si quelqu’un était rentré dans la maisonnette détruire en majeur partie par l’incendie qui avait ravagé le petit coin de paradis et tuer sa famille adoré.

Un peu sur les nerfs , la douleur l’ayant mise sur les charbons ardents, la petite fleur délaissa sa trouvaille pour relever son jolie minois juvénile vers le plafond semi détruit. Comme elle était dans une sorte de cave, elle ne pu déterminer immédiatement de qui il s’agissait. Nerveuse, elle ne fit pas le moindre bruit et laissa ces oreilles remuer avec curiosité. Elle n’était pas du tout voyante ni rien d’aussi magique, en fait, elle suivait seulement ces instincts de Chat pour déterminer qui se trouvait en haut. Ce ne pouvait décidément pas être Shu, il aurait claudiquer. Se n’était pas Nex, il se trouvait avec Shu, s’il l’aurait porter, elle aurait entendu deux bruissements, alors que là, il n’y en avait qu’un. Et, ostentatoirement, il empestait le renard pas net, donc elle l’aurait Sut toute suite.

Ce qui laissait, Rose huma l’air pour en être certaine, Ironfang. Lui ne sentait pas le renard pas net, mais plus le lion musqué, un odeur assez proche de l’animal, mais en gardant une bonne dose d’humaniter, comme l’odeur qui parfumait son shampoing et son savon lors de son dernier nettoyage. Ou étais-ce seulement parce que son odeur lui devenait vaguement familière depuis le temps qu’elle la humait, alors que celle de Nex lui était encore étrangère. Mais il l’avait sauvé et il n’était pas un homme. Elle pourrait peut-être se permettre une certaine poussé émotionnel à son encontre, peut-être était-il plus animal qu’homme, peut-être que lui, ne la laisserait pas comme ce que Shu venait à l’instant de faire, peut-être qu’il ne lui ferait pas de mal, pas comme les autres.

Peut-être, peut-être, peut-être.

Beaucoup de peut-être et d’incertitude. Alors que la petite chatte humait l’air, un bouffé de cendre et de poussière, mener par un courant d’air vicieux, tenta de l’étouffer. Les larmes au yeux, toussa et atchoument de manière un peu désordonner, Rose prit la direction des escaliers pour aller voir, par elle ne savait trop qu’elle idée, si ironfang allait bien, mais alors qu’elle montait, alors que la poussière et les cendres retombait, un odeur l’assai. Une odeur de brûler. Une odeur qu’elle n’identifia pas immédiatement car elle n’avait absolument aucun comparatif. Non, en fait, elle n’en avait qu’un et c’était pourquoi l’identification fut si longue.

Elle eu le temps de retrouver Ironfang… ou plutôt de lui trébucher dessus. Culbutant en tête a bèche, la petite rose se retrouva assise sur la pierre au bas des escaliers, la robe par-dessus tête et le bas du dos endolorie. Interloquer, aussitôt relever, la petite fleur culbuta à nouveau, tombant cette fois directement sur Ironfang qui était assis plus haut sur les escalier. alors qu’un gigantesque courant d’air, déplacer par les ailes d’un gros dragon descendant en piqué sur le renard pour le chatnaper, l’avait repousser de ces pieds à nouveau à la renverse.

Rose dût assister au départ du renard, du dragon et de son étrange cavalière. Trop abasourdie, la petite chatte ne se leva pas toute suite des genoux d’Ironfang sur lequel elle avait culbuter, et ne réagit pas avant de ne plus voir du tout le dragon dans le ciel. Après avoir reprit un peu ces esprit félin, Rosabelle afficha une moue peu contente. Elle n’avait pas eu le temps de remercier le renard de l’avoir sauvé, il ne pouvait donc pas mourir.

Tout devait ce faire dans un certain ordre. Il l’avait sauvé, elle ne pouvait le regarder ce faire enlever par un dragon! Rose soupira. Il aurait tellement été plus facile de ne pas avoir autant de scrupule, plus simple de ne pas ce soucier de Nex… Mais la vie semblait bien décider à ce que rien ne soit facile.

Rien.

Dans un élan d’instinct félin chasseur, Rose sortie de sa poche l’espèce de balle de laine à grelot que l’inconnu lui avait lancer… Et qu’elle n’avait pu laisser trainer derrière elle… après tout, c’était sa forêt et elle ne voulait pas qu’elle soit entâcher… par elle ne savait qu’elle objet. C’était purement pratique d’avoir prit la balle de laine. Purement pratique. Oui, oui!
Rose le leva devant ces yeux et hésita. Elle refluait son immense potentiel magique depuis si longtemps qu’une sorte d’angoisse malsaine massèraient maintenant avec son utilisation. Elle jeta un œil sur Ironfang en levant son jolie petit minois juvénile et vaguement félin vers celui de Ironfang pour le regarder par en-dessou, comme l’aurait fait un enfant, puis elle lui dit d’une voix cristalline vaguement chargé de menace :
--Ne regarde pas!
Oubliant le fait qu’il serait difficile à Ironfang de ne pas la regarder alors qu’elle était toujours assise sur lui, la petite fleur soupira. Ce qu’elle allait faire allait faire bouger beaucoup de magie, peut-être même aurait-elle besoin de tiré celui de quelqu’un d’autre pour ne pas y laisser sa peau, mais elle ne pouvait pas abandonner le renard à son sort… Malgré tout, elle avait un léger pincement au cœur… Après son tour de force, elle ne pourrait plus simplement faire semblant de ne pas posséder de potentiel magique… Et ne pourrait peut-être même pas redevenir entièrement normal car ce n’était pas sans danger. Mais une dette était une dette, une vie pour une vie. Et elle payerait sa dette qu’elle qu’en soit les conséquences.

La petite rose se concentra sur sa balle de laine pour rechercher sa proie. Délaisser sa part humaine pour ne plus focaliser que sur sa part animal, que sur le chat. Un chat aussi a l’aise que s’il chassait un canarie dans un champ d’herbe à chat. Un chat heureux d’enfin refaire ce qu’il savait instinctivement faire. La petite chatte, sur les genoux d’ironfang, devint étrangement calme, comme en transe. Détendu. Un doux ronronement perça le silence autour de l’homme-lion. Un doux ronronement qui acompagnait un regard étrangement fixe, comme si la petite chatte sur ces genoux voyait… qu’elle chose… Autre chose que le vide qui se trouvait devant elle. Il était évident que quelque chose se passait avec la chatte avant même qu’une aura sombre vienne jouer dans ces cheveux, avant même qu’une main invisible ne vienne percuter Ironfang, comme pour se demander ce qu’il faisait aussi près de l’utilisatrice de magie.

Le regard vide de Rose se teinta d’argent et la petite se crispa, prise de frissonnement incontrôlable. Elle avait visiblement mal, mais elle se contrôlait. Elle n’aurait pas dû libérer ainsi sa magie, pas aussi près de Ironfang et SURTOUT pas en le touchant ainsi. Mais il était trop tard, elle devrait faire fasse au conséquence. Comme si elle avait pris un coup de poing en plain ventre, la petite Rose se plia en deux, suffoquant presque, elle se retint de crier jusqu’à se qu’un éclaire de douleur passe dans ces yeux. Elle ne pu retenir un cri alors que ces pupilles, habituellement d’une magnifique teinte ensorcelante, perdait leur couleur pour devenir entièrement aveugle.

N’ayant pas prévue cela, Rose commença à paniquer, à tenter de partir, mais elle était trop empêtrer dans sa magie pour faire autre chose que d’être prise de spasme, puis elle perdit connaissance. Alors qu’elle avait jusque la bien fait attention à ne pas lâcher la balle de laine, elle roula au sol plusieurs fois avant d’arrêter à un point bien précis. Rosabelle s’affaissa comme une poupée de chiffon contre Ironfang, encore consciente, fixant le ciel de son regard aveugle, mais prise dans une léthargie proche de l’inconscient, tout ce qu'elle murmura avant de tomber amorphe fut un vague:

--et merde...

Plus loin, à plusieurs kilomètre de là, quelque chose toucha le dragon d’Alya. Sans qu’il y eut le moindre signe avant coureur, le dragon commença à réagir étrangement entre les cuisses d’Alya. Sans que cette dernière ne puisse rien faire, le dragon rugit avant d’entreprendre de faire demi-tour, contrôler par une force inconnu, son fardeau poilu toujours entre les pattes.
[/center]

Tentant éperdument de se défaire de la prise de cette grosse bête, il entendit une voix et s'arrêta net pour fixer la silhouette en avant du soleil.

- Hey! Mais qu'est-ce qu'il te prend de me prendre comme ça!! Tu ne voyais pas que j'étais occupé!? Et d'abord, comment ne veux-tu pas que j'aie peur quand on me prend comme ça sans rien dire entre les griffes d'un monstre qui resserre sa poigne!! Tu pourrais au moins te présenter convenablement surtoût AVANT de faire quoi que se soit! Et puis qu'est-ce que tu veux dire par '' représentant de mon espèce''? Qu'est-ce que tu me veux ? Dit à ta bête de me lâ-âââahhh!!

N'ayant pas terminé sa phrase, une déstabilisation dans le confort encombrant de la patte du monstre le prit par surprise, un rugissement lui fit se boucher les oreilles. Les yeux fermées, il les ouvrit après que le rugissement ait fini pour découvrir que le paysage n'était pas le même, il jeta un regard en arrière le plus qu'il put. Ils avaient tournés de l'autre côté, là où l'homme qu'il soignait quelques instant avant.

- Mais qu'est-ce que tu fais? Tu peux te décider dans quelle direction aller? Si c'est pour me ramener et t'excuser, tu aurais seulement put ne rien faire et me laisser faire mon travail!

Même s'ils allaient dans le sens qu'il devait aller, il essayait tout de même de se décoincer de cette patte dure et de cet inconfort assez douloureux.

hrp : Il est convenue que Miss Rosabelle peut uniquement controler les bêtes sauvages et domestique (chien , chat, crocodile, ornythorique, etc XD) mais pas les bêtes légendaire et mythiques. Donc désolée rosie, mais tu ne peux changer la trajectoire du dragon d'alya !

Décision par unanimiter du conseil :) have fun lets repost !!!

Ironfang lisait son livre tout pénard, rêvassant a son pay natale et a tout ce qui entoure son ancienne situation géographique. tranquillement assis et plonger dans son livre il n'eu aucune chance d'esquiver la jeune dame ni de l'entendre venir après qu'elle se soit incruster sur ses genoux. surpris son premier réflexe fut de la retenir pour ne pas qu'elle tombe. A moitier paralyser par la surprise qu'elle avait causer. Puis toujours enm train de se demander ce qui se passait, il senti un pression sur tout le long de son corps comme si une main gigantesque l'agrippait. Cette dernière s'effacait peu a peu, au fur et a mesure que la jeune femme juvénile tombait. A peine eut-il le temps de reprendre ses esprits, la petite chatte tomba par terre et se mit a gigoter de tout bord tout coter. Tombant par terre elle se mit a rouler par terre en s'éloignant de lui. Déposant son livre a ses cotes, ironfang se précipita pour ratrapper la jeune femme. Tout juste a temps avant que celle si ne revienne, le jeune roi l'aggripa au milieu du dos puis par les jambes et fu asser proche d'elle pour l'entendre dire : et merde...

Porta sa bouche a ses oreilles, il lui chuchota :

- Que puis-je faire pour t'aider a reprendre tes forces, tu sais j'en appris beaucoup au sujet de ma race et peut-être que dans mon livre ou dans mon pays natale en trouvant mes reponse, on aboutira aux tiennes. mais dit toi une chose... dorénavant je ne te lacherai pas et je serai la ppour toi. Pour notre race...

Il retourna s'asseoir avec la jeune dame dans ses bras, essayant de lui redonner de sa mana...

Évènement Pour Ironfang et Rosabelle. Les autres ne peuvent pas interagir avec eux et vice-versa.

Cette bibliothèque recelait bien des choses étranges, de la couverture brune et misérable au cuir rouge flamboyant et royale. Beaucoup disent que la connaissance est le pouvoir, mais dans certain cas, elles peuvent totalement détruire une vie. Alors que Rosa remuait autour du grand homme lion, une vague de puissance les percutais, le livre entre les main d’Ironfang s’ouvrait violement, les page tournait et tournait encore alors que dans la petite bibliothèque, les deux mortels commençait a entendre des cri de guerre, comme un tonnerre qui s’acharnait sur une plaine. Les murs, les livres, tout ce qui se trouvait autour d’eux ce tordait dans tous les sens, avant de s’estompée lentement laissant place à un champ de batail.

L’odeur accable du sang pas frais ce portait à leur narine. Ils ce tenait debout, a travers une armé très amochée par le combat. Plus loin, sur le haut de la plaine, un homme ce tenait debout, avec les cheveux tel un pelage de lion qui valsait dans le vent. L’homme était relativement vieux, des poils gris parsemait sa barbe. Il ressemblait a Ironfang, mais plus vieux, et plus grand. Sur la joue de l’homme, ont pouvait y voir une larme ce frayer un chemin, alors qu’il ce retournait, tenant dans une seul main, une petite boule de poils, semi-lion, semi-humain. Ironfang et Rosabelle était relativement trop loin pour discerner autre chose que les pile de cadavre et cet homme qui ce tenait sur le haut de la plaine.

Ironfang déposait la jeune dame a ses coter, montant la garde tel une statue de pierre qui monte la garde devant les plus palais du pays. lorsque tout d'un coup, son livre se mit a vibrer quelque peu, puis de plus en plus pour finir par sautiller de quelques pouces. Étirant son bras pour agriper son objet de grande valeur sentimentale, un genre de champ magnetique rééxpédia son bras vers lui. Puis toute cette magie étrange se mit a arrêter d'un coup sec. s'assurant que la jeune chatte soit en securité, il n'eut point le temp de remarquer que le livre s'était ouvert et que les page de ce livre se mettait a tourner seule a une vitesse effréné.

Un grand boum magique, puis plus rien. Le noir, le vide même. Une odeur étrangement familière mêlé a une odeur acre de sang et de cadavre enivra son nez, le réveillant d'un seul coup. Il ouvrit les yeux et vit qu'il n'était plus du tout a la même place qu'auparant il y a quelques minutes. tassant le bras d'un cadavre, il bondit d'un coup sur ses deux pied, ses sens de félins en alerte.

a peine eut il le temps de réaliser qu'il était a une place très, mais très familière, il secoua Rosabelle.

- réveille toi ! suis moi...

Il coupa sa phrase nette lorsqu'il croisa la vue de l'homme qui se tenait la heut sur la plaine. Il tira le bras et le corps de rosabelle d'a peine 30 cm avant de le réaliser et de lacher sa main pour courir vers l'homme poussa le reste des soldat vivant qu'Il ne reconaissait que trop bien.

- oooh est-ce toi père ?

Il lacha cette toute petite phrase si basse que rosabelle eut du mal a entendre malgré ses oreilles fine et developper. Continuant de courir sans relâche vers la personne en haut de la coline poussant de plus bel les soldats...

Alya riais à gorgé déployer quand soudainement son magnifique Dragon eu un moment d'égarement, ce dernier fesait maintenant demi tour ce qui mit la Guerrière dans une colère noir. Jamais Rios avait décidé de contrevenir à une de ses ordres directes, son rire devient diabolique quand d'un seul coup elle sorti son épée et se mit à parler dans une langue morte inconnu de tous. Sa voix tremblais, son oeil devient d'un noir perçant et sa fleur se mit à bouger comme une danse effréné. Soudain la voix de la chose qu'elle transportait viens jusqu'à ses oreilles se qui la fit bouillir littéralement de colère, elle s'accrocha au coup de son Dragon avec l'aide de ses jambes, tel une acrobate elle se fit tourne et tomba nez à nez avec le colis. Alya eu un sourire presque trop morbide pour ce dernier, se délichant les lèvres frénétiquement comme pour souligner son appétit vorace.
- J'adore bien que mes futurs prisonniers aille de la reparti mais dans ton cas cela pourrais finir dans une belle session de torture cher ami.... Tu es chanceux que mon premier soucis sois cet être si magnifique (dit-elle en le frappant avec son arme) Alors hurle, crie et profite de cette air de liberté avant que nous daignons arriver dans ton palace. Mais fait moi plaisir partage ton cri d'agonie ce son me fait ressentir une tel joie (Alya se délichait vigoureusement les lèvres sadiquement)

Elle se donna un élan et retournait avec une tel facilité sur le dos dans se majestueux Dragon. Elle se mit à chanter un air si mélodieux que cela pourrait tromper n'importe qui y compris ceux qui avait autrefois croise sa route, elle se mit à réfléchir qui avait de tel capacité pour mettre sous sa volonté un si noble Dragon. Puis, tournant son regard vers la Dame chat au loin qui semblait appelle son Rios, elle continua de chanter quand soudain un cri animal se fit entendre. Le majestueux Dragon donna plusieurs coup d'ailleurs et se mit à s'élève dans le ciel, Alya lui ordonna de se poser au sol quand arrive à quelque centimètre du sol, elle lui ordonna de se stopper et regarda la jeune femme chat puis sans dire un mots, elle l'a pointa puis elle reparti dans le ciel bleu assure. Alya se remit à chanter dans une langue oublié en direction de l'endroit où elle avait fait livre son merveilleux colis pour son grand projet.

Le jeune prince s'exténua devant ces soldats quibparaissait de pierre et ne pas reagir au jeune Ironfang qui les tassaient pour se frayer un chemin vers son pere quinse trouvait toujour en haut de la roche en surplomb aux soldats. Après plusieurs minutes a se frayer un chemin de peine et de misère vers la roche, il reussit a se frayer un chemin, a quelques mètres de son père.

- PÈRE !!!!!

Rien. L'homme de très grande prestance continua de crier des ordres du haut de sa roche sans broncher, sans même se préoccuoer de ses alentours. " ses trop bizarre... Pere etait un homme au aguets, pour qui rien et encore moins personne ne pouvait s'approcher de lui sans au'il le sache d'avance..." Le jeune noble en armure noir ébonite s'elancais vers son patriarche d'une façon déterminer. En arrivant tout juste sur le point d,agripper l'epaule de son père, Ironfang se fit surprendre a son tour en se faisant empoigner le poignet. Tout disparu d'un coup en fumer, son pere, les soldats, la guerres et les bruits pour ne laisser place qua la voix d'un homme qui lui était familier..

- Sire ! Sire ! Venez tout de suite ! Votre maréchal votre bras droit le Baron a une mise a prix sur sa tête !!!

- grrr mngggggnnnfm très bien bien !! Merci lancelot retourne auprès de mes garde du corps personelle et tien moinau courant de d'autre chose... Envois mes recruteurs aux quatres coin de ce pays et mes espions observer qui dirige ici et aui a bien pu mettre la tête du Baron a prix. Je vais m'occuper personellement de cet évenement facheux....

- D'accord Sire !!

Lancelot, le messager et espuon personnel d'Ironfang retourna sur son cheval suivre les directives de son jeune roi. Quant a Ironfang lui, s'empressa de retourner au village a coter de son cmp fortifier de fortune, réfléchissant a tout ce qui venait de se passer....

HRPG: désoler pour tous ce qui fonctionne pas dans ma poste, fait trop longtemps et je ne savait plus comment rattrapper le coup.

Rosabelle grogna dans son sommeil lorsque Ironfang essaya de la réveiller en s’agitant dans tous les sens. L’utilisation de son pouvoir l’avait épuisé et elle ne dut qu’à son instinct de se réveiller. Lorsque ce fut le cas, elle repéra rapidement ces katanas dans les décombres de la maison, l’illusion c’était dissoute. Comme l’armée de Iron fang c’était rapprocher, son instinct lui dictait de se cacher. Non pas que le jeune homme lui faisait peur, mais elle n’aimait pas du tout avoir une armée aussi près d’elle… Sans compter qu’elle ne voulait pas du tout que ce dernier l’invite à les suivre.

Être au milieu de gens la rendait parfaitement nerveuse… Alors des hommes armés? Elle n’avait en ce moment pas les nerfs assez solides pour y survivre sans trancher une ou deux têtes au passage.

Ce faisant, rose se terra entre deux débris jusqu’à ce qu’elles n’entendent plus le bruit de pas de l’armé d’Ironfang. Pour passer le temps, elle sortit un de ces cimeterres pour le poser délicatement sur ces genoux. La lame était parfaitement affutée et son maitre lui avait enseigné la plus parfaite des techniques. Cela l’apaisait de l’avoir si près d’elle, d’en sentir le cuire de la garde si familière, esquisser spécialement pour ces petites mains. Même le poids des deux lames avait été parfaitement calculé pour lui donner un contrôle entier sur ces armes tout en s’assurant de comblé équitablement son allonge.

Dorénavant, elle était une guerrière des trois lunes. Malgré son passé difficile, elle avait entièrement comblé sa faiblesse par la force de ces armes. Oh, elle aurait pu passer le reste de ces jours à jouir de la protection du sanctuaire, mais elle voulait plus. Elle voulait explorer le monde… Son monde était la forêt, la nature… un sanctuaire de pierre ne lui convenait plus. Elle était maintenant assez forte pour retrouver les assassins de sa famille. Comme elle se retrouvait à nouveau seul, Rose soupira et sortie de sa cachette en remettant son précieux cimeterre dans son étui attacher dans son dos, à demi cacher sous sa petite cape noir. Rabattant la capuche sur sa tête pour éviter d’attiré l’attention, la jeune fille se fondit dans les ombres de la forêt. Elle voulait à tout prix éviter le village qu’elle savait n’être pas si loin.

Arrivé devant une pierre plate faisant une table acceptable, Rose fit passer son sac devant elle pour en sortir un grand parchemin vierge. À l’aide d’un crayon, elle se mit à dessiner avec une étonnante précision l’endroit où elle se trouvait, le trajet fait depuis le monastère et l’emplacement des ruines de sa maison. Après réflexion, elle ajouta le village à sa carte. Comme l’endroit lui avait fait plus de mal qu’elle ne l’avait cru, elle décida de commencer son périple plus loin de sa précieuse maison en ruine.

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